Lacunes (''Hope'')

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''Hope''

J'ignorais si le passé se révèlera au grand jour, mais le miens m'était flou. J'entendais de petits cris de joie provenant de l'enfance. Un jeune garçon riait sur ma droite. Lors de l'entrouverture de mes paupières une violente migraine vint brisée se doux et joyeux réveille. J'étais secouée de par l'attaque, mais trouva la force de m'adossée, sans pour autant gémir. Je couverai mon visage et réessaya, armée cette fois de l'ombre de mon bras. J'étais dans une salle de fortune où les meubles étaient peint de blanc et où les planchers étaient lustrés et reflétaient la lumière, ce qui m'agressa lors de mon balayage visuel. L'endroit ne m'était pas connu, mais ressemblait aux descriptions faites par mes défunts livres sur ce qu'était qu'une infirmerie.

-Oh! Est-ce que c'est vous le vampire?

Un jeune garçon sauta sur mes jambes.

-Tris! Décent de là. Fit une voix hors de mon champ de vision.

Le simplet descendit de mon lit arpenté par une fine couche de drap.

-Navré. Rajouta la même voix.

Me guidant de ça mélodie, je tourna la tête et leva les yeux, toujours armé de l'ombre de mon bras, un homme atteignant les vingt ans me souris et me tendit un flacon avec une substance d'apparence sucré résidant au fond.

-Prenez ses cachets, ça devraient atténuer votre migraine.

Je m'éxécuta. Rustique comme méthode, mais efficace.

-Où avez-vous trouvez ses cachets? Où suis-je?

-Papa les as volés aux Sacrés! Papa c'est le plus fort pour soigner les gens! Papa disait que vous étiez comme un vampire! Il disait que vous auriez de la difficulté à voir le jour!

Le gamin repris sa place sur mon lit, un sourire arpentait ses joufflues courbes.

-Papa a dit que les méchants vous avait fait mal ici!

Il toucha son propre cou.

-Papa dit aussi que...

Je baissa mon bras et vue le gamin descendre de mon lit à la halte.

-SeaJay!

Je le suivi du regard, il se dirigeait non-loin de mon lit, avec un enthousiasme à en infecté les personnes adjacentes, dont ma personne.

Un nouvel arrivant avait maintenant marqué la scène. Son visage s'imprégnait de par mon imagination seule, puisqu'il n'était pas de face.

-Les enfants, mignons petits monstres, non? Fit-le docteur.

Il me demanda me m'assoir sur le rebord du lit, puis il changea mes pansements avec grande délicatesses et accessoires désinfectés, tout en écoutant en cœur les récits d'un certains SeaJay.

Ce jeune homme était vêtu d'une veste noire. Il tenait la main d'un gamin en jaquette, qui me fessait dos également, aida Tris qui était monté sur ses fortes épaules apparentes et leurs expliquaient le rôle du médecin qui s'occupait de moi.

-Vois-tu Tris, ton père est un as des médecines généralistes. Il est l'un des rares hommes connaissant la matière.

Je sentis le père de Tris fondre sous le compliment.

-Pourquoi n'y-a-t-il pas plus de médecins ? Demanda le jeune au visage cachée par sa position.

-Car les Sacrés ont condamné leurs savoirs. SeaJay soupira, puis repris. Ses monstres d'hommes se disaient supérieur, ils étaient menés par quelqu'un de très convaincant. Cet homme avait le pouvoir de la parole. Il disait que les hommes qui soignaient les autres hommes empêchaient à l'espèce humaine de vivre le véritable cours de leurs vies. Ils disaient aussi que nous étions en train de tué la planète et qu'un changement radical était de mise.

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