"Même si la vie offre des épreuves, combattant les!"

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Ps :Relisez la partie avant pour comprendre:)



SalamAleykoum, Merhaba, Bonjour, Hello,... ! <3



~~~~~*<<"Mêmesi la vie nous offres des épreuves dur à surmonter, baissons pasles bras car la victoire qui nous attends est bien plus quemeilleures...".>>*~~~~~


~~~*Number35*~~~





Jen'arrive pas à y croire que moi Silem je suis amoureuse, je nesavais pas ce que c'était cette émotion avant que je pense àlui. Même t'il aussi ? Ressens t'il les même chose que moi ?Tous ces questions fusionnent dans ma tête. Jusqu'à que quelqu'unme tient le bras et me retourne vers lui, ses yeux bleu océansbrillant grâce à la lumière de la lune me donne une de ces chairde poules, que je me perds dans ses yeux. La chaleur de sa main meréchauffe malgré la froideur que le temps nous offre. La fumée desa respiration saccadé, me réchauffe mes joues et me fis gêner. Jecontinua à le fixer pendant qu'il me fixa avec ses yeux. Il ouvre labouche pour dire quelque chose mais le referme aussitôt, sûrementil est entrain de penser à ce qu'il vas dire.



Lui :Pars pas...



Cesdeux mots qui déclenchent mon battement de cœur, qui fis saccadé àmon tour ma respiration, je ne sais pas quoi lui répondre. Ilattends ma réponse, je fis les mêmes gestes que lui mais cette foisci rien ne sors de ma bouche. J'enlève sa main de mon bras, sesdoigts qui supplie à les miennes de ne pas se déconnecter de lamienne, mais il faut que je sois sûre que je ne trompe pas Burak.Avant de me tourner pour partir, je me met sur les pointss des piedset m'approche de son oreille, je le vois fermer ses yeux.



Moi :Je suis désolé...



Sansmême attendre sa réponse et sa réaction je me dirige vers lavoiture et démarre. À partir de la rétroviseur je le vois immobileen plein milieu du devant de la maison...



Jecontinu à conduire avec une clio rouge, je pense qu'il appartient àKetty. Grâce à moussa qui m'avais passer tous les adresses deschefs de mafia, je me dirige par celle de Burak. Le GPS indique queje suis arriver, devant une villa grande, entourer par des arbres,milieu foret, je rentre à travers le portail et m'arrête devantl'entrer, deux gardes devant la porte, deux gardes me regardent etplace leur main derrière leur dos, sûrement pour se préparer aprendre leur armes, sérieux moi tuer ou tirer sur quelqu'un ?



Moi :Burak est-il à la maison ?



L'undes gardes : Pourquoi faires ?



Moi :Pour me l'enfoncer peut être.



Ilfus choquer ainsi que son copain de garde, l'autre rentre dans lamaison pendant que moi j'attends avec l'autre con, il fais froids mesjambes commence à geler, le garde me lance des regards et sourit, jele regards et tourne des yeux exaspérer. Je tourne la tête et levit, un pantalon gris, avec une chemise blanc moitié ouvert quilaisse apparaître un bout de son torse, ses cheveux en désordreenfin où il y a vue qu'il à un dégrader, il fis choquer puis mefais signe de rentrer. Je m'avance vers lui mais avant je fais undoigt à l'autre con qui fit énerver pauvre chou. Je souris et vitque burak me regards toujours énerver, il avance, je le suis enrentre dans le salon grands beige avec des canapés en cuir marron,il me fis un geste pour que je m'assois, je m'assois il fit s'asseoiren face de moi. Il me regarda sûrement entrain d'attendre la raisonde pourquoi je suis là.



Moi :Sa va ?



Applaudissez-mois'il vous plaît, mon intelligence fis surface. Il rigola avec sesdents blanches alignées, puis fait une moue de joie.



Lui :Oui et toi ?



Moi :Oui.



Puisle silence, je commence à jouer avec mes mains, puis mes ballerines,et pour finir ma jupe qui m'arrive au niveau de mon genoux.



Lui :Tu veut quelque chose à boire ?



Moi :Oui j'aimerais un verre d'eau s'il te plait.



Ilfais signe à mon dernière, qui laisse apparaître une serveuse, ildemande mon eau et pour lui du coca Mdr. Nos verres arrivent je boisun coup, il fis une sourire.



Moi :j'ai besoin de te parler d'une chose.



Ildéposa son verre et me regarda avec ses yeux noirs perçant, lessourcils légèrement froncés.



Moi :Toi et moi on est quoi ?



Ilme regarda un instant, ne comprenant pas ma question.



Lui :Tu te fou de moi c'est sa ?



Moi :Je me suis souvenu juste de toi Burak, le moment où tu étais dansla salle de réunion de Pédro, puis plus rien.



Ilfus choquer puis afficha à sourire au coin, il se lève puis seplace à coté de moi prends mes mains et dépose un bisou dessus,puis me fixa dans mes yeux, nos visages si proches, je sens mes joueschauffer, mon cœur battre, il fixa mes lèvres puis mes yeux.



Lui :Toi et moi on est...



Ille dis si doucement que j'oublie de respirer, on est quoi ? Ils'approche de plus en plus de moi, nos lèvres allaient se rencontrerquand...



...:Monsieur vous avez une ap... je suis désolé je vais dire qu'elledoit vous rappelez après.



Laserveuse repart en courant tellement gêner que je suis de même,burak ferme les yeux et les reouvre, je m'éloigne de lui avec unesourire de timide.



Lui :On monte en haut on seras pas déranger.



Ilse lève et je le suis, faut que je sache qu'il il est. Je monte lesmarches derrière lui, pendant qu'il défait ses boutons de sespoignets, j'avale difficilement ma salive , on ne voulant pasimaginer de ce qu'il va se passer. Il ouvre une porte et me fisrentrer dans sa chambre. Une grande lit blanc, les murs de couleurnoir. Simple mais chic, je sens une main sur mon bras et je meretourne vers lui, il pose son front sur la mienne et met ses mainschaque coin de ma veste et me l'enlève tout en me fixant.



Lui :Tu veut savoir qui tu es pour moi ? Qui je suis pour toi ?



Moi :Ou...Oui.



Ildéplace sa main vers ma barrette qui me servais à tenir mes cheveuxen queue de cheval, et l'enlève, mes cheveux tombent sur mon dos etmes épaules, j'étais paralysée, je n'arrivais pas à bouger. Ildéplace ses mains vers le haut de ma chemise et défait un bouton.



Lui :Je vais te le montrer...



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&quot;Bienvenue à l'enfer&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant