<<Ne juge pas les gens, tu ne sais pas par quoi ils sont passés>>

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~~~*Number 28*~~~

Moi : Et vous pensez qu' il se trouve où cette maison ?

J'ai finalement accepter la mission, je ne suis pas un sans cœur pour laisser les enfants dans les mains d'un psychopathe. Spencer fais rassembler tous les policiers autour de lui d'un coter y'avais ses hommes de l'autre les miennes.

Spencer : Dans un entrepot !

Moi : Pardon ? Mais pourquoi vous n'avez pas intervenue ?

Lui : si on n'aurais intervenue ils auraient tuer ses enfants !

Je sens une main sur mon dos, sa me bruler mais accompagner de frissons. Je regarda du coin de l'œil et vis Farés sourire discrétement, je regards autour de moi personnes a remarquer vue qu' ils étaient tous coller.

Farés : et vous pensez vous faufiller comment dans cet entrepot ?

Spencer : ah vrai dire on ne sais pas mais vue que La bomba est une femme...

Farés (en le coupant) : n'y penser même pas!

Je sens la main de Farés se radir, il se retient pour faire quelque chose, je le vois sa mâchoire contracter, et les sourcils froncer.

Moussa : chef on y vas, je pense qu'on a mal fait d'accepter cette mission !

Je hoche la tête a moussa suivi d'un regards, il comprends et il se tais, je n'ai pas oublier ce qu'il ma fait, je ne le parle pas, il me parle vue que je suis son chef.

Spencer : je suis désolé j'a....

Moi : D'accords j'accepte de faire je ne sais quoi pour aider ses enfants mais je vous promet que si il me touche ou fais un geste qui est pas bien, je le tue compris ?!

Ils me regardent bouche bée. Spencer tends sa main, je souffle et lui sers.

Spencer : d'accords !

Je retire ma main, et prends mes hommes a part. Pendant que les policiers s'occupent du plan. Loin de nous.

Farés : mais t'est folle Silem !

Je lui met la main sur la bouche.

Moi : ne m'apelle pas par mon prénom !

Farés : désolé.

Homme 1 : chef vous vous mettez en danger !

Moi : je suis obliger.

Homme 2 : obliger de quoi ? Laissez nous aller !

Moi : écoutez je vais faire ce boulot pour les enfants, déjà que ce fdp de père à tuer sa femme, il faut bien que je le fais regretter.

Farés: on fessant quoi on te mettant en danger ?!

Moi : tu oublie une chose Farés. Tu ne gagneras jamais si tu crois que tu es en train de perdre. Il ne se passera rien si tu reste assis sans rien faire.

Ils se taient tous, le vent souffle, se qui me fait frisonner, je vois Farés qui me prends par les bras et se rapproche a lui, pendant que mes hommes souris.

Moi : enlever moi ses sourires de vos tête de hmara.

Ils rigolent. Je vois moussa me regarder avec le sourire mais je l'ignore.

Homme 1 : chef j'ai vue la famille a jack.

Moi : ils vont bien ? Ils ont besoin de rien ?

Homme 1 : Non ils ont tous ce qu'ils le faut, ils vous remercient.

Je souris.

Homme 2 : Sa vas à fait un an, une année de votre vie que vous êtes avec nous chef.

Je le regarde puis me sépare de Farés et fais des pas, c'est une habitude chez moi quand je vais parler.

Moi : Tu veux comprendre ce qu'est une année de vie : pose la question à un étudiant qui vient de rater son examen de fin d'année. Un mois de vie : parles-en à une mère qui vient de mettre au monde un enfant prématuré et qui attend qu'il sorte de sa couveuse pour pouvoir le serrer dans ses bras, sain et sauf. Une semaine : interroge un homme qui travaille dans une usine ou dans une mine pour nourrir sa famille. Un jour : demande à deux amoureux transis qui attendent de se retrouver. Une heure : un claustrophobe coincé dans un ascenseur en panne. Une seconde : regarde l'expression d'un homme qui vient d'échapper à un accident de voiture. Et un millième de seconde : demande à l'athlète qui vient de gagner la médaille d'argent aux Jeux Olympiques, et non la médaille d'or pour laquelle il s'était entraîné toute sa vie. Et moi qui est avec vous pour vous aider, pour vous éduquer et vous poussez a faire un pas de plus dans l'enfer un peu plus.

Farés : ah oui ? Tu penses a sa ? A ce que je sache tu nous a laisser une chance pour quitter la mafia.

Homme 3 : alors que vous etes trop jeune, les gens de votre age son au lycée...

Moi : je suis bien avec vous, vous ne l'êtes pas avec moi ?

Ils rigolent et on voit que spencer s'approche, Farés s'éloigne de moi. Il nous dit que le moment est venue pour faire notre mission.

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Farés : dés que il fais un geste suspect tire !

On est dans la voiture, je suis habiller d'un short en jean, d'un débardeur, et d'une bonnet. Je vais faire en sorte d'attirer l'attention du psycopathe dans se froids, Farés à protester en disant que si un des hommes me regardent il les crèvent leurs yeux, trop romantique...

Moi : ne t'inquiète pas, Farés je sais ce que je fais.

On est arriver derrière l'entrepôt, les autres en sont pas encore la, nous somme cacher derrière des tas de métal. Je regarde par la fenetre, il fais sombre, le vent souffle, c'est le désert. J'entends un détachement de ceinture, et quelque un me tire vers lui. Dos au volant, face à lui. Il me regards chaque coin de mon visage, tout en gardant sa main sur mes hanches. Il lève sa main et me caresse la joue. Tout en soufflant agacer.

Lui : je connais les hommes Silem ils on un arrière penser, vue ta tenue, il va essayer de t'avoir de te t...

Moi : Je vais réussir Farés tu sais bien que j'essaye de me défendre.

Lui : face à cette homme tu vas pas y arriver.

Je le regarde un sourcils lever.

Moi : tu penses que je suis faible ?

Lui : pas toi mais ce mec est plus fort que toi, il a une arme.

Moi : moi aussi j'en ai a ce que je sache.

Lui : fais attention Silem je veut pas qu'il t'arrive quelque chose je ne sais pas commencent je ferais san....

Je le coupe en l'embrassant, il me sert direct à lui, je retrouve le goût de ses lèvres, ma drogue. Je ne sais pas si c'est un baiser d'adieux ou pas mais je sens que quelque chose va se passer.
On continue à s'embrasser je passe mes main sous son tshirt et lui caresse son torse, et je sens qu'il frisonne. Je sourie. Il se décolle et me regarde avec son sourire, et ses yeux, je fonds.

Moi : je ferais mieux de retourner a ma place.

Lui : je trouve que t'est mieux ici.

Il se colle plus à moi pour appuyer a son propos, je rigole. Il lève mon masque.

Lui : si il t'enlève ce masque tu sais ce que tu dois faire !

Il le remet.

Moi : Oui je sais.

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Moi : OOOOUUUHOUUU YA QUELQU'UN ?

Je suis rentrer dans l'entrepot, vetue de mes habit d'attirance, et mon arme cacher dans mon soutien gorge, et aussi le micro sur moi mais cacher pour les autre puissent entendre.

... : Fée ici 1346 vous m'entendez.

Je porte un écouteur invisible pour parler avec les autres, c'est spencer qui parler.

Moi (en chuchotant) : Pourquoi vous m'appelez fée ?

Un autre voix : parce que c'est comme sa écoute chef faites attention.

Moi : oui ok j'ai compris sois chef tant que tu y es Farés.

J'entends des rires, puis le silence.

Spencer : fée écoute faite attention il est armée, et il a 2 enfants en otage.

Moi : 1346 je sais mais y'a aucun br....

PAMMMMM, je vois une ombre courir, je vois rien l'entrepot et grands, vide, sombre et des métaux, des congelateurs vieux, des tables qui ont pourris ils étaient à vrai dire c'était comme dans les films.

Moi (en chuchotant) : 1346 ici la fée y'a quelqu'un.

Moi : OUHOUUUU YA QUELQU'UN ?!

... : QUI EST LÀ ?

Pammm, coup de feu, J'ai sursauter, je reste immobile. A vrai dire je commence a avoir peur, calme toi Silem calme toi...

Moi : c'est moi Marie.

... : QU'EST CE QUE TU FOUS LÀ ?!

Ont le ton qui prends sa fait peur, mais pas à moi, enfin si un peu....

Moi : écoutez cher monsieur je n'aime pas parler au mur donc si vous aurez l'amabilité de sortir de votre petite cachette pour que je puisse vous voir et discuter j'ai besoin de vous.

... : ASSEYEZ VOUS POUR QUE J'AI LE GARANTIE QUE VOUS NE FASSIEZ RIEN !

Je m'assois a vrai dire je m'assoie en mode star, genre les pieds allonger, ma main derrière moi, je me tient sur cette main, les cheveux en arrière.

Je vois une ombre, puis l'ombre s'approche puis je vois le silhouette s'illuminer grâce à la lune. Enfin je vois l'homme, gros grands de taille, cheveux noir, moustache, mono sourcille. J'essaye de ne pas grimacer et lui fais une sourire hypocrite. (Ne bavez pas devant mon homme émoticône grin ) . il s'approche avec un baton de fer a la main, où est ce qu'il a mis l'arme ? Il m'inspecta, de tete au pied avec une sourire de psychopathe, je pense que je ne peut pas l'attirer vers moi.

Lui : lève toi.

Oh il a signer son arret de mort, comme c'est mignon....

Je me lève, et lui sourit tout en essayant de descendre mon débardeur. Pourquoi un débardeur ?!

Lui : qu'est ce que tu fais dans cette lieux à l'heure qu'il y est ? Surtout ton masque !

Moi : c'est que ma voiture ma lâcher, et jai marcher des kilomètres pour trouver quelqu'un ! J'ai des problèmes au niveaux de mes yeux je rentre de l'hôpital !

Tozzzz je veut pas que tu baves devant mes yeux connards...

Lui : dans cette tenue tu peut juste t'attirer des pervers !

Il me sourie, oh c'est encore mignon, il aura plus de dents dans les minutes a venir...

Je m'approche de lui, et lui arrange son écharpe. Il me regarda choquer puis souri. Je lui regarda dans ses yeux tah le khra, et lui fixe mes lèvres recouvert du rouge à lèvres rouge.

Moi : vous êtes mon pervers alors ?

Lui : si ce que tu dis.

Puis il se recule d'un coup, et laisse sa baton de fer. Et se précipite vers sa ceinture. Ok...

Moi : qu'est ce que tu fais ?

Lui : le pervers va bien s'occuper de toi.

Moi : oh pas là j'ai ma voiture pas loin.

Il s'arrête et jette sa ceinture par terre. Il me fixe puis sors son arme de son derrière. Il me le pointe.

Lui : déshabille toi !

Moi : pardon ?

Lui : déshabille toi pétasse.

Moi (en murmurant) : c'est ta mère la pétasse.

Lui : QUOI ?!

« enfuis toi ne reste pas la putain il va te violer reviens » c'était la voix de Farés, j'entends des agissements.

Moi : Ne t'inquiète pas pour moi attendez mon signalement.

Le connards : signalement de quoi ?

Moi : je voulais dire signalement de passer l'action.

Il me regarde chelou, puis enlève le truc de sécurité.

Lui : soit c'est maintenant soit jamais.

... : Papa !

Je me retourne et vois une fille âgé de 8 ans, habiller d'une robe rose avec des collant blanc, des couettes elle ressemble a sa mère (vue spencer avait montrer la photo), il tient par la main d'un garçon de 4 ans, habiller d'un sweater bleu, pantalon marron, il ressemble...... Oh Nonnn.....au connards.

Moi : mais c'est des enfants.

Il descends l'arme et me tient fermement par mon bras, et chuchote a mon oreille.

Lui : tu vas nous aider, tu vas t'occuper de mes enfants.

Moi : je n'ai pas que sa a faire,je te connais même pas.

Lui : Tu me connais, je suis ton pervers.

La maltraitance envers les connards doit exister, manifestons-nous....

Moi : et leurs mère où est elle ?

Lui (sourire diabolique) : je l'ai tuer.

Je le regarda choquer, comment un être humain peut être si cruelle. Il me pousse vers les enfants, qui eux, me regards avec de l'inquiétude et épeurer. Je m'accroupis devant eux. Pendant que le connards passe a coup de fil loin de nous mais me jetant de temps en temps des regards.

Moi : bonjour je m'appelle Marie et vous ?

La fille : Moi c'est Camille et lui Maxime.

Moi : et vous faites quoi ici ?

La fille : papa a dis que ma mère nous attendez autre pars !

Moi (en murmurant) : dans l'autre monde !

La fille : quoi ?

Moi : rien écoutez sa vous dis si on pars de la tous les trois.

Maxime : Et papa ?

... : de quoi papa ?

Je me lève et fais face à Le Connards.

Moi : rien je disais combien vous étiez ?

Il me regarda de haut en bas, et cracha juste a coter de moi.

Manifestons-nous aussi pour leur casser leur dent et autres pars aussi...

J'essaye d'écouter les autres mais aucun bruit viens de l'écouteur c'est bizarre...

Le connards : Jason vas venir, il va nous emmener voir maman mes enfants.

Et ils encerclent dans ses bras les enfants, qui eux, sourient comme si ils étaient rassurer...

Moi : vous allez tout de même pas me laisser toute seule faites moi un câlin aussi non ?

Ils me regardent, les enfants allez faire mais le connards les empêchent, vvuuuuuuuu tournade en vue....

Son téléphone sonne. Il réponds.

... : SAUVEZ VOUS YA LES FLICS DEHORS !

Il raccroche, et se retourne vers nous, pas le temps je tient par les mains des enfants et nous courrons, les pauvres ils ne comprennent pas ce qu'il se passer.

... : OU VAS TU COMME SA SALOPE !

Nous sommes presque arriver a la sorti, le connards nous suivez, au moment que je tends la main vers le poignet.

PAAAAAAMMMMMMMMMMMMMM.


&quot;Bienvenue à l'enfer&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant