Février 2016: Péripétie Quotidienne 3
S'il on m'avait dit que j'aurais à côtoyer un être aussi paradoxal, tout en splendeur et en disgrâce, je vous aurais assuré d'une distance nette entre moi et cet individus.
Et pourtant, c'est cette créature que je retrouvais à ma table presque chaque midi. La même qui souriait à des vannes qu'elle ne comprenait pas et qui se sentait si seule dans un cercle, n'étant qu'un maillon statique d'une chaîne.Elle savait, et sait encore, se répandre en pardon, couiner, être la poupée que l'on veut câliner, mais ne comprends pas que l'ignorance, n'étant point une excuse, agace, énerve, irrite, ronge et conçoit méticuleusement une profonde colère dans l'âme de ses camarades.
La sottise et la naïveté est un lourd fardeau pour l'individu qui est doté de ces qualités, et qui se croit seulement malchanceux. Et cet inaptitude à comprendre, ou à savoir faire, l'isole du reste du monde, l'éloigne des érudits qui la décrits cruellement. Ses lacunes la condamnent dans un rôle de gourde. Et ses lamentations apparaissent futiles alors que la souffrance est là, vive."Plaignons les cons!". Si leurs beautés remplace leurs intelligences, elles ne savent leurs apporter qu'un bonheur éphémère et grinçant, qui sera irrévocablement suivi d'une existence pathétique. Ils essayeront peut-être d'être plus affreux, plus brutal afin d'oublier leurs déficits mentaux. Malheureusement, les victimes de leurs vilenies s'apercevront bientôt qu'ils ne sont que des chiens aboyant, la gueule plus grande que leurs têtes.
Si les cons sont méchant, ils attirent toujours une certaine compassion, comme si leurs basses actions leurs étaient pardonnés. À l'inverse, leur gentillesse ne cache guère leurs imbécillités, et les intellectuelles deviennent bourreaux.
C'est drôle la nature humaine; je t'écrase, tu m'écrases, on ne finis jamais d'écraser.
Soyez charitable avec les cons, ils vivront ainsi.
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Indescriptibles
Random"Pensez-vous que nous puissions avoir quelconques impacts sur les autres, sur nous même, sur l'horizontalité de l'espace, sur le temps qui défile aussi vite que les passants parisiens, sur ces ogres voraces aux estomacs abyssales, sur cet étudiant u...