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Assise dans la voiture aux côtés de mon frère Amine, je regardais les gouttes de pluie s'abattre sur la fenêtre

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Assise dans la voiture aux côtés de mon frère Amine, je regardais les gouttes de pluie s'abattre sur la fenêtre.

Moi : T'es sûre qu'on risque rien ?

Étant des enfants de la rue on a du ce battre pour survivre. C'est pour ça que pour vivre on est obligé de faire ce qu'on vas faire.

Amine : Ouais t'inquiète. J'le surveille depuis deux semaines ce chien, il dort toute la nuit. Il vie tout seul se blindé d'merde.

Moi : Pas d'alarmes ?

Amine : Nan juste une caméra sur son porche.

Moi : Pas de chiens ?

Amine : Nan, nan.

Moi : Hum. Ouais bah j'espère qu'on ira pas en garde à vue. On s'en est tiré de justesse la dernière fois.

Amine : T'inquiète.

Arrivé devant l'immense maison, on est sortie de la voiture sans bruits.

J'ai pris mon petit couteau et mon sac en tissu avant de me diriger vers l'immense portail aux côtés d'Amine.

Une fois devant le portail j'ai pu constater à quel point la maison était grande. Même si il faisait nuit j'arrivais aussi à voir que dans la cours il y avait un tas de grosses voitures comme des Jeep ou des Mercedes.

Et quand je voyais ça je ressentais même pas une once de pitié pour notre vicitme. Un mec riche qu'on allaient dépouiller dans quelques instant.

Ont a escaladé le grand portail avant de tomber dans son jardin.

Moi : Je vois rien !

Amine : Ta gueules.

Il pleuvait des cordes, et il faisait nuit noir. Il n'y avait que la lune qui nous éclairait un minimum. Grâce à elle ont pouvait ce repérer un petit peu.

Alors on c'est mit a avancer à tâton dans le noir, on entendait juste le graviller frémir sous nos pas.

Je suivais Amine qui avait l'habitude de ce repérer dans l'obscurité. Après quelques minutes marches ont a finit par arriver à l'arrière de la maison.

Amine a sortie son pied de biche avant moneuvrer et de réussir à lever le volet en faisant le moins de bruit possible.

Maintenant que le volet était soulevée j'avais accès à la baie vitré.

Amine : Vas-y.

J'ai donc enfoncé mon couteau dans la fissure de la baie vitré avant de le manier de plusieurs façon, puis, la fenêtre c'est ouverte.

Je suis rentré la première dans l'immense maison qui puait le renfermé. Cette odeur est typique de toutes les maisons qu'on cambriole.

Amine est rentré à son tour dans la maison en laissant le pied de biche sur le volet pour qu'il le maintienne ouvert.

《 Aïsha : Crépuscule de mon passé. 》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant