Chapitre 24

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Ghali : T'es vraiment la fille que je veux, Basma.

Moi : Hein ?

Ghali : Je veux finir mes jours avec toi, j'te parle sérieux.

J'étais hyper, hyper, hyper heureuse d'entendre ça, les filles, même pas vous imaginez. Mon cœur battait tellement viteeeee, sauvez-moiiiiiii.

Ghali : Le jour où Neyla s'était fait agresser, je voulais que tu descendes pour te montrer un truc.

Moi : Ouiii, c'est vrai, et du coup ?

Il sort une boîte de sa poche, il l'ouvre et je vois quoi ??? UNE BAGUE DE PROMESSEEEEEEE.

Moi : Waaaa, elle est trop belleeee, c'est trop gentil Ghali.

Je le prends dans mes bras.

Ghali : C'était pour te prouver que je t'aime.

J'ai rougi, j'avoue que c'était gênant un peu, mais c'est trop mignon, imaginez ça vous arrive... Oééé, voilà, du coup laissez-moi et mon homme dans nos délires gênants 😇.

Ghali : La prochaine fois, j'te demande en mariage.

Moi : Je veux un truc bien fait, hein, les caméras, les fleurs, les bougies...

Ghali : Tkt, Safaa va m'aider.

Et là, je pète de rire.

Ghali : T'as quoi mdr ?

Moi : Safaa, t'aider ?? (en rigolant)

Ghali : Bah quoi ?

Moi : Elle va rien faire à part rester assise, elle.

On se met à rigoler.

Ghali : Bah Neyla alors.

Moi : Nan, ça va, je rigole, ma sœur la plus belle de toutes, je l'aime trop.

Ghali : Ça se voit mdr.

Je lui souris.

De là, on prend la route pour chez moi, et je faisais que regarder la bague, elle était trop belle, j'allais mourir.

Il me l'a prise car je faisais que la republier mdrrr.

Point de vue de Jodie

Il était vers 13h et je venais d'arriver à côté de mon bâtiment.

Hamza : Tu veux pas qu'on aille manger ?

Moi : Nan, désolée, je suis hyper fatiguée, j'ai pas dormi de la nuit.

Hamza : J't'ai dit quoi, tête de mule.

Moi : J'avais trop peur pour Neyla, vraiment, c'est limite ma sœur.

Hamza : Je comprends, mais quand même, t'as pas dormi, c'est pas bien pour toi.

Moi : ...

Hamza : Viens chez moi, y'a personne.

J'sais pas comment le prendre, la vérité, j'ai peur que si je rentre, il me fasse des trucs, mais après la dernière fois, il s'était endormi sur une chaise, du coup je me dis qu'il va rien se passer.

Moi : Ok, vas-y.

Il met son bras autour de mon cou et on monte dans son bâtiment.

Je rentre chez lui en premier et après il ferme la porte. On se pose sur son lit et je reçois un appel de mon père.

Hamza : C'est qui ?

Moi : Mon père.

Hamza : Mets le haut-parleur.

C'est là que tout a commencé...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant