Chapitre 1.

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*Il est 8h du matin*

Point de vue de neyla

Sara : NEYLAAAAAAA ! NEYLA... NEYLA... NEYLAAAAA...NEYLA !

Moi : PUTAIN FERME TA GUEULE, TU VOIS PAS QUE JE DORS LÀ ?

Sara : Il est 8h, ma grande, réveille-toi.

Moi : NAN, SORS DE MA CHAMBRE, J'RIGOLE MÊME PAS AVEC TA MÈRE.

Sara : MAMAAAAANNNNN, ELLE VEUT PAS SE RÉVEILLER !

Ma mère : NEYLAA, RÉVEILLE-TOI, A DIK LMESKHOUTA ! ON SORT DANS 30 MINUTES !

Je me lève et passe devant Sara pour aller dans la salle de bain.

Moi : Wallah, vous cassez les couilles.

Sara : MAMAAAAANNNNN !

Moi : Nan, c'est bon, ferme ta bouche.

Je me regarde dans le miroir. En vrai, je captait pas ce qui se passait, et tout d'un coup, je capte que C'EST AUJOURD'HUI MON VOL ! Je m'habille avec un jogging gris, un top moulant blanc avec la veste du jogging, et je mets des claquettes chaussettes. Je fais mon full face, un chignon plaqué et vérifie que toutes mes valises sont bien rangées.

Ma mère : Allez tout le monde, on sort.

Je voulais vraiment pas quitter chez moi, mais en vrai, un peu de changement me ferait du bien. On monte dans la voiture et on va à l'aéroport.

Ma mère : Nari (oulala), on est en retard et regardez la queue qu'il y a ! Jamais on réussira à prendre cet avion, bayna (ça se voit).

Moi : Nan t'inquiète maman, on va trouver une faille.

Ma mère : C'est quoi ça mazal ( encore ) une faille ?

Moi : Nan, c'est bon, t'inquiète.

On se met dans la queue et on attend 30 minutes. On était à deux doigts de rater notre avion, mais on a réussi.

Je vous passe le moment du vol, j'ai fait que dormir.

On arrive enfin à Paname. Je découvre ma nouvelle cité, en vrai je sentais qu'il se passait des dingueries ici mais vas-y. Je commence à faire descendre les valises du coffre de la voiture qu'on avait louée.

Ma mère : Neila, tu restes ici et tu fais rentrer les valises. Moi et Sara, on va commencer à déballer les cartons.

Moi : Ok, t'inquiète, je fais ça.

Je commence à faire rentrer les valises mais je galère de fou. J'étais à la 4eme alors qu'il y en avait 12.

Au moment où je retourne vers la voiture, je vois un gars qui commence à s'approcher, mais je le calcule pas trop, peut-être qu'il ne se dirige pas vers moi. Je baisse la tête pour attraper la prochaine valise, et quand je la relève, le gars est devant moi.

Le gars : Salem.

Moi : Salem ?

Le gars : Mec, ça se voit que tu galères avec toutes ces valises, tu veux que je t'aide ?

Moi : Nan merci ça va aller.

Le gars : Nan t'inquiète, je gère.

De là, il prend la valise que j'avais dans les mains.

C'est là que tout a commencé...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant