On se rend compte de la valeur des chose qu'on est sur le point de les perdre

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~~~*Number 26*~~~

Il hoche la tête, ses hommes sort, ont sort, et ferme la porte, mais avant je sourie a Sarah pour la rassurer, je chuchote...

Moi : je suis désolé...

Et là porte se ferme, Antoine me tenant par le bras pour m'emmener dans sa chambre et abuser de moi...

Mes jambes ne font mal, j'ai ma respiration qui commence a s'accélérer, par peur que je m'enfuie, il me regards de temps en temps, j'essaye d'enlever mon bras sous l'emprise de sa main. Ont monte les escaliers, les yeux surpris, choquer de ses hommes nous suit du regards.

Qui aurai cru que un con qui a vendu sa mafia contre une voiture m'a entre ses mains ? Qui aurais cru qu'un bâtards se croit supérieur à moi la Bomba, chef de la mafia ? Mais surtout, qui aurai cru qu'une fille simple deviendra chef de la mafia ?

Lui : Entre.

Il me pousse dans la chambre, une chambre où le beige et le noir à une influence chic mais sombre. Un lit, une armoire. J'avance le regards neutre même si mes larmes sont prêts a sortir. Faut que je ne montre pas ma peur, il avance en face de moi, avance sa main, et met un mèche de mes cheveux derrière mon oreille tout en me fixant avec ses yeux bleus. Il glisse sa main jusqu'à mon cou, je ferme les yeux on ne pas pensant.

Lui : Je n'aurais jamais cru que te convaincre serai assez facile...

Il continue à descendre sa main, et je sens ses doigts crasseux sur mon épaules, puis il tient la bretelle de mon débardeur et je sens rien il reste comme sa sans bouger, j'ai toujours les yeux fermer.

Lui : je suis différent de lui Silem je suis pas Farés.

Moi (en ouvrant les yeux) : Pourquoi tu me parles de lui ?

Lui : je ne sais pas mais sache que je ne suis pas comme lui, je suis différent.

Moi : Vous les mecs, vous prétendez être différents d'accord, vous nous promettez de belles choses que vous ne tenez pas, alors peut être que oui vous n'êtes pas tous les mêmes mais putain vous vous ressemblez vachement.

Il me regards sans comprendre, puis commence à se rapprocher, non je vais pas me donner à lui, faut que je trouve à moyen de gagner du temps, je m'écarte, il reste figé ne comprenons pas ma réaction.

Lui : Qu'est ce qu'il se passe ?

Moi : sa te dérange pas si je vais au toilette ?

Il souffle et hoche la tête, la salle de bain est comprise dans sa chambre, je rentre et ferme à clé et essaye de trouver une solution ; vite, vite...

... : Silem dépêche je m'impatiente

Il toque à la porte, il me soûle rien arrive dans mon esprit. Je ne sais pas quoi faire, comme si mon cerveau c'est arrêter de marcher, je prie pour que tout sois un rêve que tous ce que je vis soit un cauchemar et que je me réveille. Je tire la chasse d'eau des toilettes et me lave mes mains, aucune signe d'objet pour m'échapper ou pour blesser, rien...

J'ouvre la porte, et je vois OH NON ! Il est sérieux, il est à poil émoticône gasp
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MDDDDDRRRR je rigole. Il avais son caleçon, il étais allonger sur le lit et me regarder avec ses yeux, il se ranger les cheveux, pitié tuer moi. La sans ai trop, je regards autour de moi en cherchant quelques chose, mais rien une idée viens mais je ne sais pas si sa vas marcher, mais faut que je fasse attention Sarah est en bas ils peuvent lui faire du mal à n'importe quel moment.

Moi : Antoine...

Il me regarda comme si j'avais dis quelques chose....importante ?

Moi : sa te dis de rendre l'atmosphère comment dire....plus attirante !

Il me regarda étonné puis souria, clochards tu verras.

Lui (en s'asseyant) : comment sa ?

Moi : as tu déjà regarder le film....

J'hésiter, j'ai jamais regarder des films d'amour, je déteste sa. Vite Silem tr....

Lui : 50 nuances de Grey ?

Moi : Oui voilà.

Alors je ne savais pas ce que sa raconte, où qu'elle type de film il s'agit mais voyant les yeux et le comportement d'antoine c'est pas jolie jolie.

Lui : Il faut que tu sois nue ma Bombaaaa.

Ok le mec devient fou.

Moi : Non !

Il fronce les sourcils vite Silem trouve quelque chose pour le convaincre.

Moi : allonge toi sur le lit.

Il exécute. J'aurais voulu dire tue toi tant qu'il m'écoute non ?

Je m'approche du lit, et vois une menotte, je vais vomir. Je jette le menotte, il me regards, je souffle et monte sur le lit, puis je monte sur lui, se clochard commence à respirer fort. Je glisse ma main sur son bras, il frisonne. Je prends le menotte et le met sur son poigner.

Lui : j'ai envie de toi...

Moi : ne t'inquiètes pas tu te rappellerai de cette nuit et tu voudras de moi tous les jours.

CLIC ! Je venais de lui menotter sur le lit, ce qui veut dire qu'il peut pas bouger son bras, il a de la panique de ses yeux. Je m'approche de son oreille et lui chuchote.

Moi : t'est vraiment un obsédé que tu te fais piéger tous seul.

Lui : OUVRE CETTE MENOTTE TOUT DE SU...

Je le frappe avec la vase, putain j'avais aimer cette vase. Il s'évanouit au moment que je me lève de lui, quelqu'un me ferme ma bouche et m'empêche de bouger, je reste la entrain de fixer en face les yeux grands ouvert, surpris.

... : la prochaine fois que je te vois dans cette position avec un homme je te tue compris ?

Je reconnais cette vois, cette odeur, ce contact me donna des milliers de frisson, c'est lui, il me lâche mais je ne me retourne pas, pourquoi ? Je ne sais pas, a vrai dire. J'entends des pas, des cris, des rires, des actions qui se passe en bas dans les couloirs, sûrement mes hommes de Caliente entrain de vider la villa d'Antoine. Oui il sont là, enfin, et celui qui me tenez étais bien Farés. Je l'entends souffler puis ses pas s 'éloigner. Je me retourne et prends une veste dans le dressing d'Antoine. Quoi ? J'ai froids wesh.

Je me précipite pour allez voir Sarah, à ma grande surprise je le vois assis sur le canapé entrain de fixer en face , je descends les escaliers.

Mes hommes : chef !

Sarah se retourne vers moi, et se précipite dans mes bras, je rends son câlin, je l'entends pleurer et je déteste sa.

Sarah : j'ai crus qu'il allais te ...

Moi : sa vas aller, allez rentrons avant que tes parents vois ton absence. Il vas faire jour.

Il étais 4h du matin, moi coté passager, Sarah derrière avec Ketty. D'ailleurs, que fais Ketty ici ? C'est une domestique et non une Caliente. Farés qui me lance des regards au lieu de se concentrer sur la route. Depuis qu'on a quitter la villa je n'arrive pas a me rétablir, Sarah sais que je suis la bomba, Antoine me veut, j'ai pas parler à Sarah de ma cancer et je ne le ferais pas, elle ne dois pas être triste à cause de moi.

Farés (en chuchotant) : tu penses qu'elle va s'en remettre de cet événements ?

Je me retourne et vois Sarah dormis, elle dois être épuiser.

Moi : je ne sais pas, Elle c'est le blanc et moi le noir.. Elle c'est le Paradis et moi l'enfer..

Il ne dis rien et continue, mais des questions me tourne dans la tête.

Moi : t'as quoi ?

Il se retourne quelques secondes, puis se concentre sur la route.

Lui : de quoi tu parles ?

Moi : ta crise que ta fais la nuit dernière, c'était quoi ?

Lui : rien de grave juste une crise.

Moi : c'est ce que je déteste, que quelqu'un me ment.

Lui (en serrant le volant) : j'ai rien, et endors toi ta l'air fatiguer.

Moi : je vais bien mais j'ai mal la.

Je lui montre mes entre poitrines, puis ma tête, c'est vrai depuis que ma mission avec Antoine, j'ai des douleurs, sa me brûles, on dirais que quelqu'un m'arrache ma peau. Il s'arrête au bords de la route. Je le regards puis il me regards, avec des yeux doux, haineux, coupable.

Lui : pourquoi tu ma pas dit plus tot, le chemin pour l'hôpital est...

Moi (en le coupant) : je vais bien sa doit être ....... le stress voilà.

Il ne dis rien, je vois sa mâchoire contracter, ses poings se serrer et plus serrer sur le volant, j'aime bien la façon dont Farés montre l'importance à quelqu'un, il croit qu'il peut cacher quelque chose, qui dois cacher ses sentiments mais c'est tout le contraire, je sais pas si c'est l'effet de la fatigue mais l'effet de l'ambiance, je me rapproche de lui et fis un bisou sur la joue, il fut surpris, et me regarda sans rien faire, ni parler, pendant que je ferme les yeux, avec la vitre sous ma tête.

Moi : Ta une seule chance pas plus.

Quelques minutes plus tard la voiture démarre, chacun mérite une chance non ?


"Bienvenue à l'enfer"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant