>> Chapitre 21

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Je ne suis ni masochiste, ni soumise. L'idée de recevoir ma fessée ne m'est pas aussi agréable que ce que doit croire Andy, puisque, assis devant moi, il me regarde en souriant. Ou sinon il prévoit de me torturer dans son grenier. Ou c'est lui qui est sado.

Le 44ème étage n'est autre qu'un loft très, très jolie. Les murs vitré offre une magnifique vue sur toute la ville, et offre une abondante lumière qui éclaire tout le loft abondamment. A part la salle de bain, aucunes pièces ne sont séparer du séjour. Les murs sont blanc, alors que le cannapé est en cuir noir. Le loft est composé en cercle autour de l'ascenseur et la salle de bain (qui est en faîte de l'autre coter, délimiter par des vitre blur et un paravent. La cuisine est de meubles en bois clair. Le sol est en carlage noir, sauf dans le coin chambre, ou c'est du bois flottant. Le lit, immense, avec des drats dans les tons de brun, est fait. En faite, on dirait que le loft n'a pas servis.

Andy ce lève soudain du cannapé, alors que je reste confortablement assise dans le fauteil. J'entends l'ascenseur s'arrêter et s'ouvrir, puis des pas presser.

-L'abime pas trop, dis le connard bronzé.

Il repart tranquillement, me laissant seul avec Cormac. Je sens qu'il va me faire ma leçon.

-T'as promis de ne pas essayer de t'enfuir, dit-il d'un ton rèche.

J'essais de contenir ma colère. Depuis quelques temps, je me met facilement en colère contre lui.

-Je crevais de chaud, dis-je en essayant de ne pas paraître tendu. J'avais faim... Oh et puis merde j'en pouvais plus d'être enfermer ! criais-je.

Je me lève d'un bond pour me placer pile devant lui. En face à face, je me rappelle qu'il fait deux fous ma carrure, et une demie tête de plus que moi. Malgré tout, je campe sur mes positions, croisant les bras. J'hésite à me mettre sur la pointe des pieds, mais après réflexions je me dis que ça aurais été plus pitoyable qu'autre chose.

-Tu m'as mentie, dit-il la machoir serrer.

Cormac a toujours été magnifique, et il l'est encore plus quand il est en colère. Ses cheveux sont ébourifer, parce qu'il a dus passer ses mains dedans un nomre incalculables de fois. La tension creuse les traits de ses muscles, et ses tatouage sont encore plus mis en valeur, ce qui le rend incroyablement sexy. Mais je ne doit pas me déconcentrer. Je fronce les sourcils, le regarde droit dans les yeux.

-Et toi, tu m'as pas mentie peut être ?

C'est sortit tout seul. Et ça fait son effet : Cormac à les lèvres qui trésaille, un rictus incontrolé. Je sourie sadiquement, amèrement, cruellement. J'ai une soudaine envie de le voir souffrire, comme un besoins de vengeance. J'ai envie qu'il souffre autant que je souffre du vide au fond de moi. J'ai envie de lui cracher mes pensées, mes doutes. Ca sort de moi, comme un dégeulis de mots.

-Tu m'as peut être pas mentie, j'admet ! mais tu me caches des choses pas vraie ? Je te connais Cormac, tu utilises mon amnésie pour me cacher des trucs, mais les sentiments, les sensations, elles sont là ! criais-je de toute mes forces, sans qu'il ne bouge le petit doigt. Il est où mon collier, celui que tu m'as donner, celui qui me rattache à toi, celui qui dis que je t'appartiens ! Pourquoi je ne le porte plus, hein ? Tu m'as enfermer dans une pièce close alors que j'étais blesser, tu m'as isoler comme si j'étais ta captive, tu m'as mis à l'écart du monde extérieur dans une pièce minable ! hurlais-je. Tu m'as traiter comme un animal, une petite merde... ma voix ce brise.

J'avais affreusement besoin d'être en colère, triste, de lui en vouloir. J'ai poser ma main sur son torse, là où ce trouve son coeur, et j'ai sentie ses bâtements vif et rapide. Il était toujours tendue, toujours nerveux et toujours en colère contre moi, je le sais. Mais je sais aussi qu'il s'est radoucis. J'étais épuiser. J'ai poser mon front sur son torse, expirant bruyament. J'étais toujours en colère contre lui, mais en voyant qu'il n'essayait pas de me réconforter ou encore me contredire, j'ai faillis lui mettre mon poing dans la gueule. Il l'a malheureusement arrêter.

-Je fais ça pour ton bien. Des gens sont au courant de qui tu es maintenant, et si l'information viens à monter plus dans les grades ou à ce propager, ta vie serras en danger, dit-il les yeux plisser.

-Il y a un ans, je ne savais même pas que tu avais une famille, dis-je d'un ton acerbe.

-Il y a un ans, ta vie n'était pas la même.

Il lâche mon poing, et passe sa main dans mes cheveux.

-Je ne veux pas te blesser Ness, je ferais tout pour te protéger. Je suis désoler de t'avoir fais souffrire.

Sa colère s'estompe lentement. Je passe mes bras autour de lui, mais dans un coin de ma tête, je retiens qu'il n'a répondu à aucunes de mes questions.

-Je vais surement avoir mes règles prochainement, dis-je. Il me faut des tempons ou des serviettes hygiénnique.

Il ce recule pour me regarder. Je lui fais un sourire hypocrite, même si tous ce que j'ai dis est vraie.

-Très bien, j'irais t'en chercher. Mais avant, je dois te punir tant qu'il en est temps, réplique Cormac, encore et toujours avec ce sourire en coin coquin.

Ses lèvres viennent carresser et embrasser mon coup tendrement.

-Tu vas me donner une fessée ? soupirais-je.

Il ne répond pas, mais nous emmène près du lit, et me pousse dessus. A quattre pattes, il s'avance le regard fauve et la pupille dilaté. Il attendait ce moment, j'en suis sûr... Ses lèvres embrasse chaques pacerelles de mon corps. Ses mains me font frissonner, touchant les endroits les plus intimes.

Mais quelque chose à changer. Ce n'est pas comme avant. Tout me semble si... fade.

Malgré tout l'envie monte, sa main s'égare entre mes cuisses. La mienne aussi, s'égare entre les siennes. J'essais à tout pris de retrouver les sensations, ces moments intense où la brume brouillait mon esprit. Le désir est là, mais quelque chose manque.

Les vêtements ce mettent à tomber. Je suis aletante, suspendue à ses lèvres. Toujours habillé, une main entre mes cuisses, il ce frotte outragesement à moi. Je déboutonne son jean.

D'un coup il ce retire, brutalement, si brutalement que j'en tombe du lit comme par magie. Je le regarde donner un coup de poing au mur, avec une force qui me fais peur.

-J'ai pas de capote, crache-t-il comme si c'était les pires choses qu'il ai jamais pronnoncer.

Je reste la, pantelante, chauffé comme un steak à attendre la suite. Il ce tourne vers moi, et me contemple avec un regard torturer. Il bande encore. Et même si ça ne ce voit pas, je suis toujours désireuse, excité. Il grogne, ce passe une main sur le visage et ce retourne.

-Je dois y aller, lâche-t-il en s'engageant dans l'ascenceur.

Il me faut quelque seconde pour comprendre. Il m'a allumé, et il ne compte pas me faire brûler ?

-Quoi, t'es sérieux ? m'écriais-je.

Les portes de l'ascenceurs ce referme alors que je l'avais presque atteint. Je tape de toutes mes force, grogne comme un dégénérée et appuie trente mille fois sur le bouton, mais rien. Je me mord la lèvre. J'abandonne, je n'ai plus de force, et même si mes jambes tremble à cause de toutes ces émotions, mon excitation est complètement retomber.

Je me retourne sur le loft, et contemple la vue qui soffre à moi. Le soleil ne commence même pas à ce coucher. Alors c'est ça ma nouvelle cage ?



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Je ne suis vraiment pas fière de ce chapitre, je suis désoler :/ Ca manque cruellement d'action, mais le prochain chapitre devrais en avoir beaucoup plus ! mdr en plus je vous frustre avec "une scène de lemon... Mais finalement non" x)



CRIMINAL LOVE - Je t'appartiens, tu m'appartiens.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant