>> Chapitre 22 -partie2- /!\

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Désolé pour les fautes, et le retard >_<

Cette partie est principalement du lemon (érotisme) alors je vous déconseille fortement de le lire dans le bus, ou lieu publique où quelqu'un peut facilement regarder par-dessus votre épaule.

Je parle par expérience.


Comment nous étions-nous retrouver dans cette ascenseur? Je ne sais pas. Quelque chose ,d'électrique circulait entre nous. Cormac n'était qu'à quelque centimètres, les yeux fixer sur les chiffre. On sentant la pression nous faire descendre. Il avait abandonner sa veste. Il tapa le code et la porte s'ouvrit devant mon loft. J'ai sentie ses doigts effleurer les miens, ses doigts entourant mon poignet. Un frisson m'a parcouru, une douce chaleur dans le bas ventre faisait frémir mes paupières.

Il m'a fait entrer, lui à ma suite. Nous nous retrouvions face à face, sont souffle caressait mon visage. Il fit un pas en avant, et moi un pas en arrière. Le chasseur piégeant sa proie, à force de ce petit jeu, je me retrouvais les genoux contre le lit. J'ai dus retenir ma respiration quand Cormac a lever la main. Il caressa doucement ma tempe avant de la passer brusquement dans mes cheveux et incliner doucement ma tête.

- Tu as ce qu'il faut ? demandais-je alors que ses lèvres frôlait les miennes.

Pour toute réponse, il a sortit une capote de sa poche et l'a poser sur la table basse.

- Tu avais prévue ton pas vrai ? dis-je d'un ton malicieux.

- Je ne resterais pas frustré une deuxième fois.

Avant d'avoir pus soupirer, je me suis retrouvé le dos contre les draps et Cole qui me grimpait dessus. Ses lèvres sont venues chercher les miennes alors que ses mains caressaient chaque passerelles de mon corps comme pour la première fois. Mais mes vêtements entravait ses envies, alors il fit descendre ma robe bustier trop grande sans difficulté. Il en profitait pour ce rincer l'oeil. Je respirait profondément alors que mon corps s'était mis à trembler, plus il descendait moins j'arrivais à garder le contrôle. A mes pieds, il pris tout son temps pour me retirer mes bottines. Il ne restait plus que mon collant.

Pourtant il n'en fit rien. Cormac remonta, laissant sur son passage ses doigts effleurer les endroits les plus sensibles. A peine son visage s'était-il retrouver en face du mien que je l'ai pousser. A genoux sur son ventre, j'ai commencer à déboutonner sa chemise en le regardant droit dans les yeux. Lundi, mardi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche... Je l'ai ouverte en grand et j'ai passer mes mains sur son torse. Je me suis pencher pour embrasser sa peau coloré de tatouages. Lorsque je passe ma langue sur le bout de sont téton, Cormac grogne, ce qui me fait pouffer. Je me redresse, et toujours à genoux sur lui, je recule jusqu'à avoir sa braguette sous mes yeux. D'un geste vif, j'enlève sa ceinture, mais plus lentement, j'ouvre sa braguette. Il s'arc pour m'aider à enlever son pantalon, je lui retire ses chaussures, son caleçon et lui écarte les jambes. Il jette la tête en arrière alors que je caresse ses zones les plus sensibles, celles qui le font toujours soupirer de plaisir. Je remonte jusqu'à lui et prend sa tête entre mes mains pour l'embrasser. Il passe ses mains par -dessus mon soutien-gorge puis dans mon dos, il le dégrafe et descend ses mains sur mes hanches. D'une simple pression, il colle mon bassin au sien. Ce contacte me provoque de violentes explosions de chaleur dans le ventre. D'une main il m'agrippe les fesses de l'autre il continue ses caresses toujours plus indécentes.

Je laisse à mon tour mes mains ce balader sur son corps, caressant son entre cuisse toujours plus excité. Lorsque je le juge temps, je libère nos lèvres et descend en laissant mes lèvres caresser sa peau de baisers et même quelques suçons. La respiration de Cormac devient plus rapide. Il ferme les yeux en sentant mon souffle sur son intimité. Il les rouvres pour me regarder faire alors que je l'enserre et vas-et-viens. De l'autre mains je le caresse, le dorlotte. J'embrasse ses cuisses et son bassins qui donne de temps en temps de petits coups en avant. Puis doucement, j'approche mes lèvres de son membres pour en gober le gland. Je sens Cormac tressoter puis soupirer sous cette caresse. Je le masturbe avec des vas-et-viens régulier. Je laisse faire mes talents, alors que ma langue le fais frémir de plaisir. Elle caresse son gland et je le suce doucement. J'alternes les cadences, la force. Ses yeux son fixer sur les miens, et je prend un plaisir fou à le voir ainsi sous mon contrôle. Ses muscles ce tendent alors que je le sens proche de la jouissance, j'arrête au fur et à mesure mes caresses pour faire durer ce moment. Cormac attrape alors mon visage de ses deux mains, et me remonte jusqu'à lui. J'ai d'abords crue qu'il allait m'embrasser, mais il m'a brusquement fait basculer.

CRIMINAL LOVE - Je t'appartiens, tu m'appartiens.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant