~~~~~*Des fois dire la vérité ne fais pas du bien mais du mal*~~~~~

100 4 0
                                    


~~~*Number Eleven*~~~

Et je monte à l'aide de Ketty avec des tas de questions. On va découvrir qui je suis....

« Dualar eder insan mutlu bir omur icin, sen varsa her yer huzur, huzurla yanar icim »

Irem Derici- Kalbimin tek sahibi...

Mon téléphone sonne, je me réveille le tête dans le cue, regards le réveil : 03h06. Qui m'appelle à cette heure si. Je prends pas la peine de voir de qui il s'agit que je réponds.

Moi : allô....

... : Silem snif c'est moi myrielle (mon ancienne amie de mon lycée)

Je regards mon téléphone c'est ma carte sim en tant que Silem, j'ai eu peur. Pourquoi elle m'appelle ?

Moi : ouai pourquoi tu m'apelle ?

Elle : Silem t'est ou ? Sa va faire depuis 5 mois que tu viens pas en cours !

Moi : ça ne te regards pas, je parle pas au vendu.

Elle (en pleure) : Silem je t'en prie je t'ai pas vendu.

Moi : ah bon ? Ce n'est pas ce qu'elle a dit Sarah.

Elle : elle est jalouse, de toi et de moi.

Moi : écoute myrielle jalouse ou pas tu nous a vendu. Maintenant je vais raccrocher, si tu veut dire autre chose dit le moi.

Elle : pufff tous des keh ma paroles.

... : on t'avais dit myrielle elle ne t'aimais pas.

Je connais cette voix c'est celle d'une des filles du groupe de keh. Le colère monte et je lance le téléphone qui se brise en morceaux. La porte s'ouvre et laisse apparaître Farés effrayé et essouffler, il regards mon téléphone puis moi. Moi j'explose de rire, il avais les cheveux en bazar, en short débardeur. Il s'introduit à moi puis on rigole ensemble. Moi j'étais en short débardeur aussi.

Lui : pourquoi tu rigoles ?

Moi : wesh ta vue ta tête ?

Lui : il a quoi ma tête, juste que je suis un beaugoss.

Moi : mdrrrr ne te jette pas des fleurs.

Lui : moi lancer des fleurs ?

Il me prends en sac à patates et me fais descendre les escaliers, pendant que je rigoler. Arriver devant la piscine, il sourit et POUF je suis dans l'eau, je nage mais monsieur saute aussi et essaye de me faire couler. Fatiguer, on s'arrête on étais au milieux proche même coller l'un à l'autre. Il me regards droit dans les yeux, puis mes lèvres. Moi je fixer carrément ses lèvres, il s'approche doucement et restant fixer mes yeux. À quelques centimètres...

... : wesh il se passe quoi là ?

On s'écarte direct, on voit moussa et Ketty endormis en se grattant les yeux, ils nous regardent un par un, et saute avec nous, ont est des cons ma paroles à nager à 4h30 du matin. Farés me regarder mais moi je ne le fis pas, par honte... Depuis quand la Bomba a des sentiments ? Chuuuttt là c'était la Silem et non la Bomba....

**********************

Moi : jack toi par la et moussa toi par la.

Ont a décider de faire une descente dans un des sous-mafia exactement aux Renégats, Moussa et Farés ont dit que c'est l'un des hommes d'ici qu'il a envoyer la lettre. Il fais nuit, je prends mon arme et donne un coup de pieds dans la porte, ont avance et on fouille la maison mais y'a personne, je prends la vase et le jette au mur.

Moi : Putain on la rater.

Farés : chef calme toi.

Moi : combien de fois je vous ai dit de ne pas dire de me calmer quand je suis énerver ?

Il se tais, un de mes hommes tient un homme de Renégats super. Il le jette à mes pieds, l'homme essaye de se lever mais moussa l'empêche.

Moi : où est ton chef ?

Lui (sourire moqueur) : ils sont partis mademoiselle.

Je le frappe avec mon arme, Farés le relève. L'homme me regards et sourit.

Lui : vous êtes venue car ma lettre ne vous a pas plue.

Moi : c'est toi qui la envoyer ? Maintenant dit moi qui les a tuer ?

Lui : si je vous dit sa vous blessera.

Moi : écoute moi bien, blesser ou pas dit moi ? D'ailleurs qui sais qui je suis en réalité ?

Lui : vous avez ma promesse que personne sais votre identité.

Moi : d'accords mais maintenant dis moi qui les a tuer.

Lui : je peut pas vous dire car je veut pas vous blesser.

Farés : écoute ne nous fais pas perdre notre temps dit le et on te laisse en vie.

Lui : si vous me laissez il me tueront.

Moi : Qui ?

Lui : les tueurs de vos parents.

Moi : écoute je te donne tous ce que tu veut mais dit moi qui les a tuer ?

Lui : je peut pas mais sachez une chose ce que vous croyez proches sont les premiers à vous planter le couteau à votre dos, ce qui est mort ne l'est pas.

Je ne dis rien et essaye de comprendre de qui il parle.

Moi : Qui ?

Il hoche la tête négatif.

Moi : Moussa je vous laisse ce qu'il a à faire.

Et quitte la villa, PAM PAM, puis de témoin de qui je suis.....

*****************

Moi : Ketty tu penses que je mérite cette vie. Passe l'oignon.

Je suis entrain de cuisine avec Ketty, je fessais à manger aux légumes. Ketty s'occupe de la soupe, Ketty me passe l'oignon et je le coupe, les larmes aux yeux –' pauvre oignon.

Ketty : Non madame vous méritez le meilleure.

Moi : d'après les gens j'ai une vie de meilleure, je suis une chef de la mafia connue au monde.

Elle : on se tape de ce que les gens dise, c'est de ce que vous vous en pensez.

Moi : ta raison. D'ailleurs Ketty tu ma pas raconter ta vie.

Elle s'arrête de son élan, et reste pensif. Elle prends les vaisselles et place dans la machine.

Elle : j'ai rien de spécial à pars que j'étais une orpheline.

Moi : tu travailler où avant cette villa ?

Elle : euh... je ne travailler pas.

Et elle pars dans le salon, c'est suspect tous sa, faut que je fasse des recherches. Fini les oignons , je coupe des concombres.

Jack : chef désolé de vous déranger...

Je me retourne et m'essuis la main, jack sors une feuille et commence à la lire.

Lui : mais je voulais vous informer que les dons d'argent que vous avez fais dans les hôpitaux, les associations pour les enfants malades, les handicapés , l'Afrique, le brésil, et pour SOMA (la mine où sa à fait plus de 800 morts en Turquie) à été faites et sans oublier la Palestine.

Moi (en mélangeant la sauce pour les pâtes) : vous avez mis quoi pour l'émetteur ?

Lui : comme vous avez dit le symbole de la Caliente avec un S.

Moi : parfait. Jack goutte et dis moi comment il est !

Je lui fais goûter la sauce, il le mange et réfléchis.

Lui : parfait mais il manque un peu du piquant.

Moi : d'accodac chef mdrrrr

Lui : mdrrrr.

Et il pars. J'ajoute du piquant. Je sens une présence et je vois Farés me fixer. J'ai flipper.

Moi : tu ma fais peur.

Lui (gêner) : désolé...

Moi : la prochaine fois fais du son parce que la ta échapper belle à ma beauté de poêle.

Lui : mdrrrr je suis sauver juste pour aujourd'hui alors.

Moi : mdrrrr oui on peut dire sa.

Lui : tu fais quoi ici ?

Moi : rien je suis venue visiter la cuisine avec une tablier et un torchon sur moi –'

Lui : mdrrr j'ai vue sa mais oublie pas t'est le chef.

Moi : ah ouai ? J'avais oublier. Tu veut que je prends une cigare le fumer sur une chaise en cuir ?

Lui : tu veut que je te ramène quelle légume ?

Moi : mdrrrr j'étais sure que t'allais dire sa. Non merci.

Lui : Silem...

Je me retourne et le regards quand il appelle par mon prénom c'est qu'il veut discuter en tant qu'amis.

Moi : je t'écoute Farés ta quelque chose ?

Lui : je sais pas comment te dire, sa m'aie jamais arriver.

Il prends sa tête entre ses mains et fais les 100 pas.

Moi : Je m'inquiète la....

Lui : Ma mère à besoin des sous et elle veut pas de mon argent salle...

Moi: attends ta mère sais que t'est dans la mafia ?

Lui : Oui c'est un peu a cause d'elle que je suis dans la mafia. Quand ils ont fais l'accident mon père et ma mère, mon père on la perdu mais pas ma mère, il fallais de l'argent pour son opération avant j'ai les dit mais elle voulais pas qui voudrait que son fils rentre dans le haram, puis elle a fini par dire oui forcer. Mdrr je sais même pas pourquoi je te raconte sa...

Il allais partir mais je le retiens, il regards son bras puis moi.

Moi (sourire) : c'est peut être je suis ton amie et ton chef..

Lui : c'est sa le problème c'est que tu dois pas être mon amie mais mon chef....

Moi : j'ai deux côté Farés côté Silem ton amie et côté la bomba ton chef.

Il me prends dans ses bras, je rends son enfreinte et le serre aussi. Il se décolle.

Moi : maintenant dis moi l'histoire que ta mère veut des sous mais pas de sale.

Lui : elle veut acheter la maison où elle habite mais en argent halal en gros et...

Moi : j'ai compris.

Je sors de la cuisine, monte les escaliers, rentre dans ma chambre, cherche les clefs, trouver, descends et tends à Farés.

Moi : tient prends le nécessaire.

Lui : mais c'est pas les clefs où tu met l'argent que les policiers te donne en échange de service ?

Moi : oui aller prends avant que ma sauce brûle.

Lui (sourire) : je te le rembourserai.

Moi : chut faut s'aider entre les amis.

Il rigole et sors mais avant il s'approche et m'embrasse. M'EMBRASSE ? Une toute petite baiser doux, je reste immobile, il se décolle et reste près de l'un et de l'autre.

Lui : j'ai toujours voulu le faire avant que ce zmell de Pédro le fasse.

Je m'éloigne et le regards mal, il aurai pue me prévenir, je voulais mettre une robe de soirée pour mon premier baiser –'

Moi : PARS !

Il me regards puis pars. Il ma embrassssssseeeeeeeeeeeerrrr yooooouuhhoooouuuuuuuu.
Quoi ? –' j'ai droit de faire la fille difficile face à eux. En plus Farés c'est un bombe ma parole.

Fisssssssssssssssss

Mierda c'est la sauce qui déborde je cours pour sauver la sauce...

***********************

Jack : il est délicieux ta sauce chef.

La team, jack et moi sont autour de la table entrain de manger, moi au bout et les autres de côtés, Farés est partis à la poste pour envoyer l'argent. J'étais concentrer dans mon assiette et pensais à cette épisode de « mon premier baiser ». Je sais pas quoi dire, je voulais un petit ami qui me surprendra en surprise. Ce qui sais passer, mais j'ai peur, peur de tomber amoureuse, d'avoir des sentiments.

Ketty : Moussa passe le sel s'il te Plait.

Je lève la tête et vois moussa sourire à Ketty ce qu'elle rend. En passant moussa caresse le doigt à Ketty il se passe quoi là ? Je m'énerve et me lève de la table, les gens me regardent étonné, pas le temps de les laisser parler que je monte dans ma chambre.

1 heure après que je me calme j'appelle Moussa, Farés étais de retour. Moussa arrive, accompagner de Farés.

Moi : On a dit pas de sentiment, pas d'amitié, pas d'amour. Tu es dans le hram, dans la mafia. L'amour n'existe pas maintenant dans ce monde. Regards autour de toi, imagine toi et Ketty sais fessable ? NON. Si je vois encore une fois ce que tu viens de faire je vire Ketty et tu le verra jamais compris ?

Moussa avais la tête, baisser. Farés avais les sourcils froncé, mâchoire contracter. Moussa sors de la chambre, Farés s'approche de moi.

Lui (énerver) : laisse-les, ils s'aiment. Tu vois pas qu'ils s'aiment? Ça se voit comme le nez sur la figure! Tu n'as qu'à voir comme ils s'ignorent, comme ils se retrouvent, comme ils s'engueulent. Ça crève les yeux qu'ils sont fait pour être ensemble ! Mais ils ont pas le courage de se l'avouer, pas la force de s'avouer qu'ils s'aiment, pourtant tu verrais comme ils se regardent, comme ils se désirent, comme ils se provoquent... Ils se prouvent pas mal de choses, mais est ce qu'ils se prouvent qu'ils s'aiment vraiment? Ça non. Ils se font du mal mutuellement pour se tester. Quand on leur parle d'amour ils nous rient au nez, mais ils savent très bien qu'on a raison. Ils se le cachent entre eux mais ils savent la vérité. Regardes les se prendre la main, comment ils ont besoin de se toucher pour s'avoir leur existance. Observe leur sourires, ce n'est pas de l'amour ça ? Tu ne vois donc pas ces étoiles dans leurs yeux? Regardes comme ils se frôlent sans se voir, comme ils aiment se détester. Pourtant ils le savent comme nous, qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Mais toi ce que tu fais, c'est inhumain.

Je le gifle, il me regards puis sors. Il n'a pas le droit de me parler ainsi. Je prends ma caméra, le place sur le bureau, je m'assois sur mon lit. J'appuie sur le bouton et voilà sa filme.

Moi : Vidéo 8....

Il me comprendrons un jour....

******************

Pédro : laisse moi la parler.

Je me réveille en sursaut, j'attends des cris, prends mon arme et descends avec ma nuisette violet. Il fessais chaud. Je dévale les escaliers et vois les hommes à PÉDRO. Tient on parlant du loup.

Lui : Ma bomba faut que je te parle.

Farés : elle a pas le temps pour toi sors.

Mes hommes, ses hommes qui se défis des yeux, je vois moussa la tête baisser, les yeux rouges, il a pleurer ? Ketty qui me regards effrayé. Farés qui lui ne prends pas la peine de me regarder, si il regards c'est noir avec du dégoût. Pfff moi qui allais tomber amoureuse de lui, heureusement que je contrôle mes sentiments. Je vois Pédro il me regards puis tourne la tête vers Ketty, Ketty le regards étonné, surpris puis baisse la tête tandis que Pédro le regards avec de la haine et du dégoût, quelqu'un m'explique ?

Moi : il se passe quoi là ?

Je baisse mon arme, mais le garde toujours.

Pédro : faut que je te parle.

Moi : t'est sérieux Pédro ? Ta vue l'heure ? Il est à peine 3h30 du matin et tu viens pour me parler, ta quelque chose avec le jour ou sais comment ?

Lui : fallais que je te parle, j'ai essayer de te contacter mais tu répondais pas.

Moi : écoute Pédro la j'ai grave envie de dormir reviens demain matin.

Lui : tu m'en veux pour le restaurant ?

Moi : Non j'ai bien manger.

Lui : mais ce que j'allais te faire après ?

Farés le donne un grands coup de poings dans la gueule de Pédro, ses hommes avancent vers Farés mais mes hommes empêchent, moi je suis sous le choc. Pédro tient son nez et regards hyper mal Farés, et voilà qui lui donne un grand coup poing a Farés, il saigne de l'arcade.

Moi : STOP PÉDRO ON PARLERA DEMAIN.

Il me regards puis sors accompagner de ses hommes, Farés monte dans sa chambre , ainsi la team. Faut que Farés cesse sa jalousie. Je monte et le vois dans la salle de bain, torse nue *___*. Il repasser un coup d'eau sur son sourcil. je souffle un coup, il remarque et se tourne vers moi, et me regards les sourcils froncé.

