13. Jalousie

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[Charles]

2 semaines, 2 semaine de silence, aucunes nouvelles, aucuns signes.

Pourtant j'y mettais du miens, chaque jours je tentais de l'appeler, mais rien. Que ce soit mes messages ou mes appels, elle n'avait pas daigné répondre, même pas une fois.

"Charles, réveilles toi la, je t'ai pas emmené ici pour que tu restes assis dans un coin à rêvasser."

Arthur, mon idiot de petit frère, il avait le chic pour m'embarquer dans des soirées quand j'en avais vraiment pas besoin.

« Laisse faire, va t'amuser et laisse moi tranquille tu veux ? »

"Il y'a un tas de mec hyper influent ici, tu dois faire bonne image, t'es un pilote reconnue dans le monde entier je te rappel."

Hm, il a raison.

Mais ça ne m'importe pas.

J'étais pas d'humeur à aller déballer mon faux sourire au milieu de tout ces gens tous imbus d'eux même, j'avais juste envie de rentrer.

Et de la voir.

"Charles, et si tu te trouvais une fille ? Je t'ai pas vu flirter avec ne serais ce qu'une seule femme depuis que t'es plus avec charlotte."

Hm si, tu n'étais juste pas là pour me voir quand j'étais chez elle.

« Ça m'intéresse pas pour l'instant. »

"Regarde la brune qui vient de rentrer la, c'est sûr qu'elle va te plaire, lève la tête et regarde un peu autour de toi. "

Non je veux voir Elisa.

"Ah nan j'ai rien dis, je crois qu'elle est avec son copain."

Un couple ? Je connais ce genre de soirée, et croyez moi, ce n'est pas le genre à venir en couple. Ce n'est pas pour rien que mon frère m'emmenait ici, c'était le style d'endroit où on repartait avec un coup d'un soir.

Je levais alors la tête pour voir ce fameux couple.

Le garçon est grand, il est assez élégant son sourire semble un peu joueur, sa pauvre copine, ce garçon risque d'attirer toute la gente féminine ce soir.

Et sa copine alors ? Je détournais mon regard du garçon pour les poser sur elle.

Oh non...

Qu'est ce que qu'elle fait la ?

Le brouhaha ambiant semblait disparaître, mon cerveau se mettait en pause, mes yeux restaient fixés sur elle.

Elisa.

Était ce vraiment son copain ? Non impossible.

Ils sont proches. Il tient sa taille.

C'est qui ce mec ?

Mon cœur semblait s'affoler un peu, l'envie de me jeter sur lui pour lui faire enlever ses sales mains de son corps devenait presque incontrôlable.

"Eh Charles, me dis pas que tu craques sur cette fille, c'est probablement la seule qui est venue avec son mec, change de cible."

Onirique - Charles LeclercOù les histoires vivent. Découvrez maintenant