~~~*C'est dommage que trop de connerie ne tue pas les cons*~~~

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~~~*Number 20*~~~

Moi : Comment ils font pour dormir sérieux ?

Nous voilà dans l'avion en direction pour l'Inde rejoindre Khan vue qu'il nous a inviter pour la réception. Vêtue d'une robe blanche avec des motifs rose et autres, à coté de moussa et Farés, puis quelques homme et Ketty. Vue que je ne voulais pas beaucoup de monde avec moi faut pas attirer l'attention et aussi mon masque sur mes yeux, après tout je suis La Bomba.

Moi : Mousse...Mousse

Je le secoue mais aucun preuve de vie, ils dorment tous à part moi, je déteste l'avions, nous somme les seules dans l'allée, et aussi c'est un peu mon avion. Je me lève et vas vers le cabine de pilote, faut bien que je tape la discute avec quelqu'un non?

Mais au moment que je me lève...

... : Reste où tu es !

Alalaaaaaa j'en ai marrrrrrrrrrrrrrreeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Farés : moi aussi j'en ai marre que tu dors pas, sa vas faire depuis 2 heures que tu cogite dans ton siège, je te préviens qu'il est 7h30 du matin.

J'ai pas de sommeil frère..

Lui (souffle) : je suis pas ton frère.

Moi : j'en ai marre de penser fort, et aussi levez-vous, vous êtes censer me tenir compagnie.

Lui (rire) : je te tiens compagnie mais si tu veut une autre façon y'a pas de problème (sourire col-gate)

Je lui tape l'épaule et me replace dans mon siège.

Lui : non mais sérieux t'arrive pas à dormir ?

Moi : je n'arrive pas dans les avions.

Il m'ouvre ses bras : Viens là.

Je sourie et me vais vers lui, il m'encercle et dépose un bisou dans mes cheveux.

Moi : merci

Lui : t'aurais pu me dire avant que t'avais besoin du contact de mon corps de beaugoss pour t'endormir.

Moi : j'allais faire mais là frère tu as gâcher.

Je me lève et on s'assoie face à face.

Peut-être qu'un jour, qu'un putain de jour je rencontrerais quelqu'un, quelqu'un de bien, quelqu'un qui ne quittera jamais.

Il s'approche de moi, et me fixe dans les yeux, ses yeux bleu océan, te fais perdre la tête. Il reste comme sa, il hésite de m'embrasser je suis sur mais je lui sourie juste.

Lui (en chuchotant) : Silem je n'arrive pas comprendre une chose.

Moi : de quoi ?

Lui : la nuit dernière tu viens dans ma chambre, puis tu m'embrasse, et tu pars en me disant que si tu tombe amoureuse de moi tu me feras l'homme le plus heureux. Sa veut dire que ce bisou...

Moi (en le coupant) : tu sais t'est le premiers qui ma embrasser, (il sourit, sûrement entrain de penser à la scène, petit con ! ^_^) je ne savais pas quoi faire, depuis que je suis petite je ne voulais pas tomber amoureuse, puis je grandissais plus je me répéter sans cesse : Tout le plaisir et toute la joie que l'amour peut faire ressentir se paient un jour ou l'autre en souffrance. Et plus on aime fort, plus la douleur à venir sera décuplée. Tu connaîtras le manque, puis les affres de la jalousie, de l'incompréhension, la sensation de rejet et d'injustice. Tu auras froid jusque dans tes os, et ton sang fera des glaçons que tu sentiras passez sous ta peau. La mécanique de ton cœur explosera...

Il me regards puis baisse la tête, et se recule, je m'approche de lui, et approche ma main de sa joue et le caresse, il fut choquer mais se laisse faire en fermant les yeux.

Moi : mais je te promet rien Farés mais je vais essayer mais il faut que tu réussisse cette épreuve, je ne veux pas quand joue avec moi tu comprends ?

Lui ; tu crois que tout ce que je fais pour toi est du bluff, tu crois que je cours derrière quelqu'un juste pour jouer avec ?

Il se lève énerver, mais avant de partir..

Lui : je te fera tomber tellement amoureuse de moi que tu ne voudras jamais me quitter, et ta la promesse de Caliente...

Et voilà il ta ferme ta gueule en deux deux Silem....

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Moi : moi je te dis que c'est par là moussa.

Moussa : t'est jamais venue en Inde donc tais-toi !

Enfin arriver en inde plus précisément en l'âshram de Swâmi Nampillaï. J'ai ce nom en poche depuis plusieurs heures ; mais c'est le seul renseignement précis qui nous ait donné par Khan. Farés devient fou, Ketty elle, elle regarde autour d'elle comme si c'était un endroits merveilleux, mes hommes sont perdue de vue, super la sécurité...

Moi : tu crois que t'est venue souvent toi, le mec il se prends pour un guide.

Moussa : au moins je suis plus sur moi de où je vais.

Moi : bah vas alors !

Je tourne mon dos vers eux et me dirige vers un homme, il m'inspire la confiance enfin je pense...

Moi : I am sorry sir...

Il se retourne et me regards, ok je me suis mis en mode, du genre, short en jeans, débardeur blanc avec et mes cheveux on queue de cheval. Sans oublier un casquette pour pas qu'on me reconnaît, je vais pas tout de même me promener avec un masque, et un bijou qui caché mon demi bras pour mon tatouage, les gars eu il on rien mis, on voit pas beaucoup leur tatouage..

Moi : pars où partir à l'âshram de Swâmi Nampillaï.

(Petite parenthèse : l'âshram de Swâmi Nampillaï c'est un temple près de la villa de Khan, il nous a proposer de venir nous chercher mais on a refuser, allez savoir pourquoi...)

Ok je sais juste ce « i am sorry sir » mais pas plus dans fessons les blédards...

L'homme, peut-être un mendiant, à coup sûr, un grand couturier me dévisage, me fait répéter la question. Mais qui regarde le plus l'autre ?... Sa coiffe et son vêtement sont faits d'une infinité de petits morceaux d'étoffes multicolores, cousus ensemble sans aucun ordre. Mains et figures surgissent seuls de ce patch-work du meilleur effet, où s'entremêlent fibres de laine, brins de soie, touffes de coton - tout un ensemble effiloché de carrés, triangles, losanges de tissus rayés, ramagés, unis ou cotelés, tout un damier bariolé comme une plaine vue d'avion. Il serait facile de rire de cet homme en lambeaux, qui porte sur lui la carte du monde, des éclats d'arcs-en-ciel, des prélèvements géologiques, des nuages taillés au ciseau, des échantillons de feuilles d'automne, des bouquets interrompus : toute la palette d'un peintre dont le pinceau serait une aiguille !... Pourtant, on s'émerveille sans rire, quand on s'avise que le mot « habit » est le même que le mot « avoir », et qu'une fois encore, c'est à la pulvérisation de l'« avoir » qu'on assiste.

Arlequin étend son bras, ébauche quelque chose vers l'est. Qu'est-ce à dire ?... Il se jette alors dans une tirade interminable, mêlée d'anglais, de hindi, de tamoul et de quelques autres idiomes, une tirade embrouillée, accélérée, qu'il postillonne, et dont je ne retire que les noms propres.

Pendant son tirade, je vois Farés, Ketty et moussa en se retenant leur ventre entrain de rigoler, on est bien d'accord c'est leur job et as à moi de trouver le chemin.

Lui : Vous suivez Munishalaï Road, Sahib, vous arrivez devant Balakrishna Mill, une usine de textiles... Vous traversez Panayur Channel, vous remontez Ramnad Road... Quand vous arrivez au Mariamman Tappakulam Tank, vous voyez un lac au milieu, une île au milieu du lac, un temple au milieu de l'île.

Moi : Munishalaï Road...

Je l'interromps, lui fais répéter, on prenons note sur mon cahier de voyage, bah quoi j'ai droit –'

Il reprend : Alors, vous arrivez à Thiagarajar College, Sahib...

Moi : Thiagarajar College... Ensuite ?

Il reprend : Alors, vous arrivez à Thiagarajar College, Sahib...

Moi : Thiagarajar College... Ensuite ?... »

Il hésite un peu, cherche dans sa mémoire, s'enchevêtre dans les ruelles, bouscule les étalages, n'y comprend rien :

Lui : Non, Sahib, par là, vous n'arriverez jamais à Nampillaï Ashram. »

Il se retourne, réfléchit, scrute les lointains. Son maigre bras se lève à nouveau, cette fois en direction du sud.

Lui : Il vaut mieux prendre par Villaputam Road, Sahib. Vers l'aéroport... Vous coupez Dindigul Road, Sahib, vous longez la grande mosquée jusqu'au poste de police, Sahib, vous traversez la voie ferrée...

J'ai peine à écrire. Il s'exalte, il s'excite ; la répétition de Sahib rythme et relance la phrase, a sur lui un effet magique. Mais visiblement, telle n'est pas la direction. Le long bras, tout déçu, renonce à sa fonction de poteau indicateur, redescend lentement à la verticale... Brusquement :

Lui : Sahib !

Il dit Sahib ! comme il aurait dit Eurêka !... Le bras se relève, toutes veines saillantes, désigne l'ouest ; je crois le voir s'allonger jusqu'à l'horizon, fouiller les catalpas, au fond de l'avenue.

Lui : Vous remontez Townhall, Sahib, vous arrivez à Westveli Street, vous tombez sur le Municipal Tourist Bungalow, près du Bus Stand. Beaucoup d'emporiums, Sahib... »

Il bafouille, se reprend :

Lui : Ensuite, trop compliqué pour vous, Sahib... »

Ou pour lui ?... Je pense que dans sa tête, le plan de la ville est aussi bouleversé que s'il y avait eu séisme de première grandeur. Pourtant, spécialiste des rapiéçages, il raccommode tout ce qu'il peut, tente une dernière sortie, vers le nord.

Lui : Vous remontez North Masi Street, Sahib, vous traversez la rivière Vaïyaï, vous voyez la poste à gauche, vous laissez Tallakulam à droite, et vous arrivez au Government Industrial Estate... Beaucoup de banques, Sahib... »

Je ne l'écoute plus guère... Les centaines de bouts d'étoffes frémissent comme des pétales autour de cet homme-rose des vents. Sa dernière phrase brise ma rêverie.

Lui : D'ici, pas possible d'aller à Nampillaï Ashram, Sahib !

D'un coup, je me sens tirer vers l'arrière et vois Farés et moussa me ramener vers KHAN !

Je regards moussa et hausse les épaules.

Lui : si on serais rester on ne serai jamais rendu.

Farés : et toi qui étais à fond dans le monologue du vieux, tu aurai pus me dire je t'aurais parler des mots bizarre pour que tu sois attentif.

Moussa et moi ont se regards et rigolent, genre le mec il étais jaloux, j'entends le vieux m'appeler puis dit un mot et pars, je ne t'oublerai jamais mec...

Khan habiller d'un costume traditionnel de l'inde vient m'accueillir les bras ouvert, je le rends.

Lui : La bomba je vous ai attendu hyper longtemps comme vous n'êtes pas venu j'ai appeler moussa et il ma dit que vous étiez perdu.

Je regards moussa les sourcils froncés, quel con... Mais le pire le mec il se retener pour pas rigoler, Farés lui, il ne se retient pas et fais un sourire de charmeur *_*.

Moi : désolé khan mais je ne suis jamais venue en Inde donc..

Lui : je sais allez rentrer, tante Aicha vous a préparer un bon repas.

Moussa : enfin !

Je tourne la tête vers moussa et rigole, je tourne une dernière fois la tête vers la place ancien du vieux et vois une grande horloge qui indique 12h....

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Farés : khan sa veut dire quoi « Sahid ».

J'ai failli m'étouffer avec de la nourriture indien, tante Aicha âgé dans les 50 ans avais étais formidable dans sa nourriture, elle même aussi, elle nous a acceuilli les bras ouvert, la villa de khan étais merveilleux, rien à dire. Moi a coter de Ketty et face a moussa et Farés, et Khan au début de la table.

Khan : sa veut dire en quelque sorte « étranger ».

Je ne dis rien et continue à manger, et moi qui croyez que sa voulais dire ami, pfff ...

Khan : vous savez parler hindou ?

Ketty : madame parler avec un vieux et il répéter souvent sa.

Les autres rigolent, pendant que je mémoriser le vieux pour le faire manger son « Sahid » –'

Farés : mais le pire c'est que chef vous l'avez écouter on vous intéressant.

Et ils repartent dans un fou rire.

Tante aicha (en nous servant du riz et du poulet) : Arrêtez de vous moquez de votre chef, toi aussi khan sinon t'est privez de désert.

Moi (rire) : bien envoyez tante aicha.

Khan (en boudant) : pourquoi le désert ? Dit moi plutôt de la Serbinia.

Ont regards khan on attendant une explication mais on vois un torchon se diriger vers khan et qu'il évite en rigolant.

Tante aicha : C'est un mélange de l'épinards et du poireaux.

Ont fais comme si de rien n'étais mais c'est rater, tante aicha nous regards et on continue a manger , on regardant khan avec de la pitié, miskine de lui....

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Khan : voici ta chambre Silem, vous avez deux lit de deux places comme ta voulu ne pas te séparer de Ketty. Et celui des gars c'est juste à coté si vous avez besoin de quoi qu'il soit n 'hésitez pas.

Et il quitte la chambre, je saute sur le lit, et souffle un coup, on a peu visiter la ville aujourd'hui mais pour l'instant inde est merveilleux, il y a beaucoup de couleur, des personnes...

Ketty : Vous voulez vous doucher madame ?

Moi : Vazy en premiere j'irais après.

Elle hoche la tête et se dirige vers la salle de bain, la porte s'ouvre, je me lève immédiat et vois Farés. Je me dirige vers lu.

Moi : Sa t'arrive de fr....

Il me plaque au mur, et me regards énerver ?

Lui : si ce khan te regards encore une fois avec son regards je lui crève l'œil compris ?

Je reste sous le choc. Je hoche la tête (espèce de soumise Silem). Il s'approche et m'embrasse, je lui rends, il me colle plus à lui, et se détache brusquement et pars.

Ok Silem le mec se venge de toi à toi de te venger et tu sais avec qui....

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Khan : vous avez bien dormis ?

Ont descends tous en bas pour manger, la tête dans le cue, on sais coucher à 22h, il est 12h. Je porte une robe indienne rose avec des motifs argenter, cadeau de khan de bienvenue, mes cheveux boucler mais en queue de cheval, mascaran, crayon, eye liner...

Je descends et direct khan me sourie, je lui rends, puis fixe Farés qui lui sais contenter d'un short et d'un tshirt ainsi moussa, Ketty une robe longue vert. Je me dirige vers Farés mais une chaise surgit devant moi et a coter de Farés.

Moi (sourire de provocatrice) : je vais m'asseoir à coté de Khan Farés.

Et vais à coté de khan qui lui sourier, vazy sa se fais pas de jouer avec des sentiments frère.

Khan : sa te vas à merveille.

Moi (en fixant Farés) : je te remercie khan merci a toi.

Il sourit, pendant que Farés nous fixe en jouant avec le couteau.

Tante aicha : bonjours mes enfants.

Nous : bonjour.

Tante aicha : Khan y'a quelqu'un qui veut vous voir.

Lui : qui sais tata ?

Tante : votre couturier que vous avez demander pour prendre votre mesure de votre costume.

Lui : ah oui faites lui entrez.

Elle pars, nous curieux nous nous retournons et voyons...

C'EST PAS POSSIBLE, TOUT MAIS PAS SA, S'IL VOUS PLAIS...


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant