Jour de pluie (Léon)

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Point de vu Léon:

Je me suis levé après avoir éteint l'appareil de torture que l'on appelle réveil.
Je me suis habillée mollement, on peux pas dire que Bob y est allé des mains morte hier. Mon entraînement du matin était tranquille mais celui du soir était, comment dire... tonique.
Se matin j'ai encore un entraînement, mon emploi du temps est assez serré, c'est un peux normal les JO approche à grand pas, il ne me reste plus que quelques mois pour être aussi performant que Michel Phelps, donc grosse pression.

Je me suis encore perdue dans mes pensées je vais être en retard à l'entraînement, je fini de préparer mon sac de cours je prend mon sac de natation, vu que je repasse pas à la maison après la natation je dois avoir tout sur moi.
Je prend un truc au vol pour le petit déj.
-Salut les gars bonne journée
Et je me casse.
J'arrive à la piscine, je me change et je regard la pendule, il est seulement 6h du matin j'en peux plus.
Je fait des longueurs et des longueurs, supervisé pas Bob et après 2h dans l'eau je me change et fil en cour.
En sortant de la piscine il pleut à averse, des trompes d'eau.
- Quand faut y aller, faut y aller
Je me lance sous la plus et cour le plus vite possible pour arriver jusqu'au bâtiment ou j'ai ma première heure de cours. Et oui aujourd'hui de commence à 9h pas de bol.

En mettant mes affaire dans mon casier j'entends une voix stridente venir de ma gauche, une fille blonde avec une sorte de carré est entrain de parler avec... avec... avec Judie. Oui c'est bien elle.
Elle à le regard dans le vide, il c'est passée quelque chose ?
Je sais que c'est mal d'écouter les conversations des autres mais je pense qu'il a dû se passer un truc pour que sont amie lui cri dessus comme ça.
Je trifouille dans mon casier et je tend l'oreille.
- Tu vas te laisser faire encore combien de temps par cette mégère ? Et ton père il dit rien ? Franchement moi je vais aller la voir et...
- Non ne t'inquiète pas je t'ai dit que j'étais tombé dans les escaliers, en courant après mon petit frère.
- Et tu crois que je vais gober ça, t'es la personne la plus prudente m, la plus intelligente et surtout la plus toqués que je connaisse, tu n'aurait jamais courut comme ça dans les escaliers, surtout avec les JO qui approche.
Et ne me dis pas que se bleu sur ta joue et faite par les escaliers, j'ai vu mieux comme excuse, surtout venant de toi.
Elle baisse le regard et se tourne vers son casier et c'est à se moment la que je vis son énorme bleu mal masqué par du fond de teint.
Mon sang n'a fait que 1 tour, je sais que je ne devrais pas m'en mêler, simplement parce que on ne se connais pas, mais je n'arrive pas à laisser passer.

Je m'approche je lui attrape le poignet, et je la vois grimacer, je n'y prête pas attention et je m'adresse à sa copine
-je te l'empreinte deux minutes
Elle me fait oui de la tête sous le choc.
Et j'entraîne Judie dans un couloir plus calme. Elle se débat essaye de partir mais je renforce ma prise.
Je la lâche une fois arrivé
-Mais c'est quoi ton problème au juste, je t'es fait quoi, je vais être en retard à mon cours.
- Qui t'a fait ça à la joue ?
-...
- Donne moi une réponse qui arrive à me convenir et je te laisse aller à ton cours.
- Je ne te dois rien, tu n'est pas mon père, on ne c'est vu que 2 fois et parler que 1 fois, pour qui te te prend, JE NE TE DOIS RIEN.
- Dis le moi je ne te veux pas de mal, je veux juste t'aider
- Je ne t'est rien demandé. Mais merci pour ta sollicitude.
Puis elle m'a contourner et m'a laissé la sans rien comprendre. Je l'ai trop brusqué.
- Je suis stupide.
Je me dirige vers mon premier cours où je ne fait que de repasser les événements de tout à l'heure dans ma tête.
Il faut que je lui parle, pour qu'elle m'accorde sa confiance.

Chapitre fini merci pour les gens qui me lisent, ça me fait beaucoup de bien de voir que ça plaît à certains personnes.


Les ombres du cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant