Mysterious [Game]

Chapitre XI: Raven tattoo.

Je ne sais pas si c'est ce qui est entrain de se passer dans son pantalon ou si c'est juste son baiser mais ma respiration s'accélère et mon rythme cardiaque augmente. Il lâche mes lèvres pour embrasser mon cou juste en dessous de mon oreille et c'est tellement bon qu'un gémissement s'échappe de mes lèvres ce qui le fait rire. Je passe mes mains dans ses cheveux et il repose une dernière fois ses lèvres sur les miennes avant que la sonnerie ne vienne couper notre activité. Il se relève et me tend la main pour m'aider à me relever. J'attrape sa main et rougis. Il a un sourire en coin et me prend la main avant de commencer à me tirer vers je ne sais où.

Moi : Où est-ce que tu m'emmène, Caleb ?

Il me regarde en haussant un sourcil. Ok, j'ai compris : le mystère c'est excitant. Les autres élèves du lycée commencent à nous entourer et j'ai l'impression que Caleb accélère. J'avais oublié qu'il avait une réputation à entretenir, lui. Il finit par ouvrir une porte que je n'ai jamais ouvert et me tire à l'intérieur de la pièce avant de la refermer. C'est une salle minuscule avec trois tables et trois chaises, un tableau à craie et un minuscule bureau. Les murs sont toujours couverts de la couleur grise du ciment d'origine et la lumière... Il n'y a pas de lumière, il n'y a que la petite fenêtre qui permet d'éclairer la pièce. Caleb me tient toujours par la main et me regarde observer la pièce.

Moi : Je ne suis jamais venue ici.

Caleb : C'est normal, personne n'a cours ici.

Moi : Et comment tu connais cette pièce ?

Il se gratte la nuque et finit par hausser les épaules.

Caleb : On en était où déjà...

Il glisse à nouveau son visage dans mon cou et, prise par surprise, je plaque mes mains contre son torse. Oh... Je sens ses pectoraux... Je glisse mes mains le long de son corps et je sens ses abdominaux. Je savais que son corps était parfait. Il pose à nouveau ses lèvres sur les miennes et caresse ma langue de la sienne, il a toujours ce délicieux goût de mélange de tabac et de menthe. Il me pousse doucement et je me retrouve plaquée contre le mur de la petite pièce. Caleb pose ses mains sur le mur tout en me maintenant contre le mur à l'aide de son corps et je sens encore son érection contre ma hanche. Je n'ai jamais été aussi proche d'un garçon dans toute l'histoire de ma vie. Il pose ses mains sur mes hanches et les glisses le long de mes cuisses pour me porter, j'enroule donc mes jambes autour de sa taille et il se retourne pour m'asseoir sur la petite table la plus proche. Il glisse ses mains sous mon tee-shirt et me caresse le dos ce qui, je l'avoue, me met très mal à l'aise. Je passe ma main dans ses beaux cheveux blonds et fais tomber la cigarette qui était coincée derrière son oreille. Caleb se détache encore une fois de mes lèvres pour laisser une série de baiser le long de ma clavicule et en baissant rapidement le visage je remarque que sa cigarette est tombée entre mes jambes. Il s'en rend aussi compte car il glisse sa main le long de mes jambes et attrape de ses doigts la cigarette, je frissonne lorsque je sens son touché juste-là. Putain, je suis en feu. Est-ce qu'on est sur le point de le faire ? Lorsqu'il glisse ses pouces dans mon jean je prends cela pour une confirmation et soulève son tee-shirt. Il rit dans mon cou et je sens son souffle traverser tout mon corps. Il se décolle de moi et retire son t-shirt. Putain de bordel de merde... Il est parfait ! Son corps est encore plus beau que ce à quoi je pensais. Ses pectoraux sont tellement musclés que je sens que si je lui donnais un coup je me casserais le poignet. Ses abdominaux ont l'air de tablettes de chocolat que j'ai envie de croquer et j'aperçois les deux lignes du muscle en forme de V descendre sur sa hanche... Et dire qu'elle se rejoigne à cet endroit-là. Sur sa hanche il a même un petit tatouage représentant un corbeau. Je ne sais pas de quoi j'ai l'air mais lorsqu'il me voit le contempler il sourit de ses magnifiques dents blanches. Mais bordel, tout ça c'est trop. Lorsqu'il revient vers moi je plaque mes mains sur son torse pour l'arrêter et en sentant ses muscles collés à la paume de ma main je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre.