>> Chapitre 9

6.1K 417 62
                                    

-Combien de mec pour l'instant?

-37.

-Qui est le prochain sur la liste?

-Tony Rambiero.

Mathilde me désigne un garçon fin, habillé en polo avec des lunette et accompagner d'une fille à couette. Je regarde Mathilde blasé. Elle ce fiche de moi? Elle crois vraiment que c'est avec ça que je vais faire Le faire rager? Ah, oui : elle ne le connais pas.

-Suivant, déclarais-je.

-Robin Marty, le joueur de bascket, tu sais celui qui a les dread locks.

Je me souviens vaguement de lui pendant les matchs. Il est plutôt costaud et beau gosse... ça peu faire l'affaire. Vous vous demandez sûrement pourquoi Math? Eh bien elle a deviner toute seul en me voyant faire la traîner. Je lui ai juste dit que j'avais un copain, qu'il a plus ou moins rompue et que je voulais le rendre jaloux. Je n'ai rien dit sur Lui. Comme elle qui s'opstine à me cacher l'identiter de son copain plus âger.

Ca fait six mois. Six mois que j'enchaîne les mecs et qu'il ne se passe toujours rien. Sur 37, seulement 22 se sont pris une branlée de la par d'Andros, qui lui me suis à la trace, contrairement au flic qui ont arrêter. Christian me colle et les rumeurs vont de bon train : Je suis devenue la pute trop sympa mais super populaire. C'est très bizarre. Plus je devient connasse plus les filles m'adores. Même quand j'ai coucher avec le copain de Jordanna ; tout le monde m'a féliciter d'avoir corrompue Mister je-suis-un-saint et au final tout est retomber sur lui. Même Jordanna m'as pardonner au bont du semaine en disant qu'elle aurait jamais du faire confiance à cette idiot, et elle a pleurer dans mes bras. Je crois qu'ils sont tous barge dans ce lycée.

Il n'a toujours pas bouger le petit pouce, et je me sens craqué. Ses chemise perdent de son odeur, et le monde semble tournée au ralentie. Mon père ne rentre presque plus, ce qui me ravie mais détruit ma mère à petit feu, je vois le complot et le danger partout, je cherche dans chaque recoins de la ville pour trouver un indice de où ce cache mon Apollon : mais rien. Rien ne bouge. Je crois que je vais craqué.

Je me lève et me dirige vers les terrains de bascket, à la fois lasse et déterminer. Pourtant je suis execténuer. J'ai l'impression d'être une ado prépubère qui vient de rompre avec son mec. Et ça, ça m'énerve.

-Ness, arrête.

Je ne prend même pas la peine de me retourner vers.

-Tu vois pas que ce que tu fais te torture ? Il faut que tu lâche l'affaire !

Je continue d'avancer, tout droit, sans regarder derrière moi.

-Happyness !

Il me tiens fermement le bras et je suis oubliger de me tourner pour croiser le regard de Christian.

-Lâche moi !

-Tu vas encore aguiché un mec, pas vrai?

-Qu'est ce que ça peut te foutre? Hein? Qu'est ce que t'en a faire que j'devienne une traînée? hurlais-je sans pouvoir me contrôler. C'est facile pour toi de vouloir faire le héro! Moi j'ai plus rien, je suis au bord du gouffre ! Et rien ni personne ne peux m'aider à part lui.

Il a fait une chose que jamais je n'aurais imaginer qu'il ferait : il m'a prit dans ses bras. J'étais prête à le repousser, mais une idée me traverse l'esprit. Mais bien sûr... Si je veux qu'Il intervienne, c'est lui qu'il me faut... Quoi de mieu qu'un beau flic pour rendre furieusement jaloux un beau criminel?

.

PDV C

.

-Bah alors mon gars, ça va pas?

Je regarde Svétislav me tendre la bouteil de whisky fraichement ouverte. Je la prend et en bois quelques gorger d'un coup. Non, ça ne vas pas vraiment. Je regarde la dépouille de l'homme devant moi, Gérard. P'tain, c'était un gars tellement sympa.

-Tu sais, tes frères sont inquiet. Ils disent que tu perds la main. Moi je trouve pas.

-Laisse parler ces blaireaux. De toute façon j'en ai ras-le-bol d'eux. Appelle les nettoyeurs, je veux plus de ce gars dans mon bureau.

Il s'en vas, et je m'effondre sur le canapé. 37. Elle s'est déjà taper 37 ados boutoneux et qui bande en voyant une simple paire de nibard. Non mais quelle... Je soupire. Comme si j'avais pas assez de problèmes. Mes frères sont sûr que je deviens une fiotte et son persuader que j'ai une copine : ils cherchent à tout prix à savoir qui elle est. Même si j'ai plus ou moins rompue, Ness continue d'être menacé, et ça me fout encore plus en rogne. La police nous traque sans relâche. Ils vont jusqu'à passer un contrat avec une mafia... Ness n'aurait jamais dû être mêler à tout ça. Si elle apprend la vériter, elle sera détruite.

.

PDV Happyness

.

En rentrant du lycée, j'ai vite repérer le 4x4 qui me suit. Et disont que vue de ma situation, on peu pas dire que ce soit vraiment rassurant. Pourquoi le jour où je réussie à semer Andros? Pendant une seconde, je me dis que c'est peut être Lui. Mais après avoir réfléchie, je me rend compte qu'il y a très peu de probabiliter que ce soit le cas. Deux choix s'offre à moi :

1 : m'arrêter et leurs demander pourquoi ils me suivent.

2 : Tenter de les semés.

Je choisi le 1. Parce que, mine de rien, je ne suis trop fatiguer pour tenter de leurs échaper et que de toute façon ils me rattraperont. Je connais ce genre de méthodes, même si je leurs échape maintenant demain il seront sûrement là, comme pour les prochains jours. Donc si je dois me faire kidnapé ou tuer, autant y aller franco, en plus si ça me permait de rater le dîner de ce soir avec Christian...

Je m'avance vers la voiture qui elle s'arrête. Je toc à la vitre arrière, qui s'ouvre à moitier.

-Excusez moi, puis-je savoir pourquoi vous me suivez? Simple curiositer pour savoir si je dois me baraquer chez moi ou simplement vous mettre un coup de tazer dans les couilles.

-Tu es bien la copine de Cormac ?

Je fixe mon propre regard dans ses lunettes noir. Puis il ce dirige vers la vitre juste derrière ou ce reflette le bras de l'homme qui ce trouve dans la voiture, et un dessins dont je me souviens parfaitement. Alors je sais que j'aurais du dire quelque chose qui sonne comme non, mais...

-Oui. Enfin, ex-copine.

... Mais je crois que j'en ai plus rien à foutre en faîte. Alors quand je vois le même tatouage que celui de mon mec sur un autre gars, je me contre fou des conséquances : fini de jouer au chat et à la sourie.

-Ravie de te rencontrer, alors, dit-il en baissant ses lunettes, et la ressemblance avec Cormac me baffe de plein fouet.

*Juste pour vous prévenir, je suis sadique, mais Cormac n'est pas le vraie nom de notre criminel, juste un surnom. J'adore les prénom original mais pas jusque là... Mais je suis sympa alors voici un nouvelle indice pour son prénom : il commence par Co. Bonne chance ^_^

CRIMINAL LOVE - Je t'appartiens, tu m'appartiens.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant