Shayna&Najib

chapitre 24

Najib et moi sommes à présent entré dans la chambre, ou un silence régne.

Mon frère, mon pauvre frère est allongé sur son lit d'hôpital, les yeux fermés, la peau pâle. Des millions de file son relié à lui. Je m'approche à pas lents, la respiration lente.
Najib me suis doucement.
Je m'assois sur la chaise qui est prêt du lit. Najib me regarde avec attention mais surtout avec peine.

Je regarde mon frère, et lui prend la main.
Comment expliquer la peine et la tristesse que je ressent ?
Je prend sa main et la sert fort contre les miennes. Je pleure en silence.

-Je...suis des..désolé... Pardonne moi toute mes conneries..., dis-je à voie haute en continuant à pleuré

Je pleure à présent fort. J'ai envie de crié, de crié ma rage, la colère que j'ai d'avoir perdu mon frère, la colère que j'ai d'avoir fait t'en d'erreur, la tristesse que je ressent de ne pas avoir partager plus de temps avec mon frère.

-Pardonne moi..., dis-je

Et ce fut à ce moment où les doigts de mon frère on bouger ;

-Najib! Najib! Ces doigts on bougés !!! Appelle le médecin!!!

Sans attendre Najib sorti de la chambre en courant . je me suis lever et me suis rapprocher de mon frère ;

-Reveille toi! Je t'en supplie réveille toi!!!

Le médecin entra avec Najib haletant;

-Mon frère a bouger !

Le médecin approcha, regarda l'écran ou les battement de mon frère apparaissent, il regarda tous ces truc bidul pour ensuite me dire ;

-Non. Désolé mais il est toujours dans le coma . ce n'est pas possible que votre frère est bougé

-Mais je vous dit qu'il a bouger ! Faite quelque chose !

-On ne peux rien faire madame. Votre frère est dans le coma !

-Oh oh ! Ma femme c'est pas une menteuse OK? Alors vous aller chercher vos collègues et faire des analyses, dit Najib énervé

-Surtout pas. On a d'autre patients à prendre en charge

Najib à commencé à vraiment péter un câble contre le médecin et quand je le vus lever le poing je couru lui prendre le bras ;

-Vien on rentre merlish, j'ai perdu mon frère je ne veux pas te perdre pour une bagare de rien dutout

Il baissa son poing et me suivie jusqu'à la porte mais avant de sortir Najib ce tourna en direction du médecin et lui dit ;

-C'est pas du fini. Je vais revenir.