Derrière la façade - Attal & Bardella

Sensations

Un peu de tension encore, messieurs dames 😮‍💨

Bonne lecture 📖
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Jordan avait du mal à se remettre des précédents événements. Son cœur aurait pu lâcher d'un instant à l'autre lorsqu'il réalisa enfin, qu'il venait de jouir dans les mains de Gabriel. Une limite invisible qu'il s'était toujours juré de ne pas dépasser. Pourtant, il était là, vulnérable devant cet homme qui le troublait tant. Gabriel avait prit soin de s'essuyer et il redressa la tête, son regard se posa sur le visage de Jordan. Ce regard qui, à cet instant précis, semblait tout révéler. Il n'y avait plus de masque, plus de faux-semblants. Leurs secrets partagés flottaient entre eux comme une brume subtile.

Le regard de Gabriel était brûlant, envoûtant. Il détaillait chaque réaction du plus jeune avec une intensité désarmante, presque possessive. Jordan sentait son corps frémir sous ce regard qui le mettait à nu.

- Ne me regardez pas avec ce regard, Attal... murmura-t-il, la voix à peine audible, son corps encore vibrant des souvenirs de leur récente intimité. Ses mains tremblaient légèrement, comme s'il n'arrivait pas à trouver de stabilité.

Gabriel haussa un sourcil, un sourire effleurant ses lèvres. Ce sourire qui semblait dire tant de choses, sans en prononcer une seule.

- Quel regard ? questionna-t-il doucement, son sourire en coin se transformant en quelque chose de plus tendre. Ses yeux scintillaient d'une complicité qu'il n'essayait même pas de dissimuler. C'était comme si le monde autour d'eux s'était arrêté. Le silence se fit lourd, chargé d'une tension palpable. L'air semblait vibrer entre eux, une électricité presque tangible.

- Vous savez très bien... Ne faites pas l'innocent, murmura Jordan en se mordant la lèvre inférieure, comme si les mots étaient trop difficiles à prononcer.

Gabriel resta un instant silencieux, son regard posé sur Jordan, avant de s'approcher doucement.

- N'ayez crainte, je ne vous juge pas, au contraire, Jordan, murmura Gabriel, sa voix douce et rassurante. Ce moment que nous venons de partager... C'était vraiment incroyable, et pour rien au monde je ne le regretterais, ajouta-t-il, le visage soudain sérieux, comme pour souligner la profondeur de ses paroles. 

Jordan ouvra la bouche pour répondre, voulant lui aussi exprimer ses ressentis, mais c'est à ce moment précis, au beau milieu de leur échange, qu'un bruit de trousseau de clés se fit entendre. Des voix lointaines résonnèrent dans le hall d'entrée : probablement la ronde des agents de sécurité.

Merde.

Leurs corps se figèrent instantanément. Ils échangèrent un regard surpris, le cœur battant à tout rompre. Un rire léger, incontrôlable, s'échappa de leurs lèvres. La situation était à la fois cocasse et particulièrement excitante.

Avant de se séparer officiellement, Jordan empoigna fermement la nuque de Gabriel pour un dernier baiser volé. La tension était palpable, et le feu qui brûlait dans leur poitrine les consumait presque.

- Vous ne vous arrêterez donc jamais, murmura Gabriel contre ses lèvres.

- Pas si c'est avec vous, rétorqua Jordan avec un sourire en coin, les joues encore rosies par le désir.

Gabriel secoua la tête avec un air faussement désespéré et l'entraîna par le bras hors de la cabine, tout en vérifiant que l'allée était bien déserte. Les pas se rapprochaient dangereusement des vestiaires ; il ne fallait pas perdre une seconde de plus, sous peine d'être découverts. Imaginez le scandale que leur présence dans la même cabine aurait pu provoquer.
« Affaire explosive : Bardella et Attal en pleine passion dans une cabine de piscine ! », « Scandale politique : Bardella et Attal pris en flagrant délit d'intimité !», « Relation cachée ? Bardella et Attal, surpris en pleine étreinte à la piscine ! » ou encore « Révélation choc : Bardella et Attal cachent-ils une liaison secrète ? ».