17

224 30 63
                                    

En arrivant au stade bonal, j'ai garé la bécane avant d'en descendre, le cerveau retourné à cause de la dernière phrase d'Asaël

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

En arrivant au stade bonal, j'ai garé la bécane avant d'en descendre, le cerveau retourné à cause de la dernière phrase d'Asaël.

Mais ce qui me choquait le plus c'est que Yakim soit mort.

J'avais du mal à y croire. J'peux pas faire confiance à Asaël si ça ce trouve il me ment, si ça ce trouve il fait ça pour me niquer.

Il me pisse dans le cerveau ce mec c'est un truc de fou.

J'étais donc en train de marcher en direction de l'entré du stade bonal qui était vide étant donné qu'il n'y avait pas de match ce soir.

Mais alors que mon pied allait franchir la porte du stade qui était grande ouverte j'ai senti une grosse main horrible ce poser violement sur mon visage.

Quelqu'un venait de me prendre par derrière. Mais j'ai rien eu le temps de comprendre ni de voir quoi que ce soit que je me suis retrouvé par terre, la personne m'a mis un sac en tissu noir opaque sur la tête.

J'ai commencé à hurler, à bouger mes membres dans tous les sens mais je me suis retrouvé pieds et poings liés. La personne venait de passer une corde autour.

Puis, la personne m'a porté comme un vulgaire sac à patate avant de me jeter sur un sol humide.

J'étais plongé dans le noir, la respiration aletante, le cœur battant la chamade.

Qu'es ce que c'est que ce bordel encore ?! C'est les zouaves, ils vont m'exécuter j'en suis sûre et certaine !

Ils ont pas cru mes paroles alors ils vont me tuer pour ce debarasser de moi. Ils pensent que je bosse pour le patron.

J'ai du rester dans cette atroce position avec mon sac sur la tête pendant 20 minutes, jusqu'à ce qu'on me retire violement le sac de ma tête.

Immédiatement les lumières fortes du stade bonal m'ont éclaté les yeux que j'ai refermé directement.

Puis, quelqu'un venait de couper les ficelles qui retenait mes chevilles et mes poignets liés.

J'ai réussi à ouvrir les yeux lentement. J'ai reconnu la voix de la blonde qui m'a dit :

Blonde : Mauviette.

Puis, je me suis remise debout. En regardant autour de moi j'ai vu plusieurs personnes. Une dizaine d'hommes et de femmes de 20 à 40 ans m'entourais.

Parmis ces gens qui semblait normaux il y avait la blonde, le renoi et un mec asiatique qui nous fixait tous un par un par.

Ils ce différencier des gens autour de moi parce qu'ils étaient vêtu en costard cravate blanc.

Contrairement à nous tous qui étions vêtu de noir, en vêtement urbain.

Renoi : Bon, si vous êtes ici c'est pour faire vos preuves. Vous tous ici vous voulez rentrer dans notre bande ? Alors faite vos preuves !

《 Aïsha : Crépuscule de mon passé. 》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant