ANGEL

Chapitre 9 - Partie 2

Je vous met la suite rapidement pour ne pas vous laissez trop dans le suspense.
En espérant que cette partie vous plaira tout autant et que certaines ne seront pas trop déçu.

J'attend vos ptits com avec impatience surtout certains qui me font bien rire.
Bonne lecture... Jess

Il m'apella presque immédiatement. Je decida de répondre pour en finir une bonne fois pour toute.

- Oui.

- Leelou ! T'es où ?

- Qu'est-ce que ça peux te faire Arnaud ?!

- Arrête Leelou, tu es avec lui là ?

- J'ai pas à te répondre c'est ma vie Arnaud alors laisse moi tranquille.

- Leelou arrête s'il te plait.

Sa voix n'étais qu'une plainte. Il avait l'air malheureux. Mais il ne fallait pas que j'oublie que c'étais à cause de lui que nous étions dans cette situation. Je pris sur moi et décida d'essayé d'avoir une discussion d'adulte pour une fois.

- Arnaud qu'est-ce que tu veux ?

Il ne répondis pas. J'attendais puis à court de patience je repris.

- Bon si tu n'as plus rien à dire je raccroche.

- NON LEELOU !!

Son excès de rage me fit sursauter.

- Leelou attend, raccroche pas. Sa voix étais plus basse.

- Je t'écoute Arnaud mais je ne vais pas rester en ligne si tu ne parles pas.

- Ouvre-moi.

- De quoi ?!

- Je suis devant ta porte, ouvre moi s'il te plait.

- Qui te dis que je suis chez moi Arnaud.

- Si ce n'étais pas le cas tu me l'aurais déjà dit.

J'essayai de calmer les battements de mon coeur, il étais là devant ma porte, mon corps le réclamait, mon coeur aussi. Mais rien n'avais changé.

- Leelou... ?

- Oui, je suis là.

- Viens.

- Je préfère que l'on parle par téléphone.

- Fais pas ça...J'ai besoin de te voir Leelou.

- Moi aussi j'en aurais besoin mais c'est pas ça qui m'aidera à t'oublier.

J'entendis Arnaud inspirer.

- S'il te plait Leelou, me laisse pas là.

Ces supplications commençaient à avoir raison de moi, j'étais déjà dans le couloir. Mon coeur me disait d'ouvrir mais ma tête me disait qu'il faudrait tout recommencer pour réussir à l'oublier.

- S'il te plait ma puce.

Ah ces mots, mes larmes coulèrent de nouveaux, je l'aimait tellement que je savais que je ne pourrais pas le laisser devant ma porte. Je me dirigea vers la porte et la déverrouilla mais je ne l'ouvris pas.

- C'est ouvert. Lui dis-je en raccrochant.

Je recula et me posta derrière le canapé, comme si celui-ci pouvais me protéger. Arnaud entra. Il était tout débraillé, le chemise à moitié ouverte, les cheveux mal coiffés, les traits tirés, mais même comme ça il était magnifique, j'avais qu'une envie : qu'il me serre dans ses bras. Mais je restai derrière mon canapé, aucun de nous deux ne parlait. Nous nous regardions.