Chapitre 47 : Emma

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J'avance au rythme de mon père jusqu'à entrer dans la grande Abbaye de Londres, le Westminster. Là où tous les rois et reines d'Angleterre se sont mariés, c'est aussi là que se sont mariés les parents d'Adrian. À l'intérieur de la grand ebatise, j'aperçois l'homme qui est prêt à partager sa vie avec moi. Il se tourne vers moi, durant quelques secondes il reste les yeux écarquillés en me fixant. Nos regards se plongent dans l'un et l'autre, il n'y a plus que nous deux. Il nous entrons dans notre bulle, ou il n'y a que son regard gris perçant, mistérieux, viril. 

Chaqu'un de mes pas me rapproche de plus en plus de lui, mon corps se tord d'impatience de ressentir sa chaleur à côté de moi. Quand enfin mon père pose ma main sur la sienne, le temps s'arrête. Il m'a tellement manqué ! 

- Mercie, beau-père.

Mon père va s'asseoir sur la première ranger avec ma mère, me laissant avec lui. Il sourit, et murmure quelque chose à mon oreille.

- Tu es ravissante, Pikachu. Ça va être compliqué de ne pas te sauter dessus. 

Le rouge me monte le visage, il choisit mal son moment pour me dire ce genre de chose. Je me mord la lèvre inférieur, et ne répond pas. Il y a le prêtre juste en face de nous, je relève le regard et le fixe. Il commence à prononcer les mots de Dieu.

- Adrian Maximilian Charles Windsor Nestor, acceptez-vous de prendre Emma Elena Bray pour épouse pour le meilleure et le pire jusqu'à ce que la mort vous spares ?

- Oui, je l'accepte.

Il n'a même pas hésiter, ça le rend encore plus mignon. Maintenant, c'est à mon tour.

- Emma Elena Bray, acceptez-vous de prendre Adrian Maximilian pour époux pour le meilleure et le pire jusqu'à ce que la mort vous sépare ?

- Oui, j'accepte;

     Josh donne à Adrian sa bague, il me met la bague, ensuite vient mon tour. Je fais de même, la bague lui sied comme un gant.

- Par les pouvoir qui me sont conférés je vous unie marie et femme.  

- Vous pouvez embrasser la marier.

- C'est tout ce que j'attendais.

      La foule glousse. Il se penche et m'embrasse, en apparence, ce baisser à l'air d'être chaste. Mais, en vérité il ne l'ai pas du tout, puisqu'il est en train d'explorer l'intérieur de ma bouche avec sa langue. J' entoure mes bras autour de son cou, il m'a tellement manqué.  La sensation de ses lèvres sur les miennes m'ont aussi manqué, en fait tout de lui m'a manqué. Soudain, le prêtre toussote. Adrian, recule le regard toujours sur moi.

      Le rouge me monte aux joues, je détourne le regard. Il vient vraiment de briser les règles de bienséance. Mais personne ne dit rien, je laisse aussi tomber. Cela ne sert à rien de lui faire la morale, puisque je n'ai pas détesté. Il passe sa main autour de ma taille et nous nous retournons vers nos proches, qui nous félicites.


1 h plus tard

    Adrian et moi entrons dans la salle de réception, habiller dans des vêtements plus confortable. Nous nous asseyons à nos place, le repas commence à être servis. Je me rends compte que j'ai vraiment faim, je n'ai rien avalé depuis ce matin.

     Après avoir dîner, nous sommes allés sur la piste de danse, avant de danser, Adrian s'agenouille devant moi. Je sais ce qu'il va faire, je m'y suis préparer. Sa tête plonge sous ma robe, je ne sais pas s'il fait exprès de passer sa langue sur ma jambe, ou c'est comme ça qu'on fait. Mais la sensation est incroyable. Ses lèvres arrivent jusqu'aux ruban attaché sur ma cuisse gauche. Il le défait avec ses dents, ne ratent pas l'occasion de me mordre. Tout le monde rit en le voyant relever la tête avec le ruban entre les dents. Il met le ruban dans sa poche avant de commencer à danser, mon corps collé contre le sien nous commençons une valse lente et calme.

- Mon cœur, ta culotte est complètement mouiller. Me fait-il remarqué, comme si ce n'était pas sa faute.

- La faute à qui ?

- J'ai le droit de te kidnapper, là ou pas ?

- Me faire kidnappé par mon mari, ne me dérange pas. Mais si tu veux rester en bonne relation avec mon père, tu as le choix.

Il se tend, et ne dit plus rien. 

- J'ai compris, je vais patienté jusqu'à ce que nous soyons enfin seul, Madame Nestor.

Un sourire de plaisir se dessine sur mes lèvres. Je suis sa femme et il est mon marie.

- Ad, je t'aime.

- Ce que je ressens pour toi, n'a pas de mot pour le qualifier. C'est au-delà de l'amour, c'est encore plus que ça.

La soirée se finit dans une bonne ambiance, l'heure du départ est arrivé. Adrian me bande les yeux et me met un casque, pour ne pas que j'attende où est-ce qu'on va. Il est bien russée, mon marie.

Quand, il m'enlève le masque. Je remarque, qu'on se trouve dans une chambre. Dans la douce lumière de la chambre, les ombres dansent sur les murs, créant une atmosphère intime et chaleureuse. Le parfum subtil des fleurs fraîches flottait dans l'air, tandis que des notes de musique douce s'élevaient, enveloppant l'espace d'une mélodie apaisante.

Il me regarde, nos yeux s'accrochent avec une intensité palpable. Chacun de ses regards était une promesse, une invitation à explorer des territoires inconnus. Nos mains se cherchent, se trouvent, se frôlent timidement avant de s'agripper avec une passion contenue. Nos respirations s'accélèrent, un rythme partagé qui annonçait l'intensité à venir.

Il glissa doucement ses doigts le long de mon bras, une caresse délicate qui éveilla chaque pore de ma peau. Je frissonne sous ce contact, une vague de chaleur me parcourant. Ses yeux s'illuminent, révélant un mélange d'envie et de tendresse. Je m'approcha, mes lèvres effleurent les siennes, un baiser d'abord doux, puis de plus en plus pressant, comme si je cherchais à m'approprier son goût.

Nos corps se rapprochent, un ballet de chaleur et de désir. Je sens mon cœur battre à tout rompre alors qu'il m'attire vers lui, mes mains se perdant dans ses cheveux, me tirant doucement vers un monde où seul existait notre plaisir partagé. Les vêtements tombent lentement, comme des feuilles d'automne, révélant ma peau douce et chaude, chaque courbe, chaque contour illuminé par la lumière tamisée.

Il m'explore avec une lenteur exquise, ses mains traçant des motifs sur mon corps, découvrant des territoires familiers mais toujours aussi excitants. Je me cambra sous ses caresses, une mélodie de soupirs et de murmures s'échappant de mes lèvres. Chaque contact était une promesse, chaque baiser une déclaration.

Nos corps s'entrelacent, se mouvant en harmonie, comme si nous avions toujours dansé ensemble. La passion grandit, se transforment en un feu ardent. Je me perdit dans ses bras, me laissant submerger par le plaisir, chaque sensation amplifiée par notre connexion profonde. Nous étions deux âmes fusionnant en une seule, oubliant le monde extérieur.

Les soupirs se transformèrent en cris de plaisir, les mouvements deviennent plus frénétiques, plus désespérés. Nous nous cherchons, nous nous trouvons, nous nous abandonnons à cette vague d'émotion brute. Chaque geste est chargé de désir, chaque regard est une promesse de dévotion.

Il ne se prive pas de laisser des suçon sur mon corps, mes ongles se plantent dans son dos au moment où son sexe entre en contacte avec le mien. Je le désir tellement que je ne peux plus me retenir, cela devient insupportable. Comme s'il lisait dans mes pensées, il donne un coup de rein, qui m'arrache un cri. La cadence s'accèlèrent, le désir devient plus fort. Tout mon corps tremble de plaisir.

- Je t'aime, Adrian.

- Moi aussi, je t'aime Pikachu.

Amour interdit (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant