Il était tard, je ne savais pas exactement l'heur, j'avais entrevue un ciel noir lorsque les portes du fourgon s'étaient ouvertes. Nous étions tous les trois, en compagnie de deux cadavres au fond de l'espace clos où nous étions. Il nous restait quelques minutes avant que l'absence des deux n'alertent les autres soldats. Nous étions en cercles, élaborant un plan des plus efficaces afin d'arriver quoiqu'il arrive à notre objectif : Kurozaki. Nous étions à l'endroit où il se trouvait, mais nous ne pouvions pas connaître à l'avance l'architecture de l'endroit. une chose en revanche était sur, nous le trouverions dans des endroits stratégiques : pièces isolés, laboratoire avancés, ou salle de contrôle et suivant l'endroit dans le quel nous étions, des appartements privés. Nous avions élaborés une tactique de déplacement stratégique En trio, moi et Izumi devions avancer progressivement à l'objectif en neutralisant nos opposants, sans se préoccuper de la discrétion, au contraire. Haruka serait chargée de passer par un autre passage, et d'avancer rapidement jusqu'à Kurozaki sans se faire repérer. Nous avions anticipés une logistique de caméra de surveillance avancé, et nous savions déjouer des logistiques des plus complexes. La possibilité que nous nous trouvions sur une base militaire était possible aussi. Dans ces cas la, il faudrait être rapide et ne pas perdre de temps, afin d'éviter de se retrouver avec l'ensemble de l'armée sous le dos.
Après avoir étudier chaque possibilités, nous étions prêt à y aller, chacun se positionna en face des portes du fourgon. Et après un léger silence, marque de concentration, nous ouvrîmes brusquement la porte. A peine avions nous le temps de remarquer à quelques mètres du fourgon un bâtiment aux apparences administratives faisant face à un grand parking ou nous nous trouvions , que la mission fut lancée. Izumi et moi nous précipitâmes vers les portes vitrées de l'entrée du bâtiment, et Haruka parti a toute allure sur le côté du bâtiment, devenant alors invisible. Nous la révérions la ou se cache Kurozaki. Après être entrés dans le bâtiment, nous remarquâmes que celui ci était vide, complètement abandonné, du moins en apparence. Nous montions par un couloir à droite, où se trouvait un accès aux escalier, en deux en trois mouvement, nous nous trouvâmes au 4ème étage sur une petite dizaine a mon avis. Nous arrivions alors sur un étage blanc, très blanc, aux allures d'hôpital. Nous traversions progressivement cette étage, se préparant à une attaque.
"Il faut qu'on trouve des armes, Izumi" dis-je tout en fixant la ou j'allais.
"Oui, je pense que ça va bientôt arriver" dit-elle en parlant des armes.
Nous arrivions sur le dernier couloir. Au bout de celui se trouvait un autre couloir faisant la perpendiculaire, et une porte se trouvant juste en face du couloir dans lequel nous étions. A peine avions nous posés un pieds de plus dans ce couloir, que de grenades fumigènes sortir de chaque côté de l'autre couloir. Izumi et moi nous regardâmes, et bientôt une fumée épaisse se mît à occuper le couloir. Avec un sourire de pitié. Je p'aventurais sans hésitation dans le couloir et pénétrai la fumée épaisse. J'entendis alors déçu rafales de fusils automatiques, une dizaine de balle avaient été tirées. Je les esquivai Sans aucun mal d'autant plus que certaines d'entre elles avaient été mal tirés. Je sentis alors qu'Izumi aussi posa le premier pas dans le nuage aveuglant. J'entendis alors une dixième rafale, plus longue et plus intense. Une trentaine de balles avenir été tirées. Je du alors sauter et prendre appuie sur le mur pour esquiver toutes les balles. Izumi pris simplement la peine d'esquiver les trajectoires avec le moins de mouvements possibles. Voyant notre progressions dans le nuages, nos adversaire se mirent à frémir, et à hésiter quant au fait de partir de leur position. Comme Izumi et moi avions besoin d'armes. Je finis par prendre les choses en mains.Je fis une brusque accélération, faisant un gros courant d'air dans la fumée, et la seul chose qu'un des deux soldats postés à l'angle de droite fut capable de voir fut une ombre sortir a toute vitesse du nuage pour sauter sur un de ses coéquipier et le projeter contre la porte située à quelques mètres. Ce même soldat, stupéfait par la situation se vit recevoir un coup de talon lors d'un coup de pieds retourné, le projetant quant à lui en un instant dans le nuage de fumée, qui perdait progressivement en intensité. Je me retournai alors vers les trois soldats restant, étant positionnés à l'angle gauche. Ceux-ci avaient un le temps de reprendre leurs esprit et s'apprêtait à vider leur chargeur en ma direction. Le problème fut qu'une deuxième ombre apparu à côté d'eux, et donnant un coup de pieds dans l'arme du premier, fit malheureusement voler l'arme en ma direction. Cette même ombre au cheveux blancs sectionna la gorge de l'homme désarmes, et se paya même le luxe d'esquiver les rafales venant des deux soldats survivant, qui avaient dorénavant une rage compréhensible. L'arme automatique atterrissait alors dans mes mains, et je choisi d'exécuter les deux survivant avant qu'il n'aient le temps de tirer une rafale supplémentaire.
Lorsque le chargeur de mon arme devint vide, Izumi et moi nous trouvions alors avec 5 cadavres de plus à notre compteur, et des murs copieusement tachés de sang. Cette image nous rappela alors qui nous étions : des monstres. Nous nous dirigeâmes alors en silence vers la porte qui fut si futilement protégée.
Il nous restait sans doute pas mal de temps avant de trouver Kurozaki. Nous montions alors les escalier se trouvant derrière la porte, et arrivions au 5ème étage. Nous remarquâmes alors un affichage des différents services dans les étages : les laboratoires avancés se trouvaient au -1.
"Izumi... On s'est tromper de chemin."
"Oh c'est pas vrai !" Dit-elle exaspérée. Nous fîmes alors demi-tour et une fois arrivés au rez-de-chaussée, un scientifique se trouvait à la réception.
"Bonsoir jeunes gens." Dit-il avec un sourire franc ou du moins bien joué. Izumi et moi nous approchâmes de lui. Une fois à en face du guichet ou il se trouvait, il continua avec le même sourire :
"Je suis désolé de ne pas vous avoir accueillit plus tôt. j'espère que l'attente n'a pas été trop longue et que l'exécution de nos 5 soldats pas trop fatigante"
L'homme avait déjà un certain âge et avait effectivement la tête cliché de l'homme d'accueil, excepté sa blouse blanche. Face à ces mots, Izumi et moi restions silencieux. Je finis par prendre la parole :
"Nous venons voir M.Kurozaki"
"Je suis au courant, je vais immédiatement vous accompagner à lui" il sortis alors de son guichet et nous demanda poliment de le suivre.
Nous arrivâmes alors tous les trois devant un ascenseur.
"Il vous suffit de descendre au -2. La bas vous trouverez facilement le laboratoire de M.Kurozaki"
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et Izumi et moi rentrions a l'intérieur. Je sentais pour ma part comme quelque chose qui n'allait pas. Cette accueil me paraissait a la limite de la parodie. Nous étions la pour exécuter Kurozaki, et non boire le thé avec. Les portes de l'ascenseur se fermèrent, et au moment où les portes s'apprêtaient à entrer en contact, j'entrevis le sourire du grand père disparaître complètement pour laisser place à une expression glacial.
"Tu as vue la tête du papi ?" Dis-je a Izumi.
"Non, me répondit-elle."
"Bon, sors ton arme, on est déjà au -1" nous avions respectivement récupérer un semi-automatique de nos victimes précédentes. Nous chargions ces instruments de morts, en sentirent l'ascenseur ralentir : -2.
Les portes s'ouvrirent et quelque chose n'allait pas. Ce n'était pas des laboratoire, c'était... Une arène.Une arène gigantesque autant dans la longueur, la largeur, ou la hauteur. Elle était fabriqués de Pierre et de terre. Jusqu'où étions nous descendus ? Nous vîmes vaguement une tête rouge au milieu de l'arène.
"HARUKA !!" S'écria Izumi. Nous nous précipitâmes a ces côtés et constations quelque choses d'absolument choquant : elle avait des égratignures de partout. Nous restions tous les deux figés, les yeux grands ouvert face à notre amis essoufflés.
"C.. Comment ?" Dis-je.
Elle répondit entre deux expirations :
"Ils... Ils nous connaissent... Kurozaki nous connaît. C'est comme lors des entraînement... Sauf que l'objectif ici... C'est la mort" dit-elle en fixant une baie vitrée en hauteur de l'arène.
Une tête à lunette s'y tenait : kurozaki.
Une voix retentit dans toute l'arène :
"Bonsoir Izumi et Hideki. Je ne peux pas vous laisser prendre cette mallette, vous allez mourir ici submergés par des attaques de plus en plus dures. Je vais vous montrer que vous aussi êtes faibles et mortels. Il arrivera bien un moment ou la fatigue sera tellement forte que votre corps ne pourra plus réagir, et une balle se logera dans votre tête, et ce sera finit..."
Je ne le laissai pas finir sa phrase et tira une balle sur la baie vitrée, ce qui le fit instinctivement reculer d'un pas. La balle se logea dans la vitre, qui ne bougea pas d'un millimètre. Il se lit alors à ricaner :
"C'est blindé Hideki, je ne suis pas imprudent a ce point la !! Haha"
Après un moment, la voix saturée refit écho dans l'arène.
"Mais avant... Puisque vous allez mourir. Vous voulez savoir ce qu'il y a dans cette mallette ?"
Il remarqua alors une expression Des plus intéressé sur nos visages. Kurozaki avait sûrement un côté joueur.
"Et bien... C'est une solution, que j'ai créé moi même. Mais celle-ci est absolument révolutionnaire. Comme je vous l'ai dit plus tôt, vous êtes faibles, mais pour autant vous restez Assez dangereux pour ne pas avoir le droit de vivre en liberté, alors j'ai finit par trouver la solution idéale ! Voyez-vous, cette solution imprègne un code précis dans l'ADN du buveur. Pas n'importe quel gènes... Vos gènes."
Nous étions horrifiés face à une telle chose
"Enfin, vos gènes, pas exactement, j'ai passer des années à tenter d'améliorer ces gènes. Alors la personne qui boira cette solution, gagnera les mêmes capacités que vous, mais en mieux !! Vous imaginez ? Son intuition sera tellement développer qu'il sera protéger non seulement contre les humains, mais contre tout !! C'est pas génial ?! Il sera capable de porter des centaines de kilo, de sauter sur plusieurs dizaines de mètres, il ira a une vitesse encore jamais vue !! Hahaha"
Pour la première fois. Haruka, Izumi et moi, ressentions un sentiments nouveau et particulièrement désagréable : la peur.
"Et pour couronner le tout, cette solution est volontairement instable. Car créer quelqu'un de plus puissant c'est bien mais que faire si comme vous cette personne est libre de ses mouvements ? Non non, on ne pouvait pas prendre ce risque... Alors cette solution agit comme une drogue, après la première prise, le corps devient instantanément dépendant. Et si le sujet ne prend pas de solution plusieurs jours de suite, son ADN lui même se décompose et il meurs petit a petit. C'est pas génial ?" Dit-il avec une voix démoniaque. Nous étions tous les trois terrifiés face à un tel discours, autant à cause de la monstruosité et l'inhumanité des propos, que d'imaginer ces plans devenir réalité.
"Allez, amusez-vous bien."
La voix disparu alors définitivement, et laissa place à un lourd silence. Des sifflements se firent entendre, du à des balles de snipers tirés de différents endroit. Ces tirs étaient caractéristiques : une précision parfaite, des trajectoire qui ensemble formait un véritable casse-tête et un nombre fulgurant de balles. Nous finîmes tous les trois séparés de plusieurs mètres, et a peine avions-nous eu le temps de s'échanger un regard qu'une déflagration éblouissante venait d'exploser, nous projetant contre les murs de l'arène. Izumi et moi étions choqués : nous n'avions simplement pas anticiper cette explosion. Notre intuition n'avait pas fonctionné, pourquoi ? A l'inverse de nous, Haruka ne paraissait pas déstabilisé, depuis les quelques minutes qu'elle avait atterrit ici, elle avait sûrement trouver une explication. Je m'écriai alors à son intention :
"Haruka !! Comment ca se fait qu'on n'ai pas vue venir cette explosion ?!"
Elle se tourna vers moi et me dit avec le ton d'un enseignant apprenant à son élève quelque chose d'évident :
"Réfléchis, aucune idée ?! J'te donne un indice : ça viens pas d'un humain... Et comment veux-tu que l'on anticipe quoique ce soit si ca ne viens pas d'un humain ?"
Ma main se mit à trembler légèrement mais l'autre la joignis afin de la stabiliser. C'était très mal partis.Il connaissait notre point faible.