~~~~~*La belle se transforme à la bête*~~~~~

80 4 0
                                    

~~~*Number Ten*~~~

Il me relève et me look avec une sourire. Je vais pas m'énerver.....

Lui : Non mais j'aimerai bien que tu me racontes.

Tient j'ai une idée...

Moi (en lui chuchotant) : Je connais cette banque il y a plusieurs chambres, et si tu veut...

Je soulève un tout petit peu ma robe en lui fixant, il le regards les yeux ouvert, il bave –'
Il hoche la tête, me fais monter les escaliers, arriver il me pousse dans une salle de réunion, c'était sombre. Pas le temps de me rendre compte, le gars me plaque au mur et m'embrasse le cou, et ne s'empêche pas de descendre vers ma poitrine mais je l'arrête. Je le laisse faire es bisous dans mon cou, qui d'ailleurs me dégoûte, pour récupérer son arme qui est accrocher en niveau de son genoux. Je l'arrête, il a voulu m'embrasser mais je tourne la tête. Il commence à enlever son gilet noir. Je l'arrête.

Moi : on vas pas se précipiter, écoute moi, fais moi un câlin.

Lui : pourquoi donc ?

Moi : j'ai remarquer une ficelle dans ton dos, sûrement quelque chose à avoir avec ton gilet. Si tu veut je te le défais.

Il hoche la tête, et me fais un câlin. J'enlève le ficelle, et descends ma main vers son genoux, lui il rigoler et embrasser juste mon épaule. Je tient enfin son arme, enlève avec une seule main le charge. Et jette son arme vers le canapé, il remarque rien. Je sourit.

Moi (en lui chuchotant) : j'ai pas encore fini mais je vais te raconter l'histoire du canard et des poussins...

Il hoche la tête et arrête d'embrasser, enfin... Il s'assoie sur un canapé et me regards, je me force et vas sur ses genoux, il me regards dans les yeux.

Lui : ton masque me donne plus envie de me te faire ma bomba...

Attention l'histoire du canard et des poussins n'existes pas, sa vas être inventer par moi....

Moi : C'est l'histoire d'un canard vert qui voulait devenir un poussin, il voyager partout mais ne trouva pas des poussins, un jour le canard pris en otages des poules et força à faire des poussins....

Lui : hummm intéressant ce canard, il aurait du les violer un par un.

Je pense que je vais vomir, je rigola en me forçant, tu verras qui te violerai petit con.

Moi : exactement, mais aucun poules se laisser faire, entre ses poules il y avais un poussin, une femelle, elle à perdu ses parents à sa naissance, et elle se transforma en jaki chang poussin....

Lui : Jaki quoi ?

Moi : chang ! En karaté poussin si tu préfère.

Lui (intéresser) : Il se passa quoi après ?

Je me lève et me place devant lui.

Moi : elle fut son geste défensive et chinises.

Lui : c'est quoi son geste chinises ?

Je sors mon arme, le place entre ses yeux et je tira. Je l'ai pas tuer car mon arme c'était plutôt une arme endormissent, il ne fais pas de bruit, mais ce qui est bien pour moi c'est que sa le blesse, il a peu de sang qui tombe mais bon il ne lui arrivera rien. Direct le gars s'endort. Je change l'endormissement par des vrai balle, et descends les escaliers pour sauver les autres, faut que je pense à un plan et vite.

Sayez j'ai trouver, je me penche pour voir les braqueurs, aucun qui regardent les otages, si y'en a un, les autres sont de dos, je me colle au mur, et fais des geste au braqueur, je me mords la lèvre, le braqueur me regards, je fais chut du doigt, il exécute, il s'approche. Arriver derrière le mur, loin des autres je donne un coup dans le cou du braqueur il tombe. Il en reste plus que 10 à l'intérieur, les autres sont partis. J'avance à un pas de loup vers les otages, ils se lèvent en discret, et je l'ai fais sortir par la porte de derrière. Je les laisses partir, je vais pas m'enfuir mais leur montrer de quoi je suis capable. Je me place derrière les braqueurs qui eux sont faces de la porte donnant devant l'entrée de la banque.

Un des braqueurs : Chef ce sont pas notre otages là-bas ?

Sois disant chef : MERDE QUI LES A SAUVER.

Moi : MOI À VOTRE SERVICE MONSIEURS.

Ils se retournent tous vers moi et placent leurs armes vers moi, je fis pareille mais vers le chef. Je les souris, je vois dehors mes hommes, et les autres entrain de me fixer, leurs armes en main, les portes ouvertes. Tous le monde entends ce que nous allons dire.

Sois disant chef : excellente geste ma beauter.

Moi : je te remercie ce n'étais pas si difficile que sa, après tout j'ai eu affaires à des animaux.

Sois disant chef (énerver) : animaux ? Et si je tire sur toi il se passerai quoi ?

Farés : tu ne vécurera pas une minute de plus.

Sois disant chef : tes hommes sont fidèles à toi à ce que je vois. Surtout je viens de me rendre compte que vous les femmes, ou plutôt toi ta réussis à maîtriser mes hommes par ton magnifique corps.

Moi (rire nerveux) : eh oui mon poto faut sortir le jeu, et qui résistera face à cela ? Bon maintenant baisser les armes tu vois bien que vous êtes encercler. Comme on le dit souvent game over, le jeu est terminer.

Sois disant chef : Je ne baisse pas les bras si facilement, et toi non plus, surtout devenir chef à cette âge là.

Moi : ta raison je ne baisse pas les bras facilement et je ne le ferai pas.

Mr. Spencer : BAISSEZ VOS ARMES. AU NOM DE LA LOI JE VOUS ARRÊTES.

Sois disant chef (rire) : Vous parlez de la loi ? Alala ces justiciers me font toujours rigoler avec leur phrase.

Gémis un petit rire mais me reprends vite. Je dégage mes cheveux vers arrière, et vois Pédro me regarder inquiet, pourquoi est-il ici ? Il me fixa mais je l'évite je n'ai pas oublier ce qu'il à voulu faire. Je dirige mon regards vers Moussa et fais une signe comme quoi ils doivent s'approcher discrètement de derrière. Ils exécutent, vite faut que je trouve un moyen empêcher les braqueurs de se retourner.

Moi : Vous les Renégats c'est quoi votre but ?

Sois disant chef (son visage se décompose) : comment sais tu que nous sommes les Renégats ?

Moi : Votre écharpe.

Sois disant chef : Tu est intelligente, la Bomba....

Moi : Je te remercie (je vois que les hommes sont derrière) Mais pas vous en tous cas, surtout 10 personnes n'ai pas remarquer ceci.

Sois disant chef : De quoi ?

Pas le temps que mes hommes tape fort aux braqueurs, les policiers cours, les personnes applaudissent, mes hommes s'approchent de moi et me demande si je vais bien, je les rassure.

Mr. Spencer : Je ferai le reste vous pouvez partir.

Mes hommes autour on se dirige vers la voiture, les journalistes essayent de m'interroger.

Un des journalistes : La bomba veuillez nous dire quelque chose..

Moi : Vous voulez une phrase contre cette vie. N'oubliez pas ma phrase : Le bonheur n'existe pas c'est le malheur qui fait une pause... !.

Je monte dans la voiture et direction la villa.

***************

Farés : La prochaine fois ne fais pas des folies ainsi.

Farés fais les 100 pas dans le salon, mes hommes, moi ainsi que Ketty nous sommes assis.

Moi : Tu veut que je fasse quoi je vais bien, donc y'a pas de problème. Et oublie pas qui je suis Farés...

Moussa : C'est bon calme toi Farés elle va bien, elle à réussi a arrêter les braqueurs toute seule alors que les policiers non pas réussi. D'ailleurs comment ta fais ?

Moi : Secret de travail.

Ils rigolent.

Farés : ils ton rien fais j'espère ?

Moi : Comme quoi ? Me violer ?

Ils me regardent surpris, et effrayé.

Moi : Non mais j'allais me faire.

Farés s'approche de moi et me prends dans ses bras, je le repousse, il se prends pour qui ?

Moi : dites moi quand Spencer verserai l'argent dans le compte.

Je me lève et monte dans ma chambre, arriver, je ferme la porte et me déshabille, me dirige vers la salle de bain, et prends une douche. En sortant en peignoir, je vois une lettre sur mon lit. Une grande lettre blanc avec écrit « pour La Bomba », je m'assois, ouvre la lettre et je vois des photos de moi quand j'étais petite, avec mes parents, toute seule. Ses photos étaient dans ma maison mais qu'est ce qu'il fou ici ? Puis je vois un mot : « Tu veut retrouver les tueurs de tes parents n'est ce pas La Bomba? Ou plutôt Silem! Je ne dirai rien à personne mais j'aurai une récompense j'espère, je trouverai les tueurs de tes parents mais en retour je veut toi, attends de mes nouvelles. À bientôt ma bomba ». Je me précipite dans le salon, je m'en fou si je suis juste foutu avec une peignoir long, mes cheveux mouiller. La team et quelques hommes me regardent choquer. Je balance les photos sur la table.

Moi : QUI EST CE QU'IL A RAMENER CETTE LETTRE ?

Ketty : madame il se passe quoi ?

Moi : RÉPONDEZ À MA QUESTION !

Ketty : je sais pas je l'ai trouver devant la porte de la villa quand les hommes sont partis quand vous avez appeler.

Je m'assois et prends ma tête entre mes mains.

Moussa : Silem il se passe quoi ?

Moi (inquiet) : quelqu'un sais qui je suis.

Farés prends les photos et les regards les sourcils froncés. Ainsi les autres font pareilles, je me retient de pleurer, me mords les lèvres, mais ça ne marche pas. Moussa remarque fais sortir les hommes, se précipite pour fermes les volets pour que personne voit que je pleurer. Farés s'approche de moi et me prends dans ses bras, je la laisse faire.

Moussa : je vais trouver cette personne Silem je te promet. Ketty prends la et emmène la s'habiller et laisse la dormir.

Farés m'essuie les larmes.

Farés: arrête de pleurer on va trouver cette mierda je te le promet.

Je hoche la tête, Ketty me fais monter les escaliers mais avant je me retourne vers Farés et Moussa.

Moi : merci.

Et je monte à l'aide de Ketty avec des tas de questions. On va découvrir qui je suis....


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant