Amour impossible

Chapitre 8: "Si seulement..."

Une fois finie de manger, Nina marcha, sans grande conviction, jusqu'à sa chambre. Moi, comme un con, je pensais qu'elle allait s'habiller. Ouai, bah mes fesses, quand je suis rentré dans sa chambre, madame s'était endormie en mode ange des neiges. Oui oui, vous savez comme quand on a quatre ans et qu'on s'allonge dans la neige, en écartant bras et jambes. Sois disant que, lorsqu'on se relève, ça fait une fée ou je ne sais quoi, moi je trouve que le résultat ressemble d'avantage à un trèfle à trois feuilles qu'à un ange mais bon... ne gâchons pas cette magie...!

Enfin breff, je ne vais pas prendre le risque de réveiller miss-je-fais-un-ange-des-neiges-en-dormant, je tiens à ma vie! Donc, je ne pense pas qu'elle va aller en cours... et ça, ça fait une merveilleuse excuse pour que je loupe, aussi, les cours! Merciii Nina!!!

Vu que, aujourd'hui, je ne vais pas en cours, je vais effectuer ma deuxième activité favorite (la première étant manger): dormir!

Je me dirageai vers ma chambre située à l'opposer de celle de Nina. Je me jetai sur mon lit moelleux, et fermai les volets à l'aide d'une télécommande à distance. Je m'emdormi assez rapidement.

*

"Arrête!!!"

Je me réveillai en sursaut me demandant si ce crie était le fruit de mon imagination ou... je ne préfèrais pas penser à la deuxième possibilité.

"Non!"

Ce deuxième cris me confirma deux choses: le premier cris n'était pas le fruit de mon imagination et la deuxième possibilité est sûrement devenue un fait réel.

Sans plus réfléchir, je fonçai vers la chambre de Nina.

"Ho non" sont les seuls mot que je pue, difficilement, prononcer en entrant dans la chambre de Nina. Elle était pleine de sueur et elle pleurait.

PDV Nina

Je suis réveillée par une chose pointue. Non pas encore, je pense. Je sens cette chose, violemant, transpercer ma peau. Cela m'arrache de nouveaux hurlements a chaque nouvelle parcelle de mon corps transpercée par ce qui me semble être une aiguille, plus épaisse que l'ordinaire. Chaque mouvement de cette instrument de torture dans mon corps arrête ma respiration. Je suis attachée par de solides sangles au niveau de mes mains, mes bras, mon bassin et mon cou. Mes genoux et mes pieds sont, eux aussi, emprisonnés. Je me trouve dans une salle que je connais bien, la salle de torture.

"Jarred! Je crie dans l'espoir que cette nouvelle torture cesses. Bien quelle vienne de commencer, la douleur est déjà bien présente.

-Oui, petite soeur, qui y a t-il? répond ce psycopathe, qui me sert de frère, d'un ton moqueur.

-Tu n'est qu'un monstre tu- "

Je n'ai pas le temps de prononcer la fin de ma phrase ,que, Jarred prend un poignard qu'il laisse glisser le long de mon ventre, faisant apparaitre quelques coupures sanglantes.

"Que suis je?! Ho mon dieu, il est énervé, et dieu sait comment il est lorsqu'il est énerver. Vas-y, ose répéter ce que tu voulais dire ! Reprend t-il."

Il a ce couteau dans sa main, je sais que ce n'est pas seulement une menace et que ce poignard va bientôt transpercer ma peau, malheureusement - et comme toujours-, je peux rien contre lui ...

"Papaaaa!!!!! Hurlais-je pleurant de douleur.

-Hahaha il ne t'entend pas se moqua t-il.Tu pensais avoir mal? Mais ceci n'est qu'une blessure de chat contrairement à celle que je vais t'infliger..."