N.B : le plagiat

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*nota bene

Ô douce lune,
Lorsque tu te dévoiles enfin, tu me paraît si vide, avide traîtresse.

N'y a t-il rien dont tu ne puises la source?

Avoue ton crime, revendique le. Montre à la mère le cadavre de son enfant.

Si tu ne sais être honnête, abreuves-toi de ton propre sang et meurs de ce poison infâme.

Le masque se fissure.

Je ne rirerais pas de toi,
Mais n'attends aucune fleur de ma part.

Les vampires sanguinaires finiront seuls

IndescriptiblesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant