Chapitre 9 :

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J'étais retourné me coucher, Izumi l'étais déjà. Je m'allongeai a coté d'elle et arrivais enfin à fermer les yeux.
Le lendemain, a 10:11, j'ouvrais les yeux, et me demandais quel jour on était... Mercredi. Izumi était déjà levée. Je ne savais pas ou elle avait pu aller, mais peu m'importais. Je descendais les escalier pour prendre un petit-déjeuner : un verre de jus. Je ne mange quasiment jamais le matin.
Je reçu alors un message du 98  l'institut avait mes réponses : "Shôta Kurozaki est un chimiste qui a travaillé dans les laboratoires de l'institut sur des projet secrets, autant en personnels que pour l'Institut. La mallette est une propriété de l'institut et Kurozaki l'as dérobé à des fins personnelles." Le contenue de la mallette était confidentiel, évidemment. Mais il se sentirent obligés de me le répéter encore une fois : "l'importance de cette mallette est capitale."
Je n'avais aucun moyen de trouver ce qu'il y avais dans cette mallette, la meilleur chose a faire, c'était encore de la trouver. Je restais alors immobile sur ma chaise, dans un silence parfait. Après quelques instant, un crie de panique se fit entendre dans le quartier :
"J'AI COURS AUJOURD'HUI"

J'arrivai devant le lycée a 10h54. J'avais louper 3 heures de cours. Une heur de science, suivis d'une heur d'histoire. C'était loin d'être la joie. Mon attention finit par se concentrer sur la sensation que j'avais, le 3ème était arrivé. Ce n'était qu'une question de temps avant que nous nous rencontrions. Je préférais ne pas vraiment m'en préoccuper, et je verrai au moment voulue. Je repensai alors a Izumi, et trouvait son absence inhabituelle. Je rentrai alors dans le lycée, et vis Nagaharu marcher d'une salle a l'autre. Je vins à sa rencontre, et après des salutations monotones, il m'appris que nous avions un contrôle. Nous rentrions dans la salle, et une fois les copies distribués, un silence imperturbable remplit la salle. Je lu alors l'énoncé, et il me pris l'envie de dormir. Je mis alors ma tête entre mes bras, et me mis à somnoler pendant a peu-près 40 minutes. Je me réveillais alors, avec 20 minutes pour finir le contrôle. Je pris alors mon stylo et écrit des réponses d'un geste monotone et sans aucune conviction. Lorsque la sonnerie retentit, je venais de finir. Je sorti alors de la salle, et Nagaharu me regarda d'un air légèrement agacé :
"Tu fais chier, fais au moins semblant."
"Pourquoi faire ? Ce n'est pas comme si j'étais en difficulté, et puis ce n'étais en aucun cas un geste prétentieux, j'avais vraiment sommeil."
En effet, humain ou pas, dormir seulement 4 heures mes trois dernières nuits, c'était fatiguant. Il me restait alors qu'une heur d'histoire et je pouvais enfin rentrer chez moi.
Cette heure passa sans encombre, ma place étant placé de manière à ce que le professeur ne fasse pas attention a moi, j'étais libre de consulter mon téléphone, discutant de tout et de rien avec Saaya.
A 13h je rentrai chez moi, voyant alors Izumi devant la télé, regardant des émissions de qualité discutable :
"Salut Izumi"
"Hide !! Comment ça va ?" Me dit-elle en se levant.
"Ça va, tu es partis ou ce matin ?"
"Peu importe, je crois savoir qui nous rejoindra !" Cette phrase m'intrigua au plus haut point. J'étais alors prêt à savoir qui allait nous prêter main forte dans cette cette mission :
"Haruka" dit-elle avec un air sérieux. Mon excitation était alors dur à cacher, mais je ne laissais rien transparaître :
"Haruka ? Très bien, comment le sais-tu ?"
"Mystère" le seul inconvénient qu'il y avait à discuter avec un semblable, c'est que nous avions tous appris à supporter toutes sortes de torture, donc si elle voulais me cacher quelque chose, cela ne servait à rien d'essayer de savoir.
"Enfin bref" ajouta-t-elle, "Tu as prévus aller voir ce Kurozaki, ce soir ?"
"Non. Je compte y aller lorsqu'Haruka, si c'est bien elle, sera arrivé. Nous irons alors tous les trois trouver Kurozaki et lui prendre cette putain de mallette"
Izumi marqua un geste d'étonnement :
"Je rêve ou tu as dis une insulte ? Toi ? Une insulte ?"
"J'ai l'impression de perdre mon temps, n'importe quel autre mission aurait été réussit depuis longtemps. De plus je ne sais même pas vraiment en quoi cette mallette est si importante !" Chaque mot qui sortait de ma bouche augmentait mon agacement.
"la prochaine opération sera la bonne !" Dis-je d'un ton déterminé. Izumi me regardais avec des yeux à la fois admiratif et nostalgique.
"tu sais..." Commença-t-elle, "tu as beaucoup changer depuis l'institut .. C'est la première fois que je te vois t'énerver"
"Je suis dans cette état la simplement à cause de ce qui se passe, je ne me suis jamais autant sentis utilisé, utilisé comme un objet destructeur, et je sais que tu penses la même chose"
"... Oui c'est vrai. Mais ce qui compte c'est qu'on découvre la vérité sur cette histoire." Après cette discussion quelques peu mouvementé, chacun alla à ses occupations. Izumi passait de plus en plus de temps avec Saaya et Eiko. Je me demandais comment est-ce que Fuyuka allait le prendre. Quant à moi, j'étais partis avec mon ballon de basket m'entraîner. Si c'était bien Haruka qui était là, cela me donnait une bonne raison de redoubler d'efforts.
Les doubles-pas s'enchaînaient, les feintes et les dribbles ne s'arrêtait jamais, le seul problème était que lorsque venait le moment de Shooter... J'avais une capacité de 3/10 paniers, ce qui était médiocre.
Alors que j'étais au milieu de terrains, augmentant la vitesse de mes dribbles, je manquai un dribbles. Un coup de feu avait retenti autour du terrain en extérieur. Ma tête c'était déplacé de quelques centimètres et je tout de suite compris, par expérience, la situation :

"Un sniper." J'étais alors à la fois embarrasser que celui-ci vienne gâcher mon entraînement, mais à la fois ravis qu'un autre commence. J'immobilisai alors mon corps, réduisant au mieux mes mouvements et fermai les yeux : l'entraînement pouvais commencer. J'esquivai deux balles simultanément, me projetant a quelques mètres du sol. Car oui, nos gènes nous apportais aussi des capacités physiques hors-normes. Retombant sur le sol je remarquai alors quelque chose d'inhabituel. Deux balles avaient été tirés certes, mais elle n'avaient pas la même trajectoire. Il y avait donc deux sniper.
De ce fait, cela ne pouvais pas être la mafia ou je ne sais quelle organisation : eux savaient a qui ils avaient à faire, il savaient qui j'étais. Dans ce cas là, il m'était impossible de les laisser en vie. Je sorti alors deux couteaux de mes poches. Je repris alors ma position immobile, me permettant d'être concentrer a 100% sur mon environnement. Évidemment, ce n'étais pas nécessaire vue la situation, mais je ne voulais pas perdre trop de temps non plus. Une seconde vague de tir arriva, deux balles de même trajectoire visant ma tête, que j'esquivai avec un simple mouvement de tête, puis une autre balle visant l'endroit où ma tête s'était déplacé, que j'esquivai aussi facilement : je savais où ils étaient. L'un était posté sur le toit de l'immeuble a ma gauche, tandis que l'autre était placé à ma droite sur la fenêtre d'un appartement :
"Vous avez perdus.." Dis-je dans un murmure ennuyé.
La troisième vague de tir arriva, je sautai en l'air, tournant sur moi même. Ma rotation donnant de l'élan a mes couteaux, je lançai chacun d'eux sur les deux sniper. La vitesse de mes armes était quasiment égal à des balles de fusil. Ainsi, chaque couteau se logea dans le crâne de mes deux ennemies, qui n'eurent même pas le temps de bouger le petit doigt. Je retombait au sol, sans la moindre égratignure, et en récupérant ma balle, je fis le deuil de mes deux couteaux.

Y'avait pas a dire, le basket était bien plus intéressant.

Human genesis - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant