CHAPITRE 2 : NOUVELLES SURPRENANTE

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ÉLVIRA










Je te déteste tellement Elvira.
T'avoir adopté est ma pire erreur. Seulement, j'attends que tu grandisse un peu.. prononça ma mère entre des coups de fouets brutales sans pitié.

Ton père et moi attendionsque tu grandisse un peu, et tu nous servira enfin. Et elle me frappa à nouveau.

Mon géniteur nous observe, et sans attendre une autre minute il rejoint ma mère.

Et quand je crois avoir eu le plus mal possible, il me donne un autre coup qui me met en tort.

Si seulement je pouvais te tuer je l'aurais fais sans pitié. Hurla mon père suivie d'une gifle.

Ah. Sympa.

S'il vous plaît..  murmurais-je avec le peu de force qu'il me reste. Ils me battent jusqu'au sang.

Je veux mourir.

Tu n'est qu'une bonne à rien. Va te faire tuer, violée, massacrer. Honnêtement, j'en ai rien à foutre tant que tu souffres.

Wow... c'était blessant...

Ils ont tous les mots pour me détruire.

Et là je me réveille.

J'ai encore fait ce cauchemar...
Ou ce flashback...

Ce jour là, ma mère avait payer des hommes pour me violer.

Est-ce humain de faire quelque chose de la sorte ?

Ils étaient 8... 8 contre une gamine de 16 ans qui voulais juste la paix.

J'aimerais tellement oublier, m'enlever ça de la tête, mais c'est impossible. Ça m'a marquer et c'est un de mes traumas.

Mais ce jour là, je m'en veux de penser comme ça mais j'avais enfin plu à quelqu'un.

Ils ont m'ont aimé. Ou plutôt mon corps. Je dois utiliser mon corps pour plaire.

Je ne considère même plus mon corps mien, il a été tellement utilisé qu'il est à eux, pas à moi.

Qui voudra m'aimer pour la personne que je suis réellement ?

Qui voudra m'aimer pour mon cœur et non pour mon corps ?

Qui voudra la fille enfermé chez elle avec des parents strictes et qui se fait battre, violé...?

Qui voudra tout simplement de moi ?

Enfaîte je peux dire que j'ai une vie de princesse, c'est à dire que je vie une vie de merde comme chaque début de leur histoire sauf que moi y a pas le prince charmant qui m'aime pour de vrai.

Sur les rebords de la fenêtre, un chat se promène. J'ai comme une impression qu'il va tomber.

Si je l'aide pas et qu'il meurt je serai aussi responsable car je l'aurais vu et j'aurais fait l'aveugle.

Sans hésiter, j'ouvre la fenêtre et aide la boule de poiles gris.
Il sauta dans mes bras et je le rattrapa facilement.

J'ai toujours aimé les chats.
J'en avais un quand j'étais encore une enfant innocente.
Il était tout noir avec des petits yeux verts.
Je l'aimais tellement. Malheureusement il a fugué.
Est ce que c'est parce qu'il ne  m'aimer pas ?

Je devrais faire pareille ; fuir mes parents.
Mais j'ai peur des conséquences alors je n'ose pas.

Le chaton s'endormit sur mes bras. Il devait sûrement être très fatigué. Rapidement, je fais un petit coin avec un coussin pour le chat et je le pose.

 𝑻𝒉𝒆 𝒅𝒐𝒍𝒍 𝒐𝒇 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒓𝒚 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant