La promesse du cheikh

Chapitre 37

Bonjour à tous j'espère que vous allez bien !

Je suis de retour après une longue pause qui m'a été très bénéfique, j'espère que vous ne m'en voulez pas trop !
Je tenais aussi à vous remercier du fond du cœur d'être toujours aussi nombreux à me lire, le livre vient de franchir le 50k de vues j'ai encore du mal à y croire !

Notre histoire est presque à la fin, ce chapitre que vous allez lire est l'avant dernier chapitre, alors je ne vous retiens pas plus.

Bonne lecture !

Le soleil était déjà lever mais la belle Rosasse était encore profondément endormie sous le regard puissant et dévoué de son cheikh.

Voilà maintenant deux bonnes heures que le cheikh était réveiller mais il lui était impossible de quitter sa magnifique épouse blottie contre lui, il ne pouvait détacher son regard de ce beau visage aux traits fin et si délicat qu'on croirait qu'ils appartenait à une enfant.

Au prix d'un grand effort, il se décolla d'elle après avoir embrassé tendrement son front il quitta leur chambre se dirigeant vers un être qui faisait tout autant battre son cœur.
Il ouvrit la porte en silence, et son regard d'acier s'adoucit comme par enchantement lorsqu'il se posa sur le petit corps emmitouflé dans les couvertures, sans fair un bruits il s'approcha de son fils endormi et pris place sur la chaise en face du lit.

A chaque fois que son regard se posait sur lui, une émotion particulière le saisissait, l'amour qu'il portait à son fils était infini et un autre sentiment qu'il avait récemment pu identifié le submergé.

La reconnaissance.

Il lui était reconnaissant d'exister tout simplement, d'avoir survécu alors que son frère ne l'avait pu...

Aujourd'hui il lui arriver de penser au fils qu'ils avaient perdu avec sérénités, il avait compris qu'il était nécessaire qu'il tourne la page et cesse de vivre dans le regret, bien sûr jamais il ne pourrait oublier son fils néanmoins son souvenir n'était plus si douloureux.

Il pris son fils dans se bras après qu'il se soit réveillé en se disant que toujours il serait là pour lui.
Qu'il l'aiderais a devenir fort comme son père l'avait fait pour lui, il pouvait pressentir que Djalal comme son nom l'indiquer, ce nom qui représentait si bien la personne qu'il était et qu'il deviendrait avait déjà cette force en lui une force qui définissait chaque être.

- C'est donc ici que tu étais, murmura une voix suave à ses côtés avant de sentir un petit corps se blottir contre lui.

- Il est tellement beau, souffla-t-il à son tour sans lâcher leur fils des yeux.

- Comme son papa, lui fit-elle remarqué en caressant la petite joue potelée de leur fils.

Ils restèrent à le contemplé un long moment avant que celui-ci ne se rendorme, et que son père ne le pose dans son berceau avec dévotion sous le regard tendre de Rosasse.

Alors qu'il renfermait la porte de leur chambre une fois rentré, il l'attira vers lui et la serra fort dans ses bras la prenant au dépourvue.

- Safnath ?

- Chut... lui souffla-t-il dans le creux de l'oreille, je ne sais  pas comment te le dire habibti, commença t-il.

Mais la tête de Rosasse qui tournait déjà à cent à l'heure , s'imaginât déjà le pire scénario possible :

- On a été  heureux mais toute chose a une fin !
Ou pire encore: - Ta famille et toi êtes priez de bien vouloir quitter le palais...

- Rosasse, tu m'entends ? Questionna Safnath d'une voix inquiète en la voyant toute pâle après ce qu'il venait de lui dire.