ANGEL

Chapite 1 - Partie 4

Je sentis mes jambes trembler.

- Venez je vous ramène. Il n'avais pas pas posé la question mais plutôt ordonné.

- C'est bon merci, je n'habite pas loin je vais prendre le métro.

- Cela me ferait très plaisir mademoiselle Clethier. 

Je marqua un temps d'arrêt, comment connaissait il mon nom. Il ajouta :

- J'aimerais m'entretenir avec vous.

La bentley s'arrêta et le chauffeur fit le tour afin de m'ouvrir la portière.

J'hésitai puis monta à l'arrière du véhicule.

Je n'étais encore jamais monté dans un véhicule aussi luxueux et je fus surprise de l'espace. Il s'étais décaler afin de me laissé m'installé. Il se tourna vers moi.

- Je suis monsieur Angel, le nouveau propriétaite de ARCHI'TACT.

- Enchantée, ma voix tremblotais. J'étais mal à l'aise dans un endroit si étroit avec lui.

Le sentir aussi proche de moi me rendit nerveuse et des sensations bien trop familière traversèrent mon corps.

- J'aimerais tout d'abord savoir si vous aimez votre travail mademoiselle Clethier.

- Oui, bien sûr, bafouillai-je.

Ça y est j'allai me faire virer j'en étais sur.

D'un coup je me rendis compte que je n'avais pas donné mon adresse.

- Je ne vous ai pas indiqué mon adresse.

- Ne vous inquiétez pas pour ça.

Je regardai par la fenêtre et en effet nous étions sur la bonne route.

- Avez vous un petit ami mademoiselle Clethier. Mon nom sonnai sexy dans sa bouche. Je me mis a imaginer ce que ça me ferait si il me le murmuré pendant... Non pense pas à ça c'est peux-être ton futur patron.

- Non et vous monsieur Angel, mon ton étais cassant. Pourquoi avait il besoin de me poser des questions aussi personnelles. 

Il me sourit, il avait un regarde à faire fondre une banquise, mais pour l'instant c'est moi qui étais en train de fondre. Il ne répondis pas.

La voiture s'immobilisa devant chez moi. Le chauffeur fit le tour et m'ouvrit la portière.

- Je vous remercie de m'avoir raccompagnée monsieur Angel.

- Tout le plaisir est pour moi, mademoiselle Clethier. Malgré moi je lui souris. Il n'avait pas été désagréable avec moi.

Au moment où j'allai pour descendre, il m'attrapa le bras ce qui me fit sursauté. À son toucher un frisson me traversa, ses mains étais douce mais ferme.

- J'aimerai vous voir dans mon bureau demain à 9h.

- Je ne sais pas où est votre bureau.

- Quelqu'un viendra vous chercher au vôtre demain.

Une fois sur le trottoir je pris quelques secondes à reprendre mes esprits.

Je ne dormis presque pas de la nuit et j'étais réveillé bien avant l'heure. Ce qui me laissa plus de temps que d'habitude pour me préparer et inconsciemment je cherchai la tenue idéale car je devais voir monsieur Angel. Je me sentis bête d'essayer de plan à un homme pareil. Je ne dirais pas que je suis moche mais je dirais que je suis simple. Je ne sort pas du lot. J'ai les cheveux mi-long châtain, mon corps à quelques rondeurs mais tout le monde me dit qu'elles sont bien placées. Je suis pas très grande 1,65m. 

Je decide de mettre une robe cintrée noir qui mais en valeur ma poitrine et ma taille. Elle est très élégante. j'enfile des escarpins noir et met des accessoires rouges afin de mettre un peu de couleur.

J'arrive au travail à 8h45 et vais directement dans mon bureau. Geoffrey étais lui aussi déjà arrivé. Je ne sais pas pourquoi mais je me sentis obligé de lui demander.

- Comment s'appelle la personne qui à racheté la société ?

Vu la façon dont il me dévisagea, je compris immédiatement que je n'étais pas censé le savoir.

- Monsieur Angel ? repris-je 

Je sentis sont visage se crisper.

- Comment l sais-tu Leelou ?

- J'ai rendez-vous dans son bureau à 9h.

Il grimaça.

- Je suis désolé Leelou, la société à été rachetée pour une poignée de pain car elle ne se porte pas bien depuis un moment et le nouveau PDG souhaite économiser sur le personnel. Il nous avait donné pour mission de décider des personnes qui garderait leur poste et celles qui seront licenciées. Mais je ne comprend pas car nous avions jusqu'à la fin de la semaine pour nous mettre d'accord.

Je sentis mon coeur s'arrêter puis se mettre à battre rapidement. Je m'enfonça dans mon fauteuil.

Un coup à la porte me fit sursauter, je me retourna et vit un homme immense et baraqué.

- Je cherche mademoiselle Clethier, dit-il.

- Oui, j'arrive.

Il referma la porte et m'attendit devant.

Je regarda Geoffrey d'un air angoissé.

- Courage, mais surtout ne raconte pas ce que je venais de te dire cela devait rester confidentiel.

- Pas de souci.

Je me fis escorter jusqu'à un bureau à la fin d'un long couloir. L'homme baraqué frappa un coup à la porte et l'ouvrit. J'avais l'impression d'aller à l'abattoir. J'entra.

Monsieur Angel était débout de dos, les main dans les poches, il regardait par la fenêtre, il avait une écouteur bluetooth à l'oreille et je l'entendais parler. Il devait être au téléphone.

- Je n'ai pas le temp de m'occuper de ça, je vous paye pour le faire, il criait presque.

il se retourna me vit et sourit, je me sentis défaillir, encore une fois mon coeur se mis à battre à 100 à l'heure. Puis me fis signe de m'assoir.

Je m'installa sur le grand siège devant son bureau. Son bureau étais très peu meublé mais il avait l'air être très fonctionnelle. sur ma droite une grande table ovale avec environ une dizaine de chaises tout autour. Et juste à côté de la porte il y avait un canapé.

- Je suis à vous mademoiselle Clethier.

Je sursautai, je n'avias pas remarqué qu'il avait fini sa conversation et avait raccroché. Il étais en costume noir comme la veille. Il étais très élégant.

- Vous m'avez demandé de passer à votre bureau aujourd'hui à 9h monsieur.

Il eu un regard plein de malice.

- J'aime le ton que vous prenez quand vous dites monsieur Leelou.

Il contourna son bureau, enleva sa veste et se retrouva en pantalon et chemise blanche, qui laissait apercevoir un corps musclé mais pas trop juste ce qu'il faut. Je ne pus m'empêcher de le reluquer. Il s'assit sur le bord de son bureau face à moi, ses jambes encadraient les miennes. Un frisson parcourut mon corps et je me redressa.

- Je souhaitai vous voir car vous me plaisait Leelou.

Sur ces mots, je resta bouche bée. Moi je plait à un spécimen pareil ? Il reprit.

- Vous savez je suis un homme de pouvoir et tout ce que je veux je l'obtiens, et en ce moment c'est vous que je veux, dès le premier regard que j'ai posé sur vous Leelou je vous ai désiré et je sais que vous aussi vu la façon dont vous me regardez.