~~*Tu connais trop de meuf c'est tout ce qui me gêne*~~

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~~~*Number 33*~~~

Je me réveilla en sursaut, je suais et j'avais hyper mal à la tête. J'ai eu des sortes de flash back, j'étais dans une sorte de chantier, entourer des hommes, j'ai reconnu Farés et moussa. Mais j'étais à mon physique d'avant. Les gens parlais mais je n'entendais pas tout étais bizarre. Je sens quelque chose ce remuez à coté de moi, je recule et tombe, la silhouette bouge, allume la lumière et laisse apparaît Farés torse nue. Je le regarda puis me levit.

Moi : mais tu fais quoi la ?

Lui (en se grattant les yeux) : bah je dors sa se voit pas.

Moi : oui mais sort wesh c'est mon lit.

Il s'arrêta dans son grattage des yeux, et commence à rigoler. Ses tablettes bouger, son corps muscler alalaa, sa meuf elle dois grave être content.

Lui : ton lit ou mon lit ? T'est dans ma chambre.

Je ne comprenais rien et me souviens que j'avais rentrer dans une chambre la nuit derrière et m'étais endormis. Je ne dis rien et m'excusa, je me dirige vers la sortie mais je sens qu'on me tient par le poignet, j'ai eu des frissons c'était étrange, je me retourne et vois Farés me regarder avec ses yeux à se perdre dedans. Il avanca vers moi je reculais en restant toujours fixer, le mur m'en empecha, et je baisse la tête, j'avais honte mais de quoi. Il me prends par la mâchoire et me fixa, puis ses yeux s'arreta sur ma cicatrice à mon front, il respirer fort et serra sa main sur ma mâchoire, je pousse un cri et il desserre sa main.

Lui : tu sais même pas à quel point je me retient pour pas aller le retuer ce...

Il se retenais, je ne dis rien j'étais hypnotisé par ses yeux, ses yeux me dis quelque chose mais rien en vue. Il commence à reprocher sa tête vers moi, je ne bougais pas. Il avais peur de ma réaction, il avais raison je l'arret avec ma main sur son torse, j'ai sentis des frissons lui parcourir son corps mais je ne sais pas pourquoi. Qui est il vraiment ?

Moi : je suis désolé...

Il ne dis rien et prends ma main qui est sur son torse, et depose un bisou sur le dos de ma main.

Lui : J'espère que tu vas t'en souvenir avant qu'il soit trop tard.

Je fronce les sourcils, et le regarda pour qu'il continue mais il ne fis pas. Il pars se recoucher mais avant il me dis : c'est la porte a droite au bout du couloir.

Ok il ma gerter de sa chambre, c'est un peu normal aussi, je m'incruste oklm dans sa chambre et dors, je souffle et sors de la chambre on le regardant une dernière fois, qu'est ce qu'il a voulu dire. Je pars et rentre dans ma chambre, je ne trouve pas de sommeil, et pars me doucher. Je sors et m'habille d'un short en jean et un débardeur blanc. Je fais queue de cheval, et vois qu'il est deja 6h du matin. Je décide de visiter la villa. Alors 3 étage en total. Ma chambre elle est situer à la deuxième, la troisième c'est des bureaux en quelque sorte. La première il y a la chambre à moussa et Ketty, vue qu'ils sont ensemble, et a la deuxième moi et Farés. En bas c'est cuisine, salon, et tous ce qu'il va avec. Et en bas, il y a des salles de sport, des caves et je n'imagine même pas de ce qu'on fais dedans. Je remonte les escaliers, et je tombe sur moussa qui est assis avec Ketty entrain de regarder une émission à la télé, Ketty se lève direct, et moussa aussi.

Ketty : madame le déjeuner est prêt.

Je hoche la tête, et je vois qu'il est deja 8h00 est bah didonc 2 heures pour visiter.

Moussa : comment vas tu chef ?

Moi : je vais bien moussa et toi ?

Lui : je vais bien, ta mal quelque part ?

Moi : non sa vas aller ne t'inquiète pas.

On se dirige vers la table de déjeuner, je vois plusieurs appératifs, boissons, croissants. Je souris et remercie Ketty.

Moi : Ketty Farés n'est pas encore lever ?

.... : Je ne suis pas une dormeuse comme certaine.

Je me retourne et vois Farés descendre les escaliers, jean, tshirt. Il me relooke de tête en pieds, et fronce les sourcils, je suis son regards, mais ne comprends pas pourquoi il est énerver.

Lui : tu penses pas que t'est un peu en découverte.

Moi : tu penses pas que je fais ce que je veut.

Il s'approche dangereusement de moi, mais moussa le retient, c'est un psychopathe le gars.

Lui : Silem écoute moi, tu vas t'habiller et ne me casses pas les couilles.

Moi : mais t'est qui pour moi sérieux ?

Lui : tu veut que je te montre qui je suis.

Il se débattais mais moussa l'arrete.

Mouss : kho laisse la elle se souvient de rien.

Lui : souvenir ou pas moussa, ma femme ne dois pas s'habiller ainsi point.

Il a dis ma femme ? Je souris mais me reprends vite.

Moi : déjà premièrement je ne suis pas ta femme, deuxièmement si je me serai rappeler je ne serais pas la, troisièmement j'ai faim donc si tu veut bien te calmer j'aimerai manger.

Ils me regardent puis rigolent, okok je me fais passer pour une conne. Farès me lance un regards de travers je lui rends biensur puis on s'installe.

Ketty : vous allez faire quoi aujourd'hui madame ?

Moi : je ne sais pas, j'irais dehors je pense.

Farès rigole, et me montre du doigt plutôt mon corps à moussa, et il s'arret net, il fais peur.

Lui : elle a crue qu'elle allais sortir dehors ainsi mddr elle est marrante.

Moi : bah tu veut que je sort devant toi pour que tu vois si je sors ou pas ?

Il me regarda, puis souris.

Lui : tu me défis ?

Moi : j'aime te défier.

Il souris.

Moussa : J'épouserai la femme qui me dira "Met Bein Sport, bébé y'a le match"

Ont se retourne vers lui, il étais tellement sérieux, et il sors sa comme sa, on rigole.

Ketty : J'aime pas les matchs donc faudrait que tu choisisse.

Moussa : Vous les filles je ne comprends pas comment vous ne pouvez pas aimez ceci.

Moi : Oh moussa, on va se calmer Mdr, c'est comme si ont vous forcer à aimer le shopping.

Farés : oh non pas le shopping je déteste sa.

Moi : donc on ne dois pas forcer quelqu'un a aimer quelque chose.

Il me regards intensement puis continue à manger, ont fait ainsi.

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Moi : On n'oublie jamais une rencontre qui nous à changer la vie.

Sarah : Je suis contente que tu ne ma pas oublier.

Assis devant la falaise, où je viens pour me changer les idées ou aider à réfléchir. J'ai appris que j'avais mon permis, donc je me suis en quelque sorte enfui, en cherchant Sarah pour parler.

Moi : Je pense que c'est le destin, il veut que j'oublise des choses pour mon bien.

Elle : peut être que le destin veut que tu réfléchisse a ta vie.

Moi : ma vie ? Je suis dans le hram, je suis chef , et je ne sais même pas par moi même.

Elle m'encercle de ses bras, je pose ma tête sur son épaule, face à la vue.

Elle : tous a une explication Silem il suffit juste d'attendre.

Je ne dis rien et admire la vue.

Moi : je vais mal...

Elle : Les guerrières sa pleure en cachette, sa tombe mais sa se relève, sa dit jamais "je vais mal" sa garde toujours un sourire afficher sur son visage.

Je sourie a travers mes larmes.

Elle : voilà ma Silem c'est sa.

Moi : On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu.

Elle : Et c'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir.

Moi : et tu penses que mon chemin me mène dans le bien.

Elle me regarde puis hausse les épaule, avant de lâcher un « peut etre ».

Et c'est ce genre de peut être qui se répétera dans ta vie...


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant