Chapitre 27 : Kilimandjaro.

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Chapitre 27 *_____*

Le regard de Jimin sur le gif...Jimin marie joseph...Tout simplement...

1h13 T___T : avec seulement trois heures de sommeil hier xD

Désolée de me plaiiindre  *__*

J'espère que vous avez eu un bon mardi... Pour ma part, j'avoue que mon professeur d'histoire des idées et des arts m'a fait, du haut de ses 35 ans à tout casser, un peu d'effet.

Mais bon ce n'est surement que l'ingénue intérêt d'une élève studieuse envers son professeur...

Rien que ça.

Bien sur.

Voilà j'arrête de raconter ma vie XD

BONNNE LECTURE MES AMOUURS <3 !!

P.s : vu que je meurs de sommeil, je n'aurais jamais cru pouvoir terminer l'écriture de ce chapitre. Vos commentaires m'ont beaucoup aidée donc MERCIIII <3 JE VOUS AIIIIME T___T !!


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« Est-ce que... C'est légal ? »

Ce fut tout ce que je parvins à articuler en levant vers lui des yeux égarés de biche prise au piège entre les crocs acérés d'un lion qui sortait tout juste d'un ramadan strictement végétarien.

Il leva un sourcil amusé en se versant une flûte de champagne semblant me dire au passage:

« Légal... ? Je ne crois guère être familier avec ce terme, non... »

Il se dirigea vers la porte.

« Monsieur Park... »

Les paroles qui sortaient de ma bouche n'étaient plus qu'un murmure inaudible semblable aux vagues dormantes d'un paisible lac de forêt.

« Hmm...? fit-il en introduisant dans la serrure une clé qu'il fit tourner plusieurs fois avec un cliquetis sinistre. »

Je courrai vers la fenêtre avec la franche intention de me jeter par-dessus bord s'il le fallait à la manière d'une pauvre dame en détresse devant un fougueux pirate des mers.

Il me rattrapa avant que je ne puisse accomplir mon dessein en me plaquant fermement contre la vitre glaciale de ce qui était censé représenter ma seule issue de secours, collant son corps au mien.

Il neutralisa, d'une poigne implacable, mes bras, derrière mon dos. De son autre main, il se saisit de mon menton pour le faire tourner vers lui.

Nos nez s'effleurèrent et son souffle chatouilla cruellement ma peau.

« Laisse-toi faire, Sarang. »

Je tentai de me débattre et je crus même arriver à le faire jusqu'à ce que m'apparaisse le déclic inopiné de la science infuse :

Vouloir et pouvoir.

Ce n'était clairement pas la même chose.

Je pus pleinement en comprendre le sens lorsqu'il posa ses lèvres sur mon épaule en faisant lentement baisser la fermeture éclair de ma robe, accompagnant chaque nouvelle parcelle de peau dévoilée d'un baiser à faire embraser le cosmos.

Poursuivant le chemin de ma colonne vertébrale, il arriva à la base de ma taille mais ne retira pas la robe. Une main coquine se glissa à l'intérieur du tissu et je me maudis intérieurement de ne pas avoir pensé à mettre de soutien-gorge.

Mon patron est un connard ( Jimin BTS *__* )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant