June Johnson ? OMG, Gilinsky ?!

Chapitre 14 : June ...

- Beacon Hills - Samedi 18 Juin 2039 - 12 : 30 pm.

C'est autour de la table, autour d'un bon repas chaud que June, Jack et leur amis rient. Ils apprenaient une grande partie de leur histoires.

Cameron : Comment as réagis June en te voyant à la porte ?

Jack : Elle a hurlé.

Il rit en ce souvenant de ce moment tandis que June fit la moue. Elle en avait beaucoup voulu à Jack, ce jour - là et n'avait pas hésiter une seule seconde à le frapper pour lui faire comprendre son erreur.

Gilinsky : Que ça ? 

June : Je l'ai aussi frapper.

C'est au tour de Cameron, Kenny, Matthew et Gilinsky de rire en imaginant Jack se faire frapper par June.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoO

- Beacon Hills - Dimanche 21 Février 2016 - 11 : 06 am

Je suis tranquillement assise dans mon canapé, un pot de glace dans mes mains. Malgré l'heure, je mangeais ma glace. La faute à mon coeur meurtrie par l'absence de Jack. Je m'en voulais atrocement, mais je ne pouvais pas faire mieux. J'avais besoin de recul, de beaucoup de recule et cette vie la ne me plaisait plus. J'avais juste besoin de me poser quelques part.

En deux mois, j'avais réussi à garder mon identité secrète grâce au commissariat de cette charmante ville. Ils avaient comprit mon choix rapidement après mes explications. Je m'étais ainsi un peu coupé les cheveux et éclaircie les pointes. Je portais des lunettes rondes et j'avais entièrement changé de style des vêtement. Enfin, c'était surtout pour pouvoir sortir dehors sans craindre que l'on me reconnaisse.

Toc, toc, toc.

Je fronce des sourcils, je ne connaissais encore personne de la ville. Qui cela pouvait-il être ? Je me lève du canapé en traînant des pieds. Ce n'étais pas le vieux voisin du dessous quand même ? Ce dernier taper contre le mur du plafond quand je faisais trop de bruit.

Devant la porte d'entrée, je soupire, en déverrouillant le verrou. Je baille un grand coup, dans toute ma splendeur, sans regarder de qui il s'agit.

... : Waouh, je ne pensais pas voir tes amygdales un jour.

Je stoppe tout mouvement en reconnaissant cette voix. Impossible ... Je regarde la personne alors que des larmes perlent aux coins de mes yeux.

Moi : Jack ?

Jack : En chair et en os, bébé.

Il me sourit et passe la porte pour me prendre dans ses bras. Je le sers contre moi, sentant son odeur d'homme. Je pensais ne plus jamais la sentir. Il referme la porte à l'aide de son pied et pose immédiatement ses lèvres contre les miennes, me retournant pour me plaqué doucement contre la porte. Je me sépare de ses lèvres, à bout de souffle et le regarde dans les yeux. Ses yeux d'un bleu que je ne pensais plus revoir un jour. Que faisait-il ici ? Comment avait-il fait ?