L'Obscurité Du Coeur...🦋

Chapitre 10:{Traumatisé}

Coucou mes Princesses!!

Vous allez bien?

moi en tous cas très bien

j'éspère que vous allez aimé cette lecture,

Bonne lectures mes starss!!!

AHHHH oui!!! j'ai oublié de vous dire, Maya a été traumatisée et a eu une amnésie ces à dire qu'elle a tout oublié pendant une certaine périodes.

Jvoulais vous prévenir sinon vous allez rien comprendre au chapitre!!!

~~L'Obscurité du coeur~~

°Maya°

Une semaine plus tard

Les jours avaient passé rapidement, et aujourd'hui marquait mon premier jour de travail dans cette villa imposante. Le matin, après avoir déposé Nina à l'école, je m'étais rendue directement à la maison que j'avais visitée quelques jours plus tôt. Je ressentais une pointe d'excitation, mais aussi de nervosité. C'était une belle opportunité de gagner un peu d'argent, et j'espérais que tout se passerait bien.

La villa était encore plus majestueuse que dans mes souvenirs. Ses murs de pierres blanches, le jardin soigneusement entretenu, tout dégageait une atmosphère de richesse et d'élégance. Mais malgré la beauté du lieu, je sentais quelque chose de presque oppressant dans l'air, comme si cette maison abritait des secrets anciens, pesants.

La gouvernante, avec son sourire strict mais poli, m'accueillit dès mon arrivée.

— Vous commencerez par le salon et la bibliothèque, puis vous pourrez nettoyer les chambres à l'étage, dit-elle en me guidant à travers la demeure. Le maître de maison n'est pas encore là, mais il pourrait rentrer à tout moment. Travaillez en silence, il préfère la discrétion.

Je hochai la tête, retenant mon souffle sous la pression. Cette maison respirait la perfection, et je savais que je devais être à la hauteur. Après avoir enfilé mes gants et pris le nécessaire, je commençai par le salon. Le bois des meubles semblait ancien mais bien entretenu, tout comme les tableaux accrochés aux murs, chacun d'eux racontant une histoire qui restait énigmatique pour moi.

Mais la vraie pièce qui m'impressionna fut la bibliothèque. Dès que je franchis le seuil, je fus submergée par l'odeur réconfortante des vieux livres et du cuir. Les étagères en bois sombre s'étendaient du sol au plafond, et le plafond, lui, était orné de moulures complexes qui donnaient à la pièce une atmosphère à la fois solennelle et majestueuse.

Je me mis rapidement au travail, essuyant délicatement les surfaces, passant d'une étagère à l'autre, prenant soin de ne rien déranger. Tout semblait calme, paisible, presque irréel. Mais bientôt, cette tranquillité fut brisée.

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Le bruit de pas lourds résonna dans le couloir, se rapprochant inexorablement. Mon cœur se mit à battre plus fort, mes mains devenant légèrement moites. Je ne savais pas pourquoi, mais une étrange nervosité s'empara de moi. Je continuai à travailler, tentant d'ignorer cette impression désagréable. Peut-être était-ce simplement le maître de maison qui rentrait.

Je ne m'attendais pas à ce qui allait suivre.

La porte de la bibliothèque s'ouvrit brusquement, et je me figeai, mon chiffon encore à la main. Mes yeux ne purent s'empêcher de se diriger vers l'entrée, et c'est à ce moment-là que je le vis.

Un homme grand, à l'allure imposante, entra dans la pièce. Ses vêtements sombres contrastaient avec la lumière douce qui traversait la pièce. Il ne me regarda pas tout de suite, mais je sentis son aura dès qu'il franchit la porte, une présence écrasante, presque suffocante.