Le livre de Colette

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(désolée pour ce chapitre absolument nul à chier)





- Putain de merde tu m'as fait tellement peur ! Fit Bakugo en serrant Tenshi dans ses bras.

- Ca va, je suis invincible, tu me connais.

Higa s'approcha avec un bouquet de fleure.

- Physiquement, oui, mais moralement c'est pas la même histoire. Comment ça va Nee-chan ?

Tenshi baissa la tête :

- Honnêtement, je sais plus trop où j'en suis. J'ai eu des gros doutes... mais maintenant je pense abandonner mes recherches sur Toga. Ce cirque a assez duré, j'ai bien compris qu'elle ne voulait pas me voir et c'est de ma faute. Les jeux sont terminés pour nous apparemment, l'avion décolle demain à la première heure.

- Oui, sourit Shoto, rentrons à la maison.

- Higa ? Tu viens avec nous ?

Il hocha la tête :

- Oui, j'ai décroché un contrat au Japon, je vais rentrer dans un avion un peu après vous.

- Génial. Je suis juste un peu triste de ne pas avoir pu célébrer la victoire de Ren avec lui... il a encore deux semaines à s'occuper dans Paris.

- A mon avis, c'était bien que sa finale soit tout au début, il est débarrassé maintenant. Il n'a plus qu'à visiter tranquillement la ville en attendant la fin des jeux.

- J'aurai bien fait pareil...


*****(TRANSITION ET ELLIPSE DU LENDEMAIN !)


Les bruits de l'aéroport étaient devenu rassurants pour Tenshi. Sa plaie avait rapidement cicatrisée mais elle devait quand même s'appuyer sur une béquille.

- Décidément, l'étranger, ça ne me réussit pas...

Haryan pouffa derrière sa main en tressant les cheveux de Chua.

- Vous allez vite vous remettre à mon avis.

- Ah ? Comment vous savez ça ?

- Oh... pas grand chose... j'ai l'impression que quelqu'un va vite vous faire oublier votre douleur.

Tenshi resta muette et fixa ses doigts.

- Si vous le dites...

- Allez, debout Takami-san. Notre avion privé est en piste. C'est votre travail de dire ça normalement.

- Pardon Votre Majesté ! Veuillez me suivre.

Mais Haryan s'arrêta, sentant une présence familière dans son dos.

- Mourot-san, si vous devez nous dire adieux, vous devriez vous dépêcher.

Tenshi sentit son dos se bloquer de stresse et fit volte face vers la journaliste qui avait remis ses lentilles et son masque.

- Je... balbutia t-elle.

Elle fit quelque pas vers Tenshi avant de la serrer dans ses bras.

- Merci Tenshi, merci pour tout. Je te dois plus de fois la vie que tu ne peux le penser.

Elle la relâcha, écarlate.

- Je suis contente que tu aille bien, on a tous eu très peur.

Bakugo, Midoriya et Shoto arrivèrent avec les valises :

Closed mouth liarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant