Prologue

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13 ans plus tôt

"Tu ne peux pas partir comme ça! As-tu au moins pensé à Junne? .....à moi? Notre mariage ?" Raisonnait la voix remplit de peine de son père, dans la petite maisonnette.

"Il ne reste plus rien de se mariage Lawrence, ne vois-tu pas qu'ont souffrent? J'étouffe Lawrence, prend le au moins en considération! " Répliqua sa génitrice avec une pointe d'agacement dans son tons.

De loin, nicher dans un coin de l'escalier qui mène a l'étage, Junne observais avec tristesse cette scène qui lui était déjà coutumier! Cette crise qui durait depuis plus d'un an l'affectait bien plus qu'elle ne le pensait mais cela n'étais d'aucune importance pour la personne qui l'avait causer.

"QUE JE PRENNE EN CONSIDERATION? QUE JE PRENNE EN CONSIDERATION?? J'AI TOUT FAIT POUR TOI! JE ME SUIS PLIER EN 10 POUR SATISFAIRE TES CAPRICES....MAIS CE N'EST JAMAIS ASSEZ! " Hurla soudainement son père ce qui la fit sursauté

"L'argent! l'argent tout le temps l'argent! Et pourtant sa n'a rien a y voir! Tu vois?, tu ne m'écoute même pas! " Répondit, une valise en main, le tons lasse et agacé et le regard méprisant sa mère qui s'impatientais visiblement. Elle aurait voulu lui hurlé le fonds de ses pensées à se moment précis, la supplier de rester, de continuer a se battre...mais elle restait là, muette, spectatrice fidèle de cette mini série qui constituait son enfance traumatisante.


Présent

Accoudée paresseusement sur le comptoir d'un célèbre café du Texas, Junne se perdais dans ses pensée obsessionnelle, sa peau caramel reflète son héritage mixte, mettant en valeur son visage angulaire et harmonieux. Elle nettoyait machinalement le plan de travaille et pourtant son regard doré donnaient l'air qu'elle était absente ce n'est que le son de la petite clochette suspendue au dessus de la porte d'entré qui ramena son esprit l'a où elle se trouvait. Les clients habituelle débarquaient déjà et le moment pour elle de se mettre au travaille n'était plus qu'une évidence, elle tira en arrière ses cheveux d'un brun profond et naturellement ondulés qui tombaient en cascade sur ses épaules et sur ses yeux, et comme par magie le chignon négligemment attaché dévoilait son visage finement sculpter où ses cils longs et épais qui encadraient son regard, lui donnait une intensité particulière qui ne laisse jamais indifférent. Ces yeux reflétaient ses combats intérieurs, oscillant entre une dureté déterminée et une vulnérabilité qu'elle tentait de cacher. Quant à ses lèvres... Que dire, si ce n'est que, elles sont pleines et bien dessinées, elles étaient très souvent fermées en une expression neutre ou pensive, mais lorsqu'elle souriait après un "Comme d'habitude?", au différent habituer comme Billy Cruz, le shérif de la ville, deux petite fossettes apparaissaient sur son visage, éclairant ses traits autrement sérieux.

Encore une journée où elle se questionnait sur sa vie et les sales tours qu'elle lui avait infliger! Les narines remplit par l'odeur de la caféine et des innombrable pâtisseries de la cafétaria, elle lâcha son millième soupir, étouffé par le brouhaha de la table en face d'elle. Cette table qui accueillait des clientes qu'elle connaissaient un peu trop bien à son goût, se livraient à une série de commérages sans fin dont elles avaient le mœurs. Toutes marquées par la ménopause, elles pouvaient resté la des heures et à décortiquer la vie de tout les habitants de cette petite ville que Junne avait renommé "le trou perdu". C'était qu'a même grâce à ses mamies agitées que Junne eu le privilège d'être la première à être informée de l'infidélité du docteur Brown et de comment il avait engrosser la femme du révérend White qui lui par la suite révéla par une pousser de rage la manière dont il avait fait avorté la fille du docteur Brown. Depuis cette révélation aussi croustillante que scandaleuse, pour les curieux, je ne pourrais vous dire à qu'elle point le marron et le blanc sont devenues les pire belligérants. Bien évidemment Junne les en voulait encore secrètement d'avoir ébruité le divorce et la séparation brutal de ses parent dans toutes la ville.

Une fois de plus perdu dans ses pensées, cette fois ci c'est la notification de son téléphone qui la fit sortir de son aphorisme. Elle s'empressa de débarrasser l'une des table dont des lycéens venaient de déserté et se dirigea vers le placard à balais. Elle lança un "Occupe toi de la table 3 s'il te plait j'en ai pour une minute", au passage à sa collègue au yeux bleu! Désormais enfermé dans ce minuscule foutoire, ayant pour seul témoin les différents produits ménagers, elle sortit d'une main tremblante son téléphone de son tablier. c'était le moment tant attendu, la réponse qui musardait son esprits dans tout les censes. Elle cliqua sur la notification et laissa ses yeux parcourir le message avant de les attarder sur une phrase, cette phrase qui mit son petit monde en pause, qui laissa échappée une petite larmes de ses iris doré, et la fit cruellement mordre ses lèvres pour éviter un éventuelle sanglot...

Enfin elle allait pouvoir quitter Brownsville! ....




Brûlé par le viceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant