Bien, soyons claire : je n'ai déprimer que trois jours. Je suis vite revenue au lycée et après avoir passer le blabla des filles j'ai repris ma vie en main. Oui. Ce connard veut prendre ses distences? Il veut un break? Parfait. Mais sachez une chose sur moi : je ne lâche pas mon homme aussi facilement. Je vais le faire sortir de sont troue ce petit con. Même si je doit le traqué, même si je dois cassé des gueules, même si je dois repousser les limites : je le retrouverais. Je ne supporterais pas de le lâcher, je suis devenue accroc. Et je sais par où commencer :
Andros.
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PDV C.
-Andros !
Je sers les dents, tendue comme un string. Andros arrive dans le salon, et soupire en me voyant charger mon arme. Je lui fais signe d'avancer et il ce poste devant moi en croisant les bras.
-Quoi? demande-t-il, lasse.
-Il faut que tu la surveilles, et j'apprends qu'au lieu d'être aux lycée tu es là. Un problème? demandais-je à mon tour d'un ton amère.
-Pourquoi tu me demande à moi de la surveiller? Et puis tu crois quoi, que tout les mecs vont lui sauter dessus?!
-C'est pas toi qui avais hâte de te sauter des p'tites ados? mon timbre de voix devenait plus noir et mes yeux plus dur mais ça n'avais pas l'air de lui faire peur.
-Ca me tentais vachement avant de comprendre que ta copine était vachement grognon, corriace et qu'elle ait les flics qui lui colle tout le temps au cul! Tu sais le mal que j'ai eu à pas me faire repérer? Ils ont même infiltrer le lycée !
-Andros, tu es le seul en qui j'ai vraiment confiance, OK? Alors tu bouge ton cul et tu vas au lycée avant qu'elle ne se fasse la moitier des lycéens juste pour me faire rager.
Nous nous dévisageons tout les deux dans un duel du regard, mais il fini par abandonner. Alors qu'il ce dirige vers la porte, je rentre le chargeur dans le beretta et fait coulisser la glissière pour le charger.
-Ah, et si elle sort avec un mec, casse-lui la gueule toi même, parce que moi je suis pas sûre de pouvoir me retenir de le tuer.
-T'es un droguer.
-J'ai beau t'adorer, en ce moment je suis assez tendue et irritable pour te tirrer une balle dans l'abdomen et ne pas avoir de regret avant plusieurs semaine. Alors tes gentil, dégage avant de sortire une connerie qui te seras fatal.
Il me fusille du regard et je lui offre mon sourire le plus innocent, donc un sourire démoniac. Il quitte le petit salon en claquant la porte. Un fois assurer de ne plus entendre ses pas dans l'escalier, je frappe le mur derrière avec une telle violence qu'il s'éfrite et qu'une légère fissure apparaît. Je traverse le salon et sort à mon tour, la mort dans l'âme, à fleur de peau, pret à égorger la première chose qui me tomberas sous la main. Ca tombe bien, les gars ont trouver un mouchard.
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Lorsque j'entre dans le sous sol mal éclairer de cette jolie petite maison de banlieu, comme toujours je suis impressionner par tout le matériel médical qui s'y trouve. Un vrai l'aborratoire... fusionner à une salle de torture. Je contourne un chariot à roulette recouvert de scalpelles, d'aiguilles et de tubes au contenue étrange. Au dessus de moi, le néons blanc éclaire une chaise de dentiste ou un homme est ligoter et bailloné. Je peux aussi voir mes hommes dans un coin, assis sur des chaises pliable. Je les saluts et ils me rendent l'appareil en ce levant. Je me tourne ensuite vers le Docteur Glaun qui me sert la main.
-Un rapport complet, dis-je en me tournant de nouveau vers mes hommes.
C'est le plus costaud, Svétislav, qui me répond.
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CRIMINAL LOVE - Je t'appartiens, tu m'appartiens.
Roman d'amour"Je lui appartiens, il m'appartient." Ness a une relation secrète avec un des plus grand mafieux du pays, mais quand la police les surprends dans une chambre d'hôtel et que Ness aide son bel homme à s'échapper, tous ne va pas mieux. Constament surve...