« ... C'est pas faux. »

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Bonjour, bonsoir, mes petits chats !

HEHEHEHE je suis ra-vie (et un peu tristoune aussi, on va pas se mentir XD) d'achever cette fic et de vous partager le reste des conneries de Denki. Un jour peut-être, j'arrêterais de le foutre dans des situations abracadabrantesques (pas du tout, j'ai déjà une connerie pour lui dans mes tiroirs XD).

Ils vont me manquer. Sérieusement. Je les aime d'amour fou XD.

Ça a été un pur plaisir de les écrire et j'espère que vous apprécierez cette deuxième partie ! J'ai fort hâte d'avoir vos avis en tout cas XD !

Très bonne lecture ^^ !


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Chapitre 2 : « ... C'est pas faux. »

« Denki ! Qu'est-ce que tu fous ?! »

Denki regarda un instant les épines de porc-épic entre ses doigts, vraisemblablement pas ce qu'il fallait faire à en croire le regard suspicieux d'Hanta, heureusement assez vif pour avoir glissé sa main sur la sienne avant qu'il n'ajoute sa poignée à leur poudre.

« Je... C'est pas des épines de porc-épic, qu'il faut ? »

« Si, mais pas cinquante ! Une et demie ! Tu suis encore moins que d'habitude, réveille-toi, mon vieux ! »

Il s'apprêta à lancer une connerie, un truc bien salé sur leur différence d'âge réelle pour taquiner Hanta, arrêté net par une caresse lente, étourdissante de pression et d'adresse, sur une partie fort sensible de son anatomie. À la place de la plaisanterie acide, il bredouilla une excuse en tentant de dissimuler son trouble, sans grand succès, et capitula en baissant le nez vers son plan de travail, souffle court.

À la paillasse d'à côté, Hitoshi lui adressa un clin d'œil.

Pour la millionième fois, au moins, Denki lui retourna un regard de supplique, cherchant à l'apitoyer avec un minois de pauvre petite chose apeuré. Le seul résultat qu'il obtint fut une seconde caresse, cette fois descendante jusqu'à effleurer ses couilles, et le sourire d'Hitoshi s'agrandit en le voyant frissonner, incapable d'échapper à ses mains pourtant dissimulées sous le bureau. Nom de dieu, il le détestait.

« Une et demie, Denki, tu peux le faire, ou je dois tout finir moi-même ? » s'agaça Hanta devant son immobilité, laquelle bloquait le passage, en plus.

« Oui, oui, je le fais ! Excuse-moi ! »

Les nerfs aux martyrs, les larmes aux yeux, Denki pila soigneusement l'épine et demie, broyant le peu de sérénité qui lui restait dans le même temps. Et dans son jean, Hitoshi s'amusait à plier ses nerfs de désir, de plaisir, d'une savante composition de son cru en l'enserrant entre son pouce et son index, sadique au possible.

Le pire, c'était qu'il n'avait même pas besoin de le toucher pour arriver à ses fins ! Il suffisait qu'il fasse mine d'activer ses bagues, d'un geste subtil à la seule attention de Denki, pour que le corps de celui-ci le trahisse aussitôt. La simple suggestion d'une des caresses sadiquement parfaites d'Hitoshi et son entrejambe se réveillait, piquant ses nerfs d'un désir qu'il jugeait déraisonnable au possible vu la situation.

Et pourtant, il se serait damné pour que la main actuellement en train de redessiner d'un mouvement de pouce nonchalant le haut de sa queue ne quitte jamais sa peau, continue d'imprimer cet exact même geste jusqu'à le faire mourir sous le plaisir. Dix ans de sa vie pour s'enfermer quelque part dans un placard et laisser Hitsohi ravager son corps sans craindre de se faire choper.

Dans le caleçon des mecs.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant