Pour toute réponse je lui lance un regard noir de haine, et détourne la tête de ce monstre complétement fou.
-Vous osez m'ignorer ? S'offusqua t-il. Il rigola d'un rire jaune et se stop net se disant que la mascarade avait assez durée.
- Ma très chère Lyra tu ne sais pas comme tu es insouciante mais c'est tout à mon avantage.Dit-il d'un sourire sadique. Comme tu as été sage ces derniers temps je vais te révéler quelque chose qui te fera surement très plaisir. Dit-il en insistant bien sur le "très".
J'ai peur venant de lui ce ne peut être que quelque chose de mal, plusieurs hypothèses me viennent à l'esprit. A-t-il inventé une nouvelle épreuve dans la salle de dimensions ou plutôt salle de torture pour moi ? Voir comment mon pouvoir a évolué en utilisant tout un stratège farfelue dont il a le secret ? Vais-je changer d'endroit pour qu'il me transforme en je ne sais quoi de monstrueux ? Non non et non, ça ne va pas mais alors qu'a-t-il encore préparé ce fou allié ?
Me voyant réfléchir à sa nouvelle il se décida enfin à m'annoncer la couleur.
- Tu vas recevoir de la visite ! je t'amène un petit camarade avec qui je sens que t'entendra à merveille! Il fit signe à un des gardes d'ouvrir la porte de ma cellule et lança:
-Entre donc mon chère nous t'attendons avec impatience ! Dit bonjour à ta petite camarade avec qui tu vas cohabiter jusqu'à nouvel ordre. Dit-il tout sourire mais moi je n'ai pas du tout envie de sourire mais alors pas du tout.
Ce sale fou sait pourtant pourquoi je suis la seule dans cette asile à n'avoir aucune personne dans ma cellule. Il le sait et pourtant...
Je déglutit, j'ai peur que faire ?
Qui qu'il soit ce nouveau personnage ne fera pas long feu avec moi... je ne sais pas si j'arriverai à me contrôler... Je suis tellement imprévisible et impulsive que j'en ai peur moi-même, peur de blesser quelqu'un encore innocent...
Je plains celui qui vient d'entrer mais alors à un point qu'il ne peut imaginer...
Il vient de rencontrer son pire cauchemar...
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Ne m'approche pas
Science FictionUn cobaye. Un cobaye rien de plus rien de moins. Je déteste le blanc, cette couleur omniprésente dans ma cellule et même dans cette asile de scientifiques fous ! Un jour ils me le paieront très chère de m'avoir privée de ma liberté, de mon innocence...
