Vladimir : Tu ne peux pas me tuer !
PDV Raphaëlle
Maélia : « Reprend ta forme normal ! »
Moi : « Comment ? »
Maélia : « Respire et exige-le à ton corps »
Moi : « D'accord, merci Maélia »
Maélia : « De rien Raph »
Moi : Pourquoi ?
Vladimir : Parce que tu néglige quelque chose !
Moi : Quoi ?
Vladimir : Tu sais .. Lors de la mort de tes parents, tu les as trouver, n'est-ce pas ?
Moi : Oui et ?
Vladimir : Comme je te l'aie dit je me demandais qui était ce que tu es. Cela ce jouait entre toi et ta soeur. Et comme une légende le dit ....
Moi : Quoi ? Quel légende ?
Vladimir : Je perd mon temps à te la raconter car avec sa tu souffriras plus.
Moi : Pourquoi?
Il ne fît aucun cas de ce que je venais de dire. Il continua ...
Vladimir : Alors la légende parle d'un homme. Cet homme aurais trouver un être de ton espèce, qui, déjà là était en voix d'instinction. Il n'aurait pas été en mesure d'identifier d'autre tigre blanc a dent de sabre. Alors qu'il se promenait Gayä, une tigresse de ton espèce grogna dans une prairie.
Moi : En quoi sa me fait souffrir tout sa ?
Vladimir: J'ai pas fini ... Alors une lueur bleu c'étais élevé de toute la forêt autour d'eux. Tous les êtres de ton espèce avais besoin du grognement de leurs genre d'Alpha, ce qui avait engendré leur transformation. Et toi, oui toi Raphaëlle tu es cette Alpha. Et devine quoi !
Moi : Tes un salaud ?
Vladimir : Non, tu a grogner ! Alors devine quoi ?
Moi : D'autre tigre de ma race se transforme ?
Vladimir : Seulement s'il en a à moins de deux kilomètres. Mais une en particulier viens de se transformer ; ta soeur.
Moi : Elle est morte.
Je me mis à verser toutes les larmes de mon corps. Toutes mes amis étaient pétrifier par le choc de ses paroles.
Vladimir : Tu sais ma belle je ne l'aie jamais tuer...
VOUS LISEZ
Badboy un jour, badboy toujours [ tome 2 ]
VampirosIl y avait toujours sa présence je l'entendais. Je devais m'enfuir, mais comment ? Courir ? Il allait m'entendre et me rattraper ! Me transformer et lui faire peur ? Mais comment ! Réfléchis Raphaëlle réfléchis ... Je pris mes jambes à mon coup et...