Textes. Mes textes.

Ma métisse.

«Tu sais mon ami, cette femme, c'était l'une des plus belles que j'avais pu voir au cours de ma minable vie. Jamais je ne pourrais l'oublier.

De qui je veux parler ? Mais voyons, de cette femme à la peau si belle. Tu sais, cette femme à la peau si délicieuse que ça nous donne envie de la manger et qui rend les femmes jalouses. Quoi ? Tu ne vois toujours pas ? Je n'en reviens pas. Attends mon ami, je vais t'en dire plus. Essaye de t'en souvenir.

Tu sais, elle a ces cheveux d'un brun intense aux reflets blond quand elle va au soleil. Cette femme au yeux marron foncé, mais tu sais, qui ont eux, cette lueur d'espoir et de courage face à la vie. Comme s'ils n'attendaient qu'on les pousse à faire de leurs mieux pour montrer qu'ils ne lâcheront rien. Ouais, ces genres de yeux marron qui nous font vibrer et transpirer quand ils se posent sur nous. Qu'ils nous parcourent tout doucement, le long de notre peau si pâle.

Elle a aussi ces petites taches de rousseur sur le nez. C'est peut-être bien ça, qui nous fait croire qu'elle est faible. Mais j'te jure mon ami, il ne faut jamais sous-estimer une femme à son apparence. Oh non. Mais tu sais, cette femme, oh oui cette femme, elle est si belle cette femme.

Elle commence à revenir dans ta tête ? Super. Je continue malgré tout. Cette femme, c'est l'une des femmes au pigment de peau si beau, mais qui nous fait fondre le cœur rien qu'avec un mot. Sa voix. Mon dieu, sa voix, elle est si douce. Elle pourrait bien nous hypnotiser avec qu'un seul mot. Elle pourrait avoir les hommes à ses pieds, avec un seul mot.

Alors ça y est mon ami, tu t'es souvenu ? N'était-elle pas si belle ma douce ? Celle qui prenais les gens comme ils étaient à l'intérieur. Oh oui, ce petit bout de femme là, jamais je ne pourrais l'oublier. Jamais au grand jamais. Je l'aime bien trop, cette métisse au grand cœur. »