𝐋𝐎𝐕𝐄 𝐎𝐑 𝐃𝐈𝐄.

𝐓𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 - 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬.

"𝐓𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐨𝐢 , 𝐜'𝐪𝐮𝐞 𝐭'𝐚 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐨𝐢𝐭𝐫𝐢𝐧𝐞 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐚 𝐦𝐨𝐢"

[...]

L'air frais m'a giflé le visage , retour dans le territoire français mamang , orly. Putain c'est loin de chez moi ça.

Oh trop la flemme des retrouvailles j'vous mens pas , à part mon père que le reste aille se faire foutre.

Étant donné de mon statut , je dois être escorté jusque chez moi , vous savez histoire qu'un con ne me kidnappe pas à nouveau.

Une grosse berline noire...mh pas mal.

Bref j'vais pas continuer à vous faire une description de ce que je vois , j'me suis endormie direeect.

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Le bâtiment n'avais....pas changé long bâtiment blanc de huit étages...ascenseur et escaliers en bon état , ouais rien d'anormal quoi.

Je suis montée toute seule , j'avais les jambes qui tremblaient mameh comme quand mon latino m'écartait les cuisses genre , c'était pas nécessaire.

- Oh purée j'ai plus envie...

J'ai cherché les numéros de portes , ça m'avait échappé à force.

- 471..bah go hein.

J'ai toqué deux fois de suite.

Oh j'vais m'évanouir.

- Papa...

J'ai souris comme si on s'était vu durant ces derniers mois , faudrait vraiment que j'acquiesce la notion du temps.

Il m'a fixé sans vraiment bouger , ah bah d'accord okay.

J'ai pris les devant et je l'ai enlacé , il sentait légèrement le rhum...l'habitude des antillais j'ai envie de vous dire.

- C'est moi....

Papa - Je suis désolé.

- C'est pas toi...et j'en suis ressortie plus forte et plus instruite.

Je me suis détachée.

- Regarde , ta fille a grandis.