PDV Cathleen
Le coup est partis.
Rick grimace de douleur en ce tenant l'épaule. Andros a dévier le coup, mais Cormac n'a pas du tout l'air content. Mes frères ne sont que des imbéciles... Ces idiots vont rammeter tout les invités de la fête, et il est hors de question que je me fasse attraper avec eux. D'ailleurs, quelqu'un tente d'ouvrir la porte.
-Hey ! Y a qui la dedans ? On a entendus un cou de feu, tout va bien? OH !
La personne s'agite de plus en plus sur la porte, et le son de la musique baisse remarquablement, on peux entendre d'ici les murmures de la rumeurs qui traverse la maison.
-Espèce de con ! grinçais-je entre mes dents à l'intention de Cormac qui n'est plus qu'une boule de nerf. Il faut qu'on ce casse, au plus vite !
Personne ne bouge pourtant. Rick fixe Cormac avec un air de défis, Cormac fixe Rick de manière meurtrière, Andros fixe Cormac en lui intimant de baisser son arme, et moi je regarde la scène. Je sais que dans dix minutes, si on a pas bouger, les flics vont nous attrapez. Eh bien ce seras sans moi, tant pis pour eux. J'ouvre la fenêtre, et m'apprête à sauter.
-Cath, si tu te casse avec la voiture, je te promet de te retrouver et de te tuer, fille à papa ou pas, compris? dis Cormac de manière très explicite.
Et dire que je n'y avais même pas penser... Mais quel bonne idée! Un sourire sadique s'affiche sur mon visage, sans que je ne puisse le retenir, et Andros ne manque pas de la remarquer, horrifier. Je lui fais un clin d'oeil et saute. Nous ne somme qu'au premiers étage, alors la chute n'est pas très longue, j'atterris sur mes deux jambe en fléchissant les genoux pour ne pas m'exploser les jambes. J'atterris dans la petite bande de jardin sur le côté de la maison, et je surprend juste quelques couples bourré en plein pelotage dans la pénombre. Sans ma préoccuper de leurs regards interrogatifs, je cour vers la voiture, et trois cous de feux retiennent mon attention. A mis chemin, je m'arrête pour me tourner vers la maison dès lors très agiter. Cole... Qu'as-tu fais?
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PDV Happyness
J'essai de retenir mes larmes, mais impossible. Ma mère s'approche, mais je lui hurle de rester là où elle est. Je frotte frénétiquement mes mains avec un torchon, persuader qu'elles sont rouges de son sang, alors que non. Le sol semble recouvert de son sang, et chaque seconde qui passe est une torture. La voie de ma mère qui murmure mon nom me ramène à la réalité. Elle fixe le côté du canapé, je suis son regard. Les pieds de Mathilde dépasse. Lorsque je lève les yeux vers elle, elle me fixe. Tremblante, je me lève et tousse pour reprendre contenance.
-Maman, retourne au lit, s'il te plait.
Elle me fixe d'un regard sombre, puis ce retourne. Elle remonte les marches lentement, et je soupire. Ce n'est pas le moment de me laisser emporter. Je regarde le corps de Mathilde étendue sur le sol.
Mécaniquement, tel un robot, je me penche pour ramasser un torchon sur la table basse, et l'appuyer sur son crâne pour ralentir le saignement. Je la porte tant bien que mal, et me dirige vers le sous-sol. J'allume le lumière, et la pose contre le mur. L'endroit est sale, poussiéreux, sombre et décorer avec du béton. Quelques babioles, de vieux jouets, un vélo, deux machines en panne et autre traînes de ci, de-là. J'ouvre le congélateur, là ou petite, mon père mettais les animaux qu'il avait chasser et sans plus d'émotions, je ramasse le corps de ma meilleure amie pour le placer à l'intérieure.
Ses yeux noisette me fixe sans me voir, voiler de brume. Je baisse ses paupières, et ferme le congélateur à clé.
Lorsque je retourne en haut, toujours comme un robot sans âme, je prends une éponge et de la javel. Mon esprit est vide, je ne réfléchi plus. Je nettoie la plache en bois, et la range à sa place, sur la table de la cuisine. Demain, ma mère y poseras une casserole remplie de ratatouille, sûrement, ou de n'importe quel autre plats.
Tout ce que je sais, c'est que Mathilde n'auras plus jamais ce genre de choses. Je pense à sa voiture dans l'allée du jardin. Mais je n'y vais pas, je m'assois sur le canapé, et fixe la table basse. Parce qu'au fond de moi, j'espère vraiment qu'ils la trouveront, et qu'ils m'arrêterons. J'essais de ne pas penser à elle. Mon esprit ce vide de tout, j'essais de penser à n'importe quoi d'autre. J'essais de me concentrer sur les révélations que j'ai apprise, mais son visage me reviens sans cesse en mémoire, cette scène atroce est là, gravé sous mes paupière.
Je l'ai empêcher de parler, maintenant elle ne parleras plus jamais. Cormac est en sécurité à présent, mais... Mathilde est morte. Je l'ai sacrifié pour lui. En valait-il vraiment la peine? Ce connard m'a tromper, il ne m'a même peut être jamais aimer...
"Je sens ses bras ce glisser sur ma taille et venir m'enlacer. Mon dos contre son torse, je me laisse aller à ses baisers dans mon cou. L'hôtel est légèrement miteux, un hôtel au bord de l'autoroute où l'on entend chaque voiture passées. Mais en cette instant, c'est le plus belle endroit du monde. Je me retourne, et me blottie tout contre lui, me sentant en sécurité.
-Je t'ai fais mal?
Je fais non de la tête. Il avait été doux, si doux... C'était ma première fois. Je souris en me rappelant toute les fois où j'avais lever le menton en lui demandant de quel droit il pouvait me croire vierge, et même si il se moquait de moi, il savait. Parce qu'il sait tout de moi.
-Je t'aime, murmurais-je.
Les mots étaient sortis seuls, et son manque de réaction me fit peur, horriblement peur. L'ais-je dis trop tôt? J'ai à mon tour passer mes bras autour de lui, et l'ai serrer aussi fort que possible. Les rayons du soleil qui filtrait à travers la pièce me permettait de voir la poussière en suspension dans l'air. Elles se mouvent dans l'espaces, suspendue dans le temps.
-Je t'aime.
Ses mots, son souffle caresse mon oreille, et plus que jamais, je me sens suspendue dans le vide, le monde n'existe plus, ce n'est plus que lui. Je sourie contre son torse, et sans nous en rendre compte, nos jambes s'entre lace.
Liés à jamais, suspendue dans le temps. Il m'aime. "
Je ferme les yeux aussi fort que possible. Je t'en supplie, Cole, j'ai besoins de toi... J'ai besoin que tu m'aime autant que je t'aime. Tu m'appartiens.
------------------Hello !
OMD !!!!! OMD !!!!!! OMD !!!!!!
11.7 k lectures ???? 832 votes ???? MAIS C'EST ENORME ! Je suis super contente qu'autant de gens lise mon histoire, même si je ne suis pas sûr d'en mériter autant...
Vous êtes tellement géniaux, je veux vous dire un gros MERCI ! et encore plus ! C'est à vous que Criminal Love dois son existence, sans vous elle ne serait pas grand chose je pense... Je suis contente que vous l'aimiez, et j'espère que vous passer un bon moment en la lisant ^^ (en récompense vous avez droit à une séance privée avec Cormac ou Ness, au choix, d'une heure. Vous pourrez en faire ce-que-vous-voulez :D )
JE VOUS ADORES !
(promis, le prochain chapitre serras beaucoup plus long !)
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CRIMINAL LOVE - Je t'appartiens, tu m'appartiens.
Romans"Je lui appartiens, il m'appartient." Ness a une relation secrète avec un des plus grand mafieux du pays, mais quand la police les surprends dans une chambre d'hôtel et que Ness aide son bel homme à s'échapper, tous ne va pas mieux. Constament surve...