ANGEL

Chapitre 4 - Partie 2

Je ne bougeai pas. Il me fit un autre bisou plus dans le cou, puis se colla encore plus à moi  et je pouvais sentir son désir. Il me semblai énorme. Il descendis ces mains et arriva sur mes cuisses nues. Il passa ses mains sous ma robe puis remonta tout doucement, il s'arrêta juste avant mon intimité, là où mon désir pour lui étais le plus intense. Il redescendis avec la même lenteur. Il me rendais folle par ses caresses. Puis il retira ses mains complètement. J'eus froid d'un coup là où ses mains étaient passées.

Il me retourna face à lui. J'étais maintenant le dos collé au meuble. Il étais toujours aussi proche de moi, ses yeux rivés aux miens.

- Tu n'as pas besoin de me dire que tu as envie de moi, ton corps parle pour toi.

J'avais envie de lui, même quand il étais aussi sur de lui avec moi, c'étais peux-être même ce coté la de lui qui m'attirai plus que je ne le pensais. Je l'embrassa, il parut surpris puis me rendis mon baiser. Nous nous embrassions comme si nos vies en dépendaient. J'avais terriblement envie de lui, je le voulais sur moi, en moi, partout. Je l'avais bien fait pendant une partie de ma vie. Coucher juste pour le plaisir avait été un refrain à un moment donné de ma vie. Après tout pourquoi refuser ce soir alors qu'il est l'homme le plus sexy que j'ai pu rencontré jusqu'à maintenant.

Il passa ses mains sous mes genoux et me souleva. J'étais plaqué contre le meuble, les cuisses serrées autour de sa taille. Nos bouches ne s'étaient pas quittées.

- J'ai tellement envie de toi Leelou.

- Moi aussi.

Il grogna. Sa bouche avait envahi mon cou, il me mordillait, ce qui amplifia mon désir. Il se retourna et me posa sur le plan de travail. Ma robe étais remontée jusqu'à l'intersection de mes cuisses. Une fois qu'il m'eut posé, il passa ses mains dans mon dos et baissa la fermeture éclair de ma robe, puis il me souleva pour dégager ma robe de sous mes fesses et me la fit passer par dessus la tête. 

J'étais maintenant en sous vêtements dans sa cuisine, alors que lui étais encore complètement habillé. Je décidai de rectifier ça. Je passa mes mains sur son torse, puis arrivé en haut je commença à déboutonner les boutons de sa chemise. Il s'étais reculer et me regardais faire. Puis il leva les yeux et croisa mon regard.

- J'ai peur que ça ne dure pas bien longtemps Leelou, si tu continu a jouer autant avec mon désir ! J'en peux déjà plus.

Il respirait fort.

- C'est la première fois que j'ai autant envie d'une femme. J'ai envie d'être en toi maintenant. 

Je n'avais même pas eu le temps d'admirer son corps que déjà il me prenait dans ses bras. Il me souleva et m'emporta dans le salon où il me remit sur pied. Mes jambes eurent t du mal à me porter. Il m'enleva mon string. Je pris quelques secondes à me reprendre, puis je défis sa ceinture, le bouton puis descendis sa braguette. Je fis tomber son pantalon à ses pieds. Je m'agenouilla pour lui retirer complètement. Je leva les yeux vers lui. Ses yeux étaient rempli de désir. Je remonta mes mains le long de ses jambes. Même ses jambes étaient musclés. Puis passa ma main sur son érection qui tendait le tissu de son boxer. J'attrapa le haut de son boxer et le fit glisser le long de ses jambes. Son érection jaillit. Il tendais vers moi, je mis un coup de langue sur le bout, il grogna.

- Putain Leelou ! Une autre fois sinon je ne vais pas tenir.

Il se pencha ouvrit un petit tiroir sous la table basse, attrapa un préservatif et l'enfila. Il me fit me relever et s'asseya dans le canapé tout en m'attirant sur lui. J'étais à cheval sur lui. Nos deux sexes se rencontraient enfin. Il ferma les yeux à se premier contact. Puis repris ses esprits et me souleva puis me fis glisser sur lui. Il menait la danse et me pénétra tout doucement.  C'étais une douce torture. Il me pénétra complètement, jusqu'à la garde puis me bloqua et nous restâmes quelques secondes dans cette position sans bouger. Il passa une main derrière ma nuque et m'embrassa. Ou me dévora plutôt. Il m'attrapa les hanches et me souleva pour me faire redescendre sur lui. Ses va et viens me rendaient déjà folle.