The Legend Of The Wolverine (Tome 1)

Chapitre 1 : La légende

C'était l'histoire d'une jeune femme dont la beauté ne lui manquait pas. Elle ne vivait avec pas grand chose, seul dans un petit village sans beaucoup d'habitants. Elle était très belle avec des yeux brillant. Ses longs cheveux bruns ondulaient sur son corps parfaitement bien dessiné. Elle avait le teint qu'aucune autre personne n'avait la chance de posséder. C'était une très gentille femme, qui parmis, les plus pauvres, vivait sans grands regret de la vie supérieur. Son village, n'étant que trois simples maisons assez éloignées, était entouré d'une fôret que seul quelques migrants oseraient traversés. Cette jeune femme, à la peau si douce , s'en allait chaque matin par ce même chemin qui la menait par la fôret et au-delà de son lointain village. Elle n'avait pas d'ami ni de famille et disposait d'aucun travail. Son métier était de récolter quelques bonnes framboise pour nourrir les gens de son village, en allant seul, se confronté au danger que pouvait cacher la fôret. Il se disait que dans cette vaste pleine d'arbre, une bête sauvage et dangereuse y habitait. Le petit village avait grande crainte de l'animal qui gisait parmi les chemins et qui se vengeait de toute sorte de proie. On l'appelait Wolverine. Mais la belle femme, bien qu'une beauté l'acclamait, ne ressentait aucune peur face à cette fôret qui la regardait depuis leurs grands yeux. Ravissante comme elle se doit, elle s'obstina à franchir les arbres qui cachait bel et bien un danger pour le village. Personne savait réellement de quel genre d'animal se faisait il sujet, car personne n'avait vraiment franchis complètement le seuil de cette fôret. Personne n'avait jamais mis le pied de l'autre côté. Il en fallu des jours et des jours avant que la bête commence à rugir tout les soirs. Et vint ce soir, quand la belle et charmante femme, franchis le premier arbre de la robuste fôret, mais par un soir de tristesse. Un chagrin lui avait tant secoué le coeur, qu'elle en oublia le danger auquel sa vie se battait. La fôrêt était une longueur interminable de sequoia aussi grand qu'un gras-de-ciel. La femme s'avancait toujours impatiente de traversé le portail des arbres. Mais cette nuit, nulle n'était plus sombre que tout autre nuit. L'orage tapait fort dans le village et la femme se trouvait perdus à l'intérieur de la majesteuse entrée du monde ; où elle aurait pu enfin voir la vraie vie que les gens de sont village attendaient de voir. Mais ce soir là, n'était peut-être pas son jour de chance. Bloquée à l'intérieur de ce labyrinthe, la jeune femme se posa sous un arbre, pour dormir. Son sommeil était pourtant léger, les braises de la fôrêt faisaient des bruits énormes abattus par la foudre. Aucun arbre était touchables, tous était d'une solidité fortement aquise. Mais il se fut, plus tard dans la nuit, un craquement qui acheva le repos de la douce femme. Sans trop savoir ce qui se cachait pres d'elle, elle n'eut que le courage de percevoir une ombre. C'était un géant. Elle s'approchait, à main tremblante et posa sa main sur l'ombre qui dessinait l'arbre. Se retournant pour avoir senti une présence derrière elle, elle vit là, la grande bête. Ce n'était pourtant rien d'un animal. La femme s'approcha de l'homme qui se tenait devant elle. Il était grand, son regard était le même qu'un loup mais ça force venait d'un ours. La jeune dame ne vit que beauté dans cette homme ; l'animal que tout le village craignait. En réalité cette bête mi-humaine mi-animal était bien Wolverine. Mais la légende ne correspondait pas à sa vraie description. Il ne fit aucun mal à la douce dame mais garda des arrières surveillés et une crainte du danger. La femme ne voyait aucunes méchancetés envers cette homme. Cet humain comparé à un animal avait une certaine chose différente que les autres hommes. Il semblait seul et triste. La solitude l'abusait trop. Il vivait seul dans cette fôret et Dieu seul sait depuis combien de temps. Mais la femme repéra un autre accessoire, ce ne fut pas seulement le desespoir certe, cette homme avait une valeur en plus. Elle aperçut subitement la valeur qu'il avait. Cet animal portait des griffes au bout de ses mains ; trois grandes griffes en métal luisant. Le danger se trouvait bel et bien face à elle mais malgré une peur qui secouait son coeur et lui donnait des frissons dans le dos, cette jeune femme avait un coeur pure, elle vit devant elle un homme innocent cherchant un refuge pour mourir en paix.

Salut le lecteur ! Ou la lectrice ! J'espère que ce premier chapitre te plaira :) La première photo que j'ai choisis pour le chapitre 1 est comment je m'imagine la fôrêt dans mon histoire. Bonne lecture ;)