chapitre 8

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Menil : Putain j'avais zapper sa mère


J'décide de ne pas en rajouter et j'continu de manger ma tortilla.

Menil : Crois pas que j'ai mis ca parce que j't'aime bien hein. Au cas ou !

Moi : Au cas ou ?

Menil : Au cas ou tu t'crois courtiser bah vire a gauche

Moi : Tranquille mon Ken j'suis ta p'tite poupée

Juste après j'ai sortit un rire diabolique contre mon gré. Mon rire a pris possession d'mon corps, j'ai rien contrôler à ce moment la. C'est sortit tout seul.

Menil : Ah ouais t'es plutôt comme ca ?

Tout le trajet j'le rendais fouuuu. Lui même il en rigolait par moment mais il se retenait. Il essayait d'faire le gars insensible mais on pouvais déceler une légère pointe de seum dans son comportement.

Moi : Bon mon gros nounours en sucre dépose moi devant la salle de Kader

Menil : J'vais te tuer Nour. Et pourquoi ? Tu vas foutre quoi dans la salle de Kader ?

Moi : J'vais rejoindre Mouna à la boxe

Menil : Tu vas voir un pelo sale mytho

Wahou première crise de jalousie qui ce profil à l'horizon ? Comment j'dois interpréter cette phrase ? Peut-être qu'il a dit ca juste comme ca pour dire un truc ? Ou peut être que ca le dérange un peu l'idée que j'puisse aller voir d'autre gars ?

Oh Nour arrête, t'es dans un film. T'es rien de plus qu'une « sœur du quartier. »

Moi : Ouais bah ouais j'vais voir mon gars dans la salle de boxe de l'oncle de ma shab. Oncle que j'considère comme mon grand frère. Y a rien d'chelou hein

Menil : Mdrr calme, calme la boxeuse

Il me dépose. Je lui tend la main pour lui passer le Salam et le remercier pour ce moment passer ensemble.

Il m'regarde de travers.

Menil : Tu fous quoi la ?

Moi : Pas de Salam ? Ok

Menil, en serrant le frein a main : J't'accompagne

Moi : Tu m'accompagne ou tu m'surveille ?

Il me fit un clin d'œil en guise de réponse et sortit le premier d'la vago.

On est rentrer dans la salle et on est partit chacun de notre côté. J'suis partit rejoindre Mouna tandis que lui est partit rejoindre deux/trois gars.

On se lançais des petits regards inquisiteur. Rien que d'voir sa sale bouille sa me mettais de bon humeur.

J'ai fais un entraînement rapide avec Mouna pour délirer et on c'est poser pour discuter. La discussion est partit de talons bershka bleu électrique qu'elle voulait s'acheter à ... Sabri.

Je lui ai expliquer que j'voulais tourner la page et ne plus me focaliser sur une éventuelle histoire entre nous mais elle me soutenait qu'il tenait à moi, quoi que j'puisse en penser ou en dire.

Mouna : Ce gars il est accro à toi mais c'est d'ta faute si la situation elle reste bloquer

Moi : De ma faute ?

Mouna : Wallah Nour t'es une fille Ma Sha Allah mais on sait jamais ce que tu penses. T'as une trop forte personnalité, tu bouffes les autres sans le vouloir. Devant toi même Youmi il fermerait sa gueule

Chronique de Nour & SabriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant