Un jour ensoleillé au camp des Sang-Mêlés, Grover et Annabeth décidèrent de se retrouver pour une journée d'exploration. Annabeth avait toujours admiré la passion de Grover pour la nature, et elle voulait en apprendre davantage sur ses compétences en tant que satyre.
« Prêt pour une aventure ? » demanda Grover, un grand sourire aux lèvres.
« Absolument ! Où allons-nous ? » répondit Annabeth, l'excitation dans la voix.
Grover l'entraîna vers la forêt, lui montrant les différentes plantes et animaux qu'ils croisaient. Il s'arrêta devant un arbre majestueux. « Regarde, Annabeth, c'est un chêne blanc. Les nymphes aiment y vivre. »
« C'est impressionnant ! » s'exclama-t-elle. « Et je parie qu'il y a plein de mythes à son sujet. »
Grover hocha la tête. « Oh, tu n'as aucune idée ! » Il commença à lui raconter des histoires sur les nymphes et les esprits de la forêt, captivant Annabeth avec sa passion.
Alors qu'ils poursuivaient leur chemin, ils rencontrèrent un groupe de nymphes en train de s'occuper d'un petit ruisseau. Annabeth, curieuse, s'approcha. « Que faites-vous ici ? »
Les nymphes, heureuses de leur visite, expliquèrent qu'elles nettoyaient le ruisseau pour s'assurer que l'eau restait claire et pure. Grover, en voyant cela, eut une idée. « Et si on les aidait ? »
« Excellente idée ! » dit Annabeth avec enthousiasme. Ils se mirent au travail, riant et plaisantant pendant qu'ils ramassaient des feuilles et des débris. Annabeth se rendit compte à quel point Grover était connecté à la nature, et cette complicité renforça leur amitié.
Après avoir terminé, les nymphes les remercièrent en leur offrant des couronnes de fleurs. Grover mit la sienne avec fierté, tandis qu'Annabeth riait de l'allure qu'il avait. « Tu es vraiment un satyre chic ! » plaisanta-t-elle.
En continuant leur exploration, ils arrivèrent à une clairière où un vieux chêne se dressait. Grover se tourna vers Annabeth. « Tu sais, je me sens tellement chanceux d'avoir une amie comme toi. »
Annabeth, touchée, répondit : « Moi aussi, Grover. Tu m'apprends à voir la beauté dans les petites choses. »
Ils passèrent le reste de la journée à discuter, à explorer et à partager des histoires. En fin de compte, Annabeth réalisa que leur amitié était un trésor précieux, basé sur la confiance et le respect mutuel.
De retour au camp, les deux amis se regardèrent, heureux et épuisés. « On devrait faire ça plus souvent, » proposa Grover.
« Absolument. La nature a besoin de nous ! » conclut Annabeth, un grand sourire sur le visage.
Ce jour-là, leur amitié se renforça, prouvant qu'ensemble, ils pouvaient accomplir de grandes choses, même en plein cœur de la nature.
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OS en tout genre _ HOO
FanfictionDu Jasper, des couples fictifs et bien sur ... du Percabeth