~~~~~*Et un jour on se rend compte que quelque chose a changé.*~~~~~

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~~~*Number 17*~~~

Il rigole puis s'arrête net en fixant derrière moi, son visage se décompose et laisse apparaître de la haine, je me retourne et vois Pédro (eh non ce n'est pas Ketty).

Je me lève en fixant Pédro, et me dirige vers lui, mais pas le temps que moussa se lève et fonce vers Pédro, le prends par le col et le plaque au mur, je pousse un cri de surpris, les sourcils mâchoire contracter moussa le regards fermement, Pédro essaye de pousser moussa puis abandonne comme si tout étais sa faute.

Moi : Moussa lâche le.

Moussa : dis moi t'est content, ta bien abuser d'elle ?

Pédro : C'était une prostituée c'est moi qui l'est sortit de la.

Moussa lâche puis crache aux pieds de Pédro, Pédro se lève et ajuste sa chemise.

Moi : moussa va te reposer je vais m 'occuper de Pédro.

Moussa : oui occupe toi de lui, va le mettre dans ton lit.

Je regards moussa et le gifle, il relève sa tête et rit. Il est posséder Starfoullah. Farés rentre et nous regards choquer attendant une réponse.

Lui : bravo tu ma gifler, tout sa c'est à cause de toi, pour ce zmell (Pédro) tu as détruit mes rêves.

Moi : ah ouai tes rêves avec une personne qui te dit pas la vérité, avec elle, elle nous a trahis.

Lui (en baissant la tête) : je l'accepte comme elle est, si il faut que je tue ou blesse les gens je le ferai pour elle, même si je dois le faire à toi.

Ce sont les gens qui tuent,et non les armes...

Moi : je vais pas prendre en compte ce que tu viens de me dire par cause que tu vas pas bien mais je te promet que moussa ne me parle pas et je te pardonnera pas.

Et je quitte la chambre à moitié entrain de courir, Pédro m'appelle mais pas grave je m'enferme dans ma chambre ferme à clé, et me jette sur mon lit, et pleure silencieusement..

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Pédro : tu sais il vas pas bien c'est due a sa qu'il est comme sa.

Moi assis sur l'herbe, accompagner de Pédro, je regards la piscine vide, vue que c'est presque l'hiver.

Moi : c'est toujours dans ses moments qu'on dit la vérité.

Lui : tu connais moussa il est pas capable de te dire ceci, attends quelques jours ma bomba et tout s'arrangera...

Il me pris dans ses bras, j'ai besoin de réconfort, et me retient de ne pas pleurer. Quand il m'a pris dans ses bras j'ai pensé à toi. Oui je sais, c'est complètement stupide mais j'ai pensé à toi...

Il se déserre, et approche sa tête et m'embrasse en me tenant par la nuque, je reste sans bouger et le laisse faire, je ne réponds pas, bouge pas, je me ressaisis et me recule de lui, et continue à regarder en face, lui, il étais neutre, heureux que je ne lai pas repousser, triste car je n'ai pas répondue...

Lui : Merci..

Moi (toujours en fixant en face de moi) : De quoi ?

Lui : ta tenue ta promesse de Caliente.

Moi : je fais ce que je t'ai promis Pédro pas plus.

Lui : oui mais moussa..

Moi (en le coupant) : arrêtons de parler de sa s'il te plait.

Je me lève pour rentrer, me tourne et le vois, les sourcils froncés, la haine dans ses yeux, il regards Pédro puis moi, et pars sans rien dire, je fais mon possible pour t'oublier Farés, mais je crois que je serai pas la gagnante contre ce jeu d'oublie...

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Moi : on ma dit que t'allais pas bien ta quoi ?

Sarah : rien juste un rhume..

Moi : t'est sure ?

Elle : oui ne t'inquiète pas.

PAM PAM...

Moi : ALLO SARAH..

Plus de bruit, je me lève en sursaut, moussa et Farés me regards choquer, je me précipite vers la sortie.

Farés : il se passe quoi ?

Moi : Sarah à quelque chose j'ai entendu des bruits de tir.

Moussa : on t'accompagne..

Je me tourne vers lui, et ris nerveux.

Moi : Si ça ne sera pas trop demander monsieur moussa mais j'aimerai mourir en paix.

Et claque la porte aux nez, prends ma voiture et direction chez elle, je portez une slim noir avec un pull blanc, mon masque pour pas oublier, mon arme étais... ZUT ! Je l'ai oublier sur ma table de chevet ainsi mon portable, comme je suis une intelligente –' .

Je rouler dans une route déserte j'avais encore 15 minutes de route à faire pour aller dans le parc où se trouver Sarah, elle m'avais dit qu'elle allais chez une amie. Je rouler tranquille et là on fais des appelle de phares derrière, je regards je connais pas mais ça me dis quelque chose..

Il fonce sur moi, fais des dérapages, me dépasse et s'arrête sec devant moi, plusieurs hommes sort de la voiture cagouler, je sors et pas le temps que je parle ils se précipitent et me mettent le produit puis Trou NOIR

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Les gens ne remarquent jamais ce que l'on fait pour eux, par contre ce que l'on ne fait pas ne leur échappent jamais...

... : eh réveille toi la Bomba !

J'ouvre les yeux et regards autour de moi, la première chose c'est de regarder si mon masque est là, il y est ouf..

... : ne t'inquiète pas ils ont pas toucher je les ai empêcher.

J'essaye de voir la personne mais c'est impossible à cause du noir, mais je reconnais cette endroit, c'est une cave, où ont tappent, tuent les gens. Je me cale sur le mur mes jambes sur moi, puis une lumière sous la porte reflet un peu le visage de la personne.

C'est pas possible c'est elle, elle est en face de moi,ma sœur, ma confidence, Sarah...

Je ne bouge pas, la regarde les yeux remplis, et regarde son poignet où y'a notre bracelet, elle le porte, moi aussi, je cache en discret mon poignet avec mon pull faut pas qu'elle me reconnaisse. Elle avais maigri, elle avais une robe noir long, cheveux détacher, elle déteste les attacher, elle avais mis son legging sous sa robe, elle me regarde avec ses yeux sociable je veut la sourire mais je peut pas.

Elle : c'est donc toi la bomba, le sans cœur, l'ange gardien a tous le monde...

Moi : Vous connaissez mon nom, mais pas mon histoire. Vous avez entendu parler de ce que j'ai fait, mais pas de ce que j'ai vécu. Vous savez où je suis, mais pas d'où je viens. Arrêtez de me juger. Connaître mon nom, ce n'est pas me connaître.

Elle : je pense qu'il faut connaître toi, sans ton masque.

Moi : ça me donne un air sexy mdrrrrr.

Elle rigole, son sourire m'avais manquer à cette keh mdrrr. Je rigole avec elle. Elle s'arrête et fixe mon collier les yeux remplis, le collier que ma mère m'avais donner, le pierre bleu avec des diamants autours.

Elle : Tu..tu la eu où ton collier ?

Moi : c'est un cadeau de ma mère pourquoi ?

Elle lâche quelques larmes puis sèche ses larmes, et sourit, elle ne montre pas trop ses sentiments...

Elle : suis désolé, c'est qu'une amie que je n'ai pas vue avait le même.

Tes vrais amis verront toujours quand ça ne va pas, ils verront quand tu perds le contrôle des choses et même quand tu es au plus bas.

Si tu savais que c'est moi...

Elle : quoi ?

Moi : rien, j'avais aimer du coup ma mère me la offerte.

Elle : ah oui avant d'oublier je te remercie pour ce que tu nous a fait.

Moi : qu'est ce que j'ai fait encore Mdr.

Elle : pour avoir payer nos dettes à ma famille et les virements mais pourquoi tu fais cela ?

Moi : si je te dis que une amie ma raconter vos histoires !

Elle : qui sa ?

Moi : Je ne sais pas mais sache que ce que je fais pour vous viens de là (on montrant mon cœur).

Elle : mais pourquoi ? Qui es tu ?

Moi : je suis la Bomba, je suis la plus thug tu sais pas de quoi j'suis capable, dit à toute t'es copines que j'suis la plus redoutable!!

Elle allais parler, mais la porte s'ouvre direct je me lève, Sarah, elle reste assis, et deviner qui est qui est en face de moi ?

Vous pouvez pas devinez ?

Mais si vous pouvez...

C'est Albert chef de la Nazismio de L'allemagne (voir partie 6).

(Petite description : gros et chauve, il est petit de taille, âgé entre 50 et 60 ans).

Il rentre avec son cigare et son costumes à rayure, tout pourris, il me sourit biensur je le rends, Sarah nous regards effrayer.

Lui : Eine Schönheit wie sie, wie zu verhindern, sie nicht zu missbrauchen?
(Une beauté comme elle, comment s'empêcher de ne pas abuser d'elle?).

Moi (amusé) : j'aurai du apprendre allemande, je ne comprends pas là Albert.

Lui : La Bomba ne pas comprendre allemands, dommage.

Moi : désolé pépé mais je n'apprends pas la langue barbare.

Lui : hmm pépé, je trouve sa sexy.

Je souffle, et me dirige vers la sortie en passant à coté de lui pour sortir, bah oui je vais pas rester là –'. Un de ses gars m'attrape le bras , et me pousse dans la cave, je le regards mal, albert fais signe a ses hommes vers Sarah, je me place entre eux.

Moi : pourquoi avoir kidnapper cette pauvre fille alberto, sa te dérange pas que je te dise alberto ?

Lui : j'ai une hobi de kidnapper les filles musulmans pour abuser d'eux.

Moi : pourquoi les musulmans ? Va kidnapper d'autres filles.

Lui (amusé) : on sais tous que les filles musulmans se préserve pour leurs maris, il faudrait les défleurer ma bomba.

Je serre mes poings, et essaye de me calmer, faut les tuer ce genre de personne.

Moi : ok lâche la !

Lui : elle compte autant pour toi ?

Moi : je la connais pas, c'est juste comment te dire cette fille est porteuse de sida !

Tous le monde me regardent choquer, Sarah pleurer, je me tourne vers elle, et fais un clin d'oeil. Elle me regards puis se reconvertie en elle.

Lui : Nehmen Sie es, wo Sie es gefunden, aber bevor dann mit dem Verlust des Gedächtnisses heute stechen!
(Emmener la où vous avez trouvé, mais avant piquez là avec la perte de mémoire d'aujourd'hui! )

Je les regarder comme une élève qui n'a rien compris a ses leçons Mdr, ils s'approchent de Sarah, je me met encore une fois entre eux. Ils regardent albert.

Albert : Ne t'inquiète pas ta ma parole qu'on va rien faire l'emmener où ont la trouver.

Je hoche la tête, et fais signe à Sarah, elle proteste, je tient par ses épaules, et le regards dans ses yeux.

Moi : Ne t'inquiète pas ils vont te rien faire.

Puis ils l'emmènent, je reste en plein milieu de la cave avec albert et quelques hommes, il me sourit très méchamment Mdr. Je le regards aucun émotions, un de ses hommes ramène une chaise, de torture ? Deux hommes s'approche, et me tiennent je me débats mais rien, je me sens faible. Ils m'attachent le poignet, enlève plutôt déchire mon pull, heureusement que j'avais mis un débardeur. Albert rigole, puis s'approche de mon visage, un homme rentre avec des instruments de torture, il est sérieux, il va taper une meuf. A vrai dire.....je flipper.

Albert : Je pense il est temps de souffrir la bomba.

Moi : tu t'attaques aux filles maintenant miskine.

Lui : j'ai une seule raison de attaquer toi.

Moi : je t'en prie alberto dis moi ce raison.

Lui : ta mafia s'agrandit, vous devez puissant.

Ta réussite posera toujours des problèmes aux autres quoi que tu fasses. Minimise toujours ce que tu possèdes, car personne n'a vraiment d'intérêt à ce que tu réussisses sans faire profit derrière. Sois discret, car la clé du succès est le secret. Aujourd'hui tu es sûrement la haine d'un immense nuage d'ennemis. Mais lorsque qu'on te trahis ou te blesse ne te sent pas triste, car les guêpes piquent toujours les plus belles fleurs...

Moi : eh coco on travaille...

Paf gifle venant, de lui, je relève la tête et le sourit. Il s'énerve plus et se dirige vers la table se trouvent des choses pas trop beau, il sourit on voyant un objet, je plie la tête et vois le fer. Ok ok –' .

Il s'approche de moi on caresse le fer, je le sens pas du tout. Et premier coup dans le ventre, je me serre les dents, sa ma niquer. Puis il enchaine, mes bras, mes jambes,et je me lâche, et crie, sa me brûler, lui rigoles à chaque coups. Il arrête, je sens plus rien, pas mon corps comme si j'étais pas présente dans ce cave. Mes yeux se ferme petit à petit, je pense que je pars mais le pire je pense à lui...


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant