<<Après tout t'es peut-être l'histoire de dingues que j'attends>>

51 4 0
                                    


~~~*Number 30*~~~

Moi : pardon ?

Il s'approche encore plus, et rentre dans la salle de bain, il ferme la porte en me regardant dans les yeux, il s'approche je recule.

Lui : on a l'habitude de prendre en même temps notre douche tu te souviens de rien ?

Je hoche la tête de droite a gauche en signe de non. Il rigole et s'approche, il tends sa main, je recule et paf le mur m'empêche, il rigole encore plus, et approche sa main, je ferme les yeux. J'ai peur....

Lui : T'est à moi, tu m'appartient...

*************Flash Back**************

Je le sens rapprocher lentement comme si il avais peur que je fasse quelque chose. Puis son souffle près de mon cou, pas la peine de comprendre qu'est ce qu'il se passe, je sens ses lèvres sur mon cou se poser délicatement dur ma peau, il étais de telle douceur qui me fut choquer, y'a même pas quelques minutes, il étais énerver et là c'est devenue un lapin, je ne sais pas pourquoi un lapin -–'.

Lui (froidement) : ne me repousse pas la prochaine fois, je vois que tu oublie que t'est à moi maintenant.

***********Fin du flash Back***************

J'ouvre les yeux, c'était qui, il avais les yeux bleu, barbe, et je pense l'avoir vue quelques part mais je ne sais pas, putain qui est il ?

Je sens une froideur sur mon épaule, je reviens à la réalité et vois Paul me tenir par la bretelle de mon débardeur, je le regards pendant que son mono sourcil (l'union fait la force) me regards avec son regards qui insiste, je me dégage et recouvre mes épaules avec mes bras, il me regards.

Moi : pars !

Il ne dis rien et pars. Je me précipite pour fermer la porte, et me glisse le long de cette porte et pleure. Je ramène mes jambes vers moi et me cache dans celle ci.

J'ai l'impression qu'être une fille vient avec un tas de termes et conditions pour lesquelles j'ai pas signé. Les garçons ont plus tendance a cacher leurs sentiments que nous. Nous, on pleure, on rit, on a des tas d'émotions qu'on montre contraire aux garçons.

Je ne sais pas comment je suis en arriver la, je ne sais pas pourquoi j'ai cette tatouage sur mon bras, je ne sais pas, je ne sais rien. Je jette ma tête en arrière et frappe plusieurs fois, on me répétant : « Souvient toi bordel », la douleur fait surface et j'arrête et fixe le placards situer sur le lavabo, je me lève et commence à chercher du dissolvant, ou de l'alcool tous pour effacer cette chose sur mon bras, je jette tous parterre et trouve du dissolvant, on toque 3 fois sur la porte.

... : Marie tout vas bien ?!

Moi (en panique) : oui je vais bien chérie.

Dites moi pas que j'ai dis chérie, je paris que ce con rigole derrière la porte, j'attends 5 minutes pour pas que Paul entre ou entende. Puis, je prends une serviette, verse le dissolvant et frotte mon bras, ça me pique mais je continue a frotter, sa devient rouge mais je continue, je vois des gouttes tomber sur mon bras, mais le tatouage pars pas. Je crie de rage et jette la serviette loins de moi, et je me laisse tomber par terre. Je saigner du bras, mais sa me fessait pas mal.

Moi : Putain je vais faire quoi maintenant ?

Je me lève et prends le bandage situer près des rasoirs, je reste à les fixer, et si je partais de ce monde ? Je secoue la tête pour éloigner les mauvais esprits et m'enroule le bandage autour de mon avant bras en cachant mon tatouage le plus possible. J'enlève aussi mon masque grâce a des ciseaux et décide de me doucher.

Je vais juste sourire comme si tout allait bien, que tout est parfait...

▼ ◄▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲

Camille : Marie ?

Je lève ma tête de mon assiette qui d'ailleurs j'ai rien manger. Je suis en face de Paul et de chaque coté maxime et Camille.

Moi : Oui ?

Elle : Ta fais quoi a ton bras ?

Je fixe mon bras ,et vois tous le monde le regarder, Paul avais les sourcils froncer.

Moi : je me suis cogner contre le lavabo et j'ai eu mal.

Elle hoche la tête puis continue de manger ses haricots. Paul me fixe et je fis pareil, il continue de manger. Camille étais redevenue normal mais elle fuyez son père, je continue de jouer avec mes haricots. Je met ma fourchette et ma cuillère dans mon assiette et me lève tout en ramassant mon assiette.

Paul : tu vas où ?

Moi : Je vais en Angleterre changer d'air.

Je vois les enfants rigoler mais Paul les regardent mal et ils se taisent. Connards de mec.
Je souffle et ramène mon assiette dans la cuisine, le dépose dans l'évier et me retourne. Je traîne des pieds avec mon jogging noir qui m'alla grand, avec un sweat gris grands, et m'assois sur le canapé. Quelques minutes plus tard, je vois maxime venir et il hésiter a s'asseoir a cote de moi, je sourie et lui ouvrit mes bras, il cours et se jette dedans avec le sourire, je l'encercla dans mes bras, et déposa un bisou sur ses cheveux.

Moi : tu vas bien ?

Lui : oui merci.

Camille nous rejoint pendant que Paul sors dont je m'en bas les c**** . Camille demande a maxime de se déplacer et se place a sa place. Elle commence à pleurer, je demande a maxime d'aller ranger sa chambre, il le fis sans me contredire, j'attends qu'il monte par les escaliers, et entent la porte de sa chambre claquer. Je fais face Camille et le regards interrogatoire.

Moi : il ta fais quoi ?

Elle : Rien...

Moi : tu me prends pour une conne Camille il ta fais quoi ?

Elle (en pleure) : il m'a.....

Moi : c'est bon calme toi tu me diras plus tard maintenant dors.

Elle se calma puis je la serra fort et nous restions comme sa jusqu'à s'endormir.

▼ ◄▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲ ► ▼ ◄ ▲

Je me réveille en sursaut en ne pas sentant camille, je lève ma tête et vois Paul en face de moi avec une arme entrain de regarder par la fenêtre paniquer. Je me lève et il se retourne.

Paul : calme toi ma chérie.

Moi : il se passe quoi ?

Paul : ils sont venus.

Moi : qui ?

Il ne réponds pas et je vais a coter de lui pour voir une voiture de policier vérifier aux alentours puis pars. Il souffle puis après s'asseoir, moi je monte les étages et cherches les enfants, j'avance puis j'entends des coup dans la porte, j'essaye d'ouvrir et lui réussi et vois les enfants m'encercler.

Moi : si vous savez besoin de quelque chose je suis dans ma chambre.

Ils partent, je vais dans la chambre, ferme a clé, puis me prend un débardeur, et un jogging et vas me doucher.

... : Marie ouvre la porte.

J'entends maxime pleurer, je m'encercle dans une serviette et vois maxime en pleure, il étais paniquer. Je me dépêche de m'habiller pendant que Maxime était dans la chambre. Enfin fini, je vais vers maxime, au moment que j'allais la demander qu'est ce qui se passe, en entends des choses se casser, des bruits de fille qui crie en demandant d'arrêter, sa venez de la chambre d'en haut. Je cours hors de la chambre et monte en haut. Et vois le pire des choses que j'ai jamais vue, Paul étais entrain de violer Camille. Il étais entrain de le déshabiller mais Camille bouger, sans réfléchir je cours vers Paul et essaye de l'empêcher il me prends et me jette hors de la chambre, Camille pleurer ainsi maxime pas le temps que Paul ferme la chambre à clé, il étais dedans, je me lève et tape fort en suppliant d'arrêter, maxime fessais pareille mais rien, je taper et pleurer, j'entendais Camille puis plus rien, j'avais mes poings qui saigner mais rien, il a oser la violer, sa propre fille....

La maltraitance infantile est très fréquente: on pense souvent que c'est un phénomène rare mais c'est un phénomène de masse. Les études internationales montrent que 10% des enfants sont victimes de maltraitance infantile. Et parmi ces 10%, nos travaux montrent que 90% des cas ne sont pas signalés, on passe à côté. C'est le drame de l'ombre. Il y a par exemple 30 cas d'incestes signalés par jour quand on estime la réalité à 300 cas par jour. Il y a dix fois plus de cas de troubles alimentaires chez ces enfants devenus adultes, trois fois plus de toxicomanes, deux fois plus de dépendants à l'alcool, six fois plus qui présentent des pulsions suicidaires et quatre fois plus qui font des dépressions sévères.

Un adulte s'engage dans des activités sexuelles avec un enfant, avec ou sans son consentement. Les cas de maltraitance sexuelle restent nombreux : une enquête menée par l'Inserm et l'Ined en 2006 montraient que 8,8% des femmes et 2,8% des hommes déclarent avoir subi une tentative de rapport sexuel ou un rapport sexuel forcé avant 18 ans.

Nous devons agir contre cela, nous, hamdoullah on a pas eu ces cas et les autres? mettez vous à leurs places, comment vous sentiriez vous?


&quot;Bienvenue à l'enfer&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant