C'est deux dernières semaines ont été les semaines où j'ai le plus stressé. Entre les examinées de fin de session et les révisions qui vont avec, ma mère qui avaient toujours ses béquilles et que je ne voulaient pas laisser seule même si je sais qu'elle se debrouillerait très bien sans mon aide et les multiples heures que je passe à la bibliothèque. J'étais tellement stressé que j'en avais oublié de manger. Si Josh n'était pas là, je pense que je serais à l'hôpital. La seule touche de réconforter que j'ai pu trouver dans tout ce chaos a été quand Édouardo est venu chez ma mère alors que je n'étais pas au courant. Ce fut vraiment une surprise.
— Josh, tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé le week-end dernier.
— Quoi? Tu as eu une pipe par la meilleure pote de Carla que tu n'arrête de fixer et maintenant ça te mets en joie?
Je suis venu chez lui dès que mon dernier examen fut achève pour lui raconter ce qu'il s'est passé avec Élena, en modifiant quelques détails. Je suis surpris qu'il m'ait surpris en train d'espionner, même si ce n'est pas la bonne personne
— T'es vraiment un affamé de la vie et non, heureusement ça n'est pas arrivé.
— Comment ça heureusement, le Sam que j'ai connu n'aurait pas dit ça!!!
Est ce que j'ai déjà dit que parfois il peut être très bête?
— Je peux m'expliquer ou tu vas encore dire des chose inutiles?
Il lève les mains au niveau de son visage en signe de capitulation.
— Donc, je voulais te raconter ce qu'il m'était arrivé il y a deux week-end maintenant... Est-ce que tu te souviens de Élena, la meuf qui sortait avec Cooper au lycée et qui faisait n'importe quoi dans son dos?
Il semble comprendre de qui je parle puisque don visage s'illumine d'un coup.
— Oui, mais ça ne me dis pas ce qu'elle a fait. Elle n'avait pas déménager à Los Angeles?
— Eh bien, figure toi quellr est toujours à New-York et qu'elle a même dormi chez moi.
De là, je commence à lui raconter la mésaventure en changeant le il de Édouardo par elle.
— Elle n'a vraiment pas changé, même pasnun peu en plus. lâche-t-il une fois mon monologue finit.
On se regarde dans les yeux pendant quelques secondes avant d'éclater de rire à l'unisson. Ma relation avec lui n'a peut-être pas été conviviale au début, mais on a réussi à s'apprivoiser et...
Ah parce que maintenant vous êtes des animaux?!
— En plus... fallait voir comment Cooper se pavanait... av...avec elle dans les couloirs.
Je me souviens encore de la fois où Cooper a faillit s'énerver contre l'un de ses amis parce qu'il draguait sa copine alors que c'était Élena qui le faisait, il était aveugle...
— T'as vraiment... une vie... aléatoire!!!
Il a pas tord.
— Tu veux parler de la tienne peut-être?
Il s'arrête subitement de rire et prend un visage neutre.
— Non merci, pas la peine.
— J'me disais bien. Sinon t'en es où avec Carla? Parce que rester là à la fixer comme un psychopathe fait flipper.
Un blanc s'installe. Il se lève du canapé sur lequel nous étions installés et duquel nous n'avions pas bouger et reste debout au milieu de la pièce.
— Pourquoi tu me posés cette question alors que je ne l'aimes pas?
Il pense mentir à qui comme ça là?
— Tu va me dire que je mens mais si tu ne l'aimes pas, pourquoi t'es crispé quand elle s'approche un peu trop de frère de Neskie? Si tu ne l'aimes pas, comment se fait-il que le moindre changement qui arrive chez elle, tu le remarques? Si tu ne l'aimes pas...
— Je suis juste observateur et intrigué, c'est tout. Et je ne suis pas crispé quand elle s'approche de ce type.
Je suis certain que même lui il ne se croit pas. Je ne vais pas m'attarder là-dessus ou le baratiner avec ça mais tôt ou tard le karma va le rattraper et tout va ́ui retomber dessus.
— C'est bon, détends toi, pas la peine de t'énerver.
— Je ne vais pas m'énerver pour ça... Sinon, comment va ta mère? Tu m'avais dit qu'elle s'était blessé à son travail, rien de grave j'espère?
Me mère et lui se sont très vite bien entendu. J'étais très heureux de les voir s'entendrent comme mère et fils. Elle le considère comme le deuxième fils qu'elle aurait voulu avoir. Si je lui dis que je suis avec Josh, elle sera tout de suite rassuré alors que c'est lui qui me fourre dans des plan foireux.
— Rien de grave, heureusement elle va bien, elle doit juste avoir des béquilles et un plâtre pendant le reste du mois c'est tout. Et la tienne?
— Elle va super bien, elle voudrait que tu viennes dîner à la maison un de ses quatre.
— On peut y aller ce soir, je n'ai rien de pr...
Je me fais interrompre par les vibrations que produit mon téléphone qui était posé sur mes genoux.
— Ta mère m'a invité chez elle et elle veut faire une soirée jeu, tu viens?
— Josh, — commencé-je en me dirigeant vers le porte manteau pour l'enfiler et mettre mes bottes — ça sera pour une prochaine fois, ma mère a besoin de moi.
— OK, tu lui passeras le bonjour de ma part.
T'inquiète Josh, c'est pas comme si il se sauvait pour aller rejoindre son potentiel futur petit ami.
J'aime pas conscience parfois, surtout quand j'essaie d'oublier certaines choses.
— Pas de soucis, au revoir.
On fait notre salue habituelle avant que je ne parte dans ma voiture.
La température de l'extérieur me fait frissonner quand je sors. Nous sommes presque en mi novembre et le froid commence vraiment à s'installer. Il ne manque plus que la neige et ça sera comme dans les films et séries que maman et moi avons l'habitude de regarder à chaque Noël.
Noël a toujours été l'une de mes saisons favorite parce que même si maman travaille toute l'année, elle ne raté jamais cette fête. Elle voulait toujours le passé avec la seule famille qui lui restait. Même si ma soeur n'est plus parmi nous, elle continue de faire perdurer cette tradition et je sens bien qu'il y aura une nouvelle personne sur la liste cette année.
***
— Je suis là! annoncé-je une fois le pas de la porte passée.
Je les retrouve assis sur le tapis du salon autour de la petite table basse beige sur laquelle trône plusieurs jeu de société et des puzzles. Ils ont chacun un bol de pop-corn devant eux. À l'entente de ma voix, ils arrêtent de discuter et sr retournent pour me faire face.
— Ne reste pas planté devant la porte avec ce manteau qui te fait ressembler à un soldat partant à la guerre et vient nous rejoindre. plaisante ma mère.
Je ne prête pas attention à ce qu'elle vient de dire parce que je sais que je vais sûrement rire et commence à enlever mon manteau et à me déchausser.
— Maintenant qur tu es là, on peut commencer.
Coucou coucou coucou, vous allez bien?
Un retour de deux des favoris,
J'en connais qui vont être ravies après la lecture de ce chapitre.Je n'ai rien d'autre à dire à part que je vous aime et qu'on se dit à bientôt pour le prochain chapitre.
Bisous!!!
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Sokhiev
RomanceDepuis ses années de lycée, Sam a toujours été celui qui comme on l'appelle " un coureur de jupons ". Il changeait de petite amie comme on change de chaussures. Depuis sa dernière rupture, Édouardo n'a plus jamais eu de relation. Il pensait qu'il ne...