J'entre dans la maison qui est extrêmement calme et je pose mon sac à main à l'entrée sur un meuble en bois laqué.
- Benício. Je suis là.
Je marche lentement dans les couloirs et je me dirige vers son bureau.
- Tu ne m'entends pas ?
- Excuse-moi, Amor.
- Ne m'appelle pas amor s'il te plaît.Je m'approche de lui et je viens m'asseoir sur son bureau en poussant les documents qu'il a sous les yeux.
- Rafa m'a dit que tu voulais me voir.
- Moníca...Il pose délicatement sa main sur ma cuisse légèrement dénudée et je la lui pousse délicatement.
- Tu es sérieux ?
- Dit moi comment me faire pardonner ! Je le ferais... En 100 fois mieux.
- Je suis venue parce que tu voulais me dire quelque chose. Si on commençait par là ?Il se lève et il vient placer sa tête prêt de la mienne me faisant presque me faire couper ma respiration.
- Moníca... Je t'en supplie... Regarde ! Je te supplie...
- j'ai dis non ! Benício ?Il me prend brusquement les jambes avant de venir se placer entre celle-ci et je ne saisis pas trop ce qu'il est entrain de faire.
- Benício j'ai dis non !
- Arrête Moníca !
- Lâche moi !
- Laisse moi juste te remettre les idées en place... Je sais comment faire.
- Béni !Il vient se coller contre mon bassin me collant contre lui et je me débat brusquement.
- Je t'ai dis non ! BENÍCIO !
- Pour me faire pardonner !Il me lâche ma main pour venir faire glisser la sienne vers mon entre jambe et je le gifle violemment avant de descendre du bureau.
- J'AI L'AIR D'ÊTRE UNE PUTE !
- Tu es ma femme !
- Je ne suis pas ta femme ! Et même si je l'étais, je ne te donne pas le droit de m'utiliser ! Bordel enlève tes putins mains...Il fronce rapidement les sourcils et il m'attrape violemment par le col de ma robe avant de me rapprocher de lui pour me faire comprendre qu'il prend largement le dessus sur cette conversation.
- Je te trouve bien réticente pour une fille qui m'a attendu 2 mois...
- Retire tes mains.
- Tu ne me cacherais pas quelque chose ?!
- Que veux-tu que je te cache ?!
- Yusuke.Je reste impassible et je le regarde dans les yeux avant d'essayer de retirer sa main de ma robe.
- T'es malade Benício ! Lâche-moi !
- Ça fait des semaines que tu te tapes cet enculé dans mon dos...
- Ne me force pas à faire ce que je ne veux pas !
- Tu ne nies pas ?!
- Je n'ai pas couché avec lui pendant que tu n'étais pas là !Il change immédiatement de visage et il vient violemment attraper mon cou et je mets immédiatement à pleurer à m'en débattre dès que je sens le contact de sa peau à cet endroit !
- Et quand j'étais là du coup ?!
- BENÍCIO ! ENLÈVE TES MAINS ! JE T'EN SUPPLIE !
- RÉPONDS-MOI.Je pleure de plus en plus et je viens lui griffer violemment la main en me débattant mais il ne relâche pas la pression de sa main.
- MONÍCA !
- NON ! PITIÉ... benício... Soufflé-je en pleurant.Il me lâche brusquement et il se recule en me regardant avec pitié.
- Je-je suis désolé Moníca... Je...
Je me touche le cou prise de panique et je pleure de plus belle avant de totalement le dévisager.