Moi : arrête tout de suite.

Lui : arrêter quoi ?

Moi : de me désobéir.

Lui : je m'excuse maintenant sors.

Moi (rire nerveux) : attends attends tu commande qui là ? Assis toi.

Il me regards, souffle puis s'assoie au bords de la baignoire, je prends une trousse de secours, met du désinfectant sur le coton et l'applique sur la blessure de Farés. On étais si proche mais je me forcer à me concentrer sur la blessure.

Lui : putain fais attention.

Moi : ta gueule.

Et appuis fort, il souria, je fis pareille. Blessure fini, je met le pansement. Je me retourna pour partir mais il me retient le bras. Je le regarda avec un regards interrogatoire. Il se lève , et baisse la tête puis me regards.

Lui : Silem je suis désolé pour le baiser.

Moi : c'est oublier.

J'allais repartir mais il me re-retient.

Moi : Farés j'ai dis que c'était oublier.

Lui : tu me le dis en tant que Silem ou chef ?

Moi (sourire) : sa vas changer quoi ?

Lui (sourire) : si tu le dis en tant que chef demain je suis morte. Mais si c'est Silem... je sais pas...

Moi : je le dis en tant que Silem c'est oublier maintenant lâche mon bras à croire il te gêne mdrrr.

Lui : mdrrr.

Silence, il s'approche de moi, j'allais reculer mais y'avais le mur. Il se penche vers mon cou et tire un coup de mon parfum. Les frissons parcours dans mon corps.

Lui (en chuchotant) : je savais que c'était ton premier baiser, je voulais pas que ce zmell de Pédro allais être le premier, le premier jour que je t'ai vue j'ai eu se putain de frisson. À chaque fois, je me disais : Je suis le prince charmant, celui qui te brise le cœur et qui s'en moque. Celui qui te met la tête à l'envers et t'oblige à penser à lui. Je suis celui à qui tu penses avant de dormir, je suis celui à qui tu penses lorsque tu ouvres les yeux le matin. Je suis celui qui arrive toujours au mauvais moment, celui qui te fait croire qu'il t'aime, celui qui obtient tout ce qu'il désire. Je suis celui derrière qui tu cours, je suis celui que tu ne cesses de regarder et par-dessus tout, je suis celui qui savoure ta détresse. Je suis celui que les toutes filles s'arrachent, je suis le prince charmant. Mais moi j'ai peur de l'être, mais toi, toi tu me rends fou....

Je resta bouche bée, je sais pas quoi dire, je regarda en face de moi, non il doit pas tomber amoureux, je me retire et le regards neutre.

Moi (rire nerveux) : Moi j'ai pas de sentiments pour toi et je n'aurai jamais. Ne perds pas ton temps, trouve une autre personne. Je ne sortirai pas avec un de mes hommes, après tout je suis le chef de la mafia. Ça ne doit pas être de l'amour mais un sentiment, sa passera. Pour moi les amis sa n'existe pas ,ils sont les premiers à planter le couteau dans mon dos! L'amour ? Encore moins , pour moi l'amour c'est un grand trou noir , un piège ... Une fois que tes amoureuse tu pleures chaque nuits , il te fait souffrir et toi tu dis rien ! Pourquoi ? Parce que tu l'aimes ! Mais moi je veut pas tomber amoureuse encore moins de toi...

il s'éloigna et souffla fort, il se retourne et donne un coup de poing dans le miroir. Sa main en sang, je le regarda puis sorti dans la chambre mais avant de partir, je me retourna pas et dis.

Moi : oublie le sentiment, pas de sentiments dans la mafia. Oublie pas que je suis ton chef, la prochaine fois sa sera la mort garantie.

Et sortit, arriver dans ma chambre, je ferme à clé saute dans on lit et pleure. Calme toi Silem pas de sentiment dans la mafia encore moins pour toi car tu es leur exemple leur chef. Leur chef à 16 ans....


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